C’est désormais officiel : le Tunisien Nabil Maâloul, 54 ans, succède au franco-polonais Henri Kasperczak en tant que nouveau sélectionneur des Aigles de Carthage.
Dans l’est du pays, les candidats à la députation croisent le fer, espérant remporter les huit sièges octroyés à la wilaya d’Annaba. Leurs slogans : lutte contre le chômage et développement économique.
Le pape François entame vendredi sa visite au Caire, placée sous haute sécurité après deux nouveaux attentats contre des églises coptes au début du mois. Ce déplacement vise notamment à réchauffer les relations entre Al-Azhar et le Vatican.
Créée fin janvier, la commission d’enquête parlementaire sur les filières de recrutement de Tunisiens au profit d’organisations jihadistes a tenu ses premières auditions la semaine dernière. Avec, pour commencer, un bilan chiffré de la situation.
Une petite entreprise entre la France et le Maroc se propose de mettre en relation hackers et entreprises, pour que les bugs de sécurité des uns soient corrigés par l’expertise des autres. De l’économie collaborative d’un nouveau genre que le fondateur érige en éthique d’entreprise. Avec un certain succès.
Le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a effectué ce jeudi une visite sous tension à Tataouine, dans le sud du pays. Une région agitée depuis plusieurs semaines par des revendications sociales.
Vingt ONG tunisiennes et internationales ont appelé mercredi au retrait « immédiat et définitif » d’un projet de loi initié par la présidence de la République, qui prévoit l’amnistie pour des faits de corruption en échange d’un dédommagement.
Le président de la région actuellement la plus agitée du Maroc évoque tour à tour le chômage des jeunes, le cannabis et la contrebande. Sans langue de bois.
Dans la ville kabyle de Tizi Ouzou, alors que les législatives approchent, les revendications berbéristes trouvent un écho important. Mais les pro-boycott ne relâchent pas la pression.
Le patron de Nessma TV, Nabil Karoui, entend influer directement sur les élections municipales du 17 décembre en Tunisie à travers son pouvoir médiatique. Comment ?
Où en est la Turquie ? Où va-t-elle ? Personne n’est aujourd’hui en mesure de répondre à ces deux questions. Il me faut vous en parler, car cette héritière d’un vaste empire joue un rôle important sur les scènes régionale et internationale.
Les élections législatives, qui se tiennent dans une semaine, suscitent moins d’engouement chez les Algériens que l’élection présidentielle française semble-t-il. Si Emmanuel Macron remporte l’adhésion, d’aucuns seraient prêt à soutenir sa concurrente Marine Le Pen.
En Tunisie, le port de la ceinture de sécurité est désormais obligatoire pour les conducteurs et passagers à l’avant des véhicules, dans et hors agglomérations. Une mesure qui a tardé à s’appliquer, au grand dam des associations œuvrant pour une plus grande sécurité routière dans le pays.
Un autre mode de contestation politique est en train de gagner la rue algérienne : l’abstention aux élections. Une hantise pour le gouvernement, alors que les législatives approchent à grands pas.
Plus de 421 tonnes de sacs en plastique ont été saisies par les autorités marocaines depuis l’entrée en vigueur il y a un an d’une loi interdisant ces sacs dans le pays, a-t-on appris mercredi de source officielle.
« C’est en 1938 qu’est tracée la fameuse ‘Ligne Trinquet’, sur les cartes du Sahara, entre le Maroc et l’Algérie par l’administration française en Algérie… »
C’est assez incompréhensible, mais l’ONU n’a pas encore envisagé de créer un statut particulier pour Fellag, qui fait pourtant plus pour la pacification des peuples que beaucoup de Casques bleus.
Ce jeudi, Le Conseil appellera aussi le Polisario à se retirer immédiatement de la zone de Guergarate. La France est pour, la Russie et l’Uruguay se montrent sceptiques.
Après une semaine de débats, le Parlement marocain doit voter ce mercredi le programme du gouvernement de Saadeddine El Othmani. Tirant les leçons des concessions qu’il a dû faire dans les négociations gouvernementales, le PJD s’oriente vers un soutien mitigé.
Alors que la dépréciation du dinar tunisien s’est accélérée ces derniers jours, des initiatives gouvernementales et citoyennes tentent d’inverser la tendance. Avec pour mot d’ordre : consommer tunisien.
Le Parlement tunisien a assoupli ce mardi la sévère et controversée loi sur les stupéfiants, dite loi 52. Il donne ainsi suite à une revendication insistante de la société civile, qui dénonçait depuis des années son coût social « exorbitant », à savoir le grand nombre de jeunes jetés en prison « pour un joint ».
Dans la capitale algérienne, les principales têtes de liste sont des visages connus de la scène politique nationale et des frondeurs qui ne craignent pas d’épingler le bilan du FLN. Parmi les candidats, deux femmes se montrent particulièrement vindicatives.
La Cour pénale internationale (CPI) a rendu public lundi un mandat d’arrêt lancé contre l’ex-chef de la sécurité du défunt leader libyen Mouammar Kadhafi, l’accusant de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité lors du soulèvement contre le régime en 2011.
Depuis dimanche, les deux pays se rejettent la responsabilité de l’expulsion d’une cinquantaine de réfugiés syriens. Après les protestations de Rabat, ce lundi Alger a convoqué l’ambassadeur marocain.
Le Conseil tunisien du sécularisme a vu le jour le 13 avril, à l’initiative du jeune parti des Démocrates fondé en mars 2016. Sa principale mission : œuvrer pour « une Tunisie séculière libre et démocrate », comme nous l’explique sa présidente Hazar Jhinaoui.
Médecin de formation, aujourd’hui conseiller municipal de Smara, ville du Sahara où il est né en 1949, Mohamed Cheikh Biadillah a été gouverneur, wali, ministre de la Santé et secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité (PAM).