Ce vendredi 18 novembre 1955, c’est le jour de la Fête du Trône au Maroc. Le royaume est en ébullition, et plus particulièrement à Rabat où le peuple attend le discours de Mohammed V qui s’annonce en tous points historique.
Le négociateur en chef des pays africains à la COP 22 Seyni Nafo veut instaurer un financement juste et durable pour l’adaptation du continent au changement climatique. Voici ce qu’il attend de la conférence de Marrakech qui se termine ce vendredi.
Pour le président de la COP22, le sommet de Marrakech sur le changement climatique a dépassé ses objectifs en terme de mobilisation. Il s’achève ce vendredi.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Donald Trump ne se passionne pas pour les pays nord-africains. Mais Alger voit son arrivée d’un meilleur d’œil que Rabat et Tunis.
Après une tournée de préouverture dans des régions de l’intérieur du pays, le festival des Journées théâtrales de Carthage (JTC) lève le rideau à Tunis sur sa 18ème édition, qui se tient du 18 au 26 novembre.
Installée aux États-Unis depuis un quart de siècle, la native de Rabat est devenue outre-Atlantique une romancière à succès. Et une voix qui compte dans le débat public.
Médecins sans Frontières a porté secours ce jeudi à 130 migrants à la dérive sur leur canot pneumatique en pleine Méditerranée. D’après l’ONG, le bilan est lourd : au moins sept morts et une centaine de disparus.
La surprise promise par le Maroc depuis le début de la COP22 à Marrakech a été dévoilée : un prix spécial climat doté de 1 million de dollars remis chaque année, censé devenir aussi prestigieux que le Nobel.
Après avoir une nouvelle fois mis en cause Nicolas Sarkozy dans un entretien vidéo à Mediapart, l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine a réitéré jeudi ses accusations concernant un financement libyen de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy devant les enquêteurs chargés de l’affaire.
Ils sont venus avec des projets prêts à être financer. Muraille verte, sauvetage des bassins du Congo et du Tchad, énergies renouvelables… Les responsables africains ont fixé les axes d’une co-émergence durable pour le continent, lors d’un sommet qui avait lieu hier à Marrakech.
Vingt ans de prison ont été requis ce mercredi contre des militants anti-esclavagistes mauritaniens. Ils étaient jugés en appel à Zouerate (Nord) pour participation à une manifestation violente contre l’évacuation forcée d’un bidonville en juin dernier.
C’est le rendez-vous de la dernière chance. La conférence internationale d’appui au développement économique, social et durable Tunisia 2020, qui se tiendra à Tunis les 29 et 30 novembre, doit faire oublier les déceptions du sommet du G8 de Deauville, en juin 2011, et de l’« Invest in Tunisia: Start-up Democracy Conference », organisée à l’initiative du gouvernement de Mehdi Jomâa, en septembre 2014.
Pour Leith Ben Becher, Président du Syndicat des agriculteurs de Tunisie (Synagri), il est impératif de produire plus et mieux, tout en préservant les ressources hydriques du pays.
Un millier de participants sont attendus dans les travées du Palais des congrès, au cœur de la capitale, pour assister à la conférence internationale d’appui au développement économique Tunisia 2020.
Accablé par la dette, les déficits et le chômage, le pays dispose pourtant de sérieux atours pour redresser la barre. Reste à en convaincre les décideurs étrangers et les Tunisiens eux-mêmes, tâche à laquelle s’est attelé le ministre du développement et de l’investissement.
« Aurons-nous un jour un autre avenir que notre passé ? » Cette interrogation du regretté écrivain marocain Driss Chraïbi n’a jamais été aussi actuelle, en Tunisie comme dans tous les pays touchés peu ou prou par ce qu’il est communément admis d’appeler « le printemps arabe ».
Au vu de ses objectifs et des moyens envisagés, le plan de développement que le gouvernement s’apprête à activer a tout d’un programme de redressement accéléré.
Depuis le sommet de la Terre, à Rio, en 1992, jusqu’à la révolution de 2011, la Tunisie s’est dotée d’un ensemble d’outils institutionnels, juridiques, techniques et financiers pour mettre en œuvre une politique de sauvegarde et de protection de l’environnement.
Malgré une conjoncture difficile, les banques affichent de bons résultats. Leur contribution à la relance de l’économie et à l’accompagnement des PME reste toutefois modérée.
Si les difficultés traversées par le pays mènent la vie dure aux entreprises, certains patrons ont trouvé des idées pour développer leur activité, voire en créer de nouvelles.
Depuis sa création en 2015, dans le giron de l’incubateur d’Esprit – école d’ingénieurs privée du nord de Tunis (lire pp. 90-91) –, la start-up BeThree (Be Protected, Be Rescued, Be Safe) a fait du chemin. Dans tous les sens du terme.
La simulation médicale est un concept innovant, peu développé dans les pays francophones, mais très en vogue dans le monde anglo-saxon. C’est à la fois une méthode d’apprentissage et une technique de formation continue.
À l’heure où l’enseignement supérieur a bien du mal à évoluer, il y a encore d’excellents élèves. La preuve dans les classes prépas de l’université Esprit.
Les membres du comité élargi des jeunes de Nidaa Tounes à Sousse ont annoncé mardi leur démission collective du parti. Une décision qui intervient à la suite du non-lieu prononcé la veille en faveur des accusés dans l’affaire Lotfi Naguedh, ce responsable de la formation politique tué en 2012 à Tataouine.
Après la COP22, le roi du Maroc poursuivra son périple africain à Addis Abeba puis à Antananarivo, à Madagascar, pour le sommet de l’Organisation internationale de la francophonie.
Les gardes-côtes libyens ont annoncé mardi l’arrestation de 54 pêcheurs tunisiens qui auraient pénétré illégalement dans les eaux territoriales libyennes.
À l’issue du dialogue national inclusif rassemblant la majorité et une partie de l’opposition, le président Mohamed Ould Abdelaziz a réaffirmé sa décision de ne pas briguer un troisième mandat.
Le Parlement égyptien a approuvé ce mardi soir un projet de loi régulant les activités des ONG. Il prévoit aussi de contrôler les financements étrangers de ces organisations. Un texte controversé qui relance les inquiétudes concernant la répression de la société civile.
Un canot pneumatique chargé de migrants a chaviré mardi au large de la Libye, faisant au moins quatre morts et une centaine de disparus, selon l’ONG allemande Jugend Rettet, qui n’a pu trouver que 23 survivants.