Les autorités marocaines affirment avoir démantelé une cellule terroriste liée à l’État islamique à Essaouira, dans le sud du pays, jeudi 22 juin. Les quatre personnes arrêtées préparaient des attaques contre des « installations sensibles et des sites touristiques d’Essaouira ».
Les attendus du jugement de 33 pages de la Haute Cour de justice d’Afrique du Sud, rendu le 15 juin à Port Elizabeth et concernant la demande de saisie d’une cargaison de phosphate de la mine marocaine de Bou Craa à destination de la Nouvelle-Zélande, ont laissé pantois son propriétaire, l’Office chérifien des phosphates (OCP).
L’Université virtuelle de Tunis propose au grand public un cours en ligne gratuit, mais pointu, sur la radicalisation et le terrorisme. 400 personnes s’y sont inscrites, et une deuxième session devrait être lancée sous peu.
Pris en étau entre le mécontentement de leurs administrés, la perte de leurs alliances et le discours agressif d’Israël, le Hamas tente de sortir de son isolement.
La Coalition marocaine des instances des droits de l’homme (CMIDH) a publié un rapport dénonçant la « répression » du mouvement de contestation qui secoue cette région depuis plusieurs mois.
Ils sont de plus en plus nombreux à partir travailler de l’autre côté de la frontière. Si Alger est également confronté au chômage, autorités et employeurs apprécient les profils spécialisés du pays voisin.
Le président du parti islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi, a annoncé ce mercredi 21 juin avoir porté plainte contre la télévision Sky News Arabia, suite à un reportage l’accusant d’être impliqué dans l’assassinat, en 2013, de l’opposant Chokri Belaïd.
Quelques États africains ont entrepris des actions de médiation entre Riyad et Doha, alors même que le conflit entre les deux pays ne les concerne pas. Sans grand résultat jusqu’à maintenant…
L’heure est au recueillement en la cathédrale Notre-Dame de Paris, où se déroulent les obsèques de Georges Pompidou en ce 6 avril 1974. Une foule d’hommes à l’allure sévère est venue rendre un dernier hommage au président français.
En cet hiver 1961, la guerre d’Algérie touche à sa fin. Mais dans l’ombre, la bataille pour le contrôle du pouvoir après l’indépendance du pays fait déjà rage entre l’état-major de l’Armée de libération nationale (ALN), dirigé par le colonel Houari Boumédiène, et les dirigeants du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA).
Le nouveau Premier ministre algérien, Abdelmadjid Tebboune, a présenté ce mardi le « plan d’action » de son gouvernement devant les députés de l’Assemblée générale. La mesure phare est la réforme du système de subventions publiques, conséquence de la crise économique.
Développement de la capitale économique, contestation dans le Rif, composition du gouvernement, avenir du PAM… Tour d’horizon de l’actualité avec Mustapha Bakkoury, le président de la région Casablanca-Settat au Maroc.
Selon les autorités de Zintan, qui le détenaient depuis le 19 novembre 2011, Seïf el-Islam, le fils de Kadhafi a été libéré le 10 juin. Mais nul ne sait où il se trouve.
Les autorités ont bloqué deux navires affrétés par le premier groupe privé algérien pour un projet de trituration de soja. Un épisode de plus dans le conflit qui oppose la société d’Issad Rebrab et le gouvernement.
Sur fond de crise du Golfe, le prince Mohammed Ben Salmane est devenu le numéro deux de la monarchie saoudienne. Le trône est désormais accessible à la deuxième génération de la dynastie des Al Saoud.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté ce mercredi 21 juin, à l’unanimité, une résolution saluant le déploiement d’une force africaine pour combattre les jihadistes dans la région du Sahel. Le projet de résolution, élaboré par la France, a été accepté par la totalité des quinze membres du Conseil, après que Paris et Washington sont parvenu à trouver un accord sur son contenu.
Depuis avril, une dizaine de familles font les frais de tensions diplomatiques entre le Maroc et l’Algérie. Le Palais a ordonné mardi « le traitement immédiat » de leur situation.
La crise s’intensifie au sein du Parti de la justice et du développement (PJD). La dernière réunion du secrétariat général de la formation islamiste, le 12 juin, a été particulièrement tendue.
De retour après une pause d’une année, « Achour el Acher » est le programme télé le plus populaire en Algérie en ce mois sacré. Une satire politique en phase avec son temps.
Le ministre marocain de la Santé veut généraliser la couverture médicale et augmenter les capacités d’accueil dans les centres hospitaliers publics. Des commissions d’inspections seront aussi mises sur pied.
Une trentaine de demandeurs d’asile, qui vivaient toujours dans le camp de Choucha, dans le sud de la Tunisie, malgré sa fermeture en 2013, ont été évacués lundi 19 juin par les forces de l’ordre. Une décision vivement critiquée par des militants des droits de l’Homme.
Star du feuilleton ramadanesque « Awled Moufida » – en tête des audiences en Tunisie -, Nidhal Saadi parcourt aussi la France avec son one man show «Diplomatiquement incorrect ». Prochaine date : le 21 juin à Paris. Entre deux spectacles, il raconte avec humour et émotion son tout premier Ramadan.
Le président algérien a pris cette décision dans une volonté d’apaisement après que le journal français lui a présenté ses excuses. L’affaire est désormais close.
Samir el-Wafi, célèbre présentateur télé tunisien, a été placé en garde à vue lundi pour soupçon de « corruption et d’escroquerie », a indiqué le Parquet à l’AFP.
La marche nationale de solidarité avec le Hirak du Rif (15 000 à 20 000 manifestants le 11 juin à Rabat) a donné lieu à plusieurs tentatives opportunistes de récupération, facilitées par le côté acéphale du mouvement de protestation et par l’incapacité des grands partis politiques à jouer leur rôle de médiateurs.
Le chef du gouvernement tunisien Youssef Chahed et son homologue marocain Saadeddine El Othmani ont signé une dizaine d’accords et se sont engagés à doubler leurs échanges commerciaux. La Libye, l’Union du Maghreb arabe et la crise dans le Golfe figuraient également au menu.
Un Algérien a été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal de Dar El Beida, lundi 19 juin, pour avoir suspendu un nourrisson dans le vide et avoir publié les images sur Facebook. Il menaçait de jeter l’enfant s’il n’obtenait pas un millier de « like ».