Comme l’annonçait Jeune Afrique lundi, Hervé Renard a été officiellement nommé sélectionneur du Maroc. L’ancien coach de Lille prend la succession du Marocain Badou Zaki, remercié la semaine dernière.
L’Entreprise nationale de réalisation d’infrastructures ferroviaires (Infrafer) et le groupe de BTP China Railway Construction Corporation (CRCC) ont signé lundi à Alger un protocole d’accord pour la création d’une société mixte spécialisée dans la réalisation des voies ferrées à grande vitesse.
Suspendu par la Confédération africaine de football (CAF), l’entraîneur algérien Adel Amrouche a finalement été gracié par le gouvernement du football africain.
Après être devenu le sponsor officiel du festival d’Essaouira, organisé par A3 Communication, l’opérateur historique Maroc Télécom, dirigé par Abdeslam Ahizoune, confie à la société ses relations publiques.
Les récentes émeutes en Tunisie ont d’abord inquiété les Tunisiens, mais aussi nos voisins, surtout ceux du Nord, qui n’ont pourtant pas cessé de nous féliciter pour notre transition démocratique, jusqu’à nous gratifier d’un prix Nobel de la paix.
Les jours d’Amar Saadani au secrétariat général du FLN – et en tant que porte-parole autoproclamé de la présidence de la République – sont-ils comptés ?
Le groupe public, spécialisé dans la production et la distribution d’électricité dans le pays, envisage de recourir aux marchés financiers internationaux pour financer les 1 000 milliards de dinars (8,5 milliards d’euros) qui manquent à son plan d’investissements d’ici à 2018.
L’opérateur, qui a dû s’endetter pour racheter six filiales participations de sa maison-mère en Afrique, a vu son résultat reculer de -4 %, malgré une nette progression du chiffre d’affaires.
Hervé Renard est à Rabat depuis vendredi. Sa nomination officielle en tant que sélectionneur du Maroc, où il succédera à Badou Zaki, devrait intervenir mardi si les deux parties parviennent à un accord.
La dernière étape de la visite du Medef, le patronat français, au Maroc, les 10 et 11 mars, passait par Kénitra. À 50 km de la capitale marocaine, l’Atlantic Free zone, la zone franche dédiée à l’industrie automobile, est en plein développement dans le sillage de l’arrivée de Peugeot Citroën (PSA) qui, à compter 2019, veut y produire à terme jusqu’à 200 000 véhicules par an.
J’ étais au Caire cette semaine pour un entretien avec le maréchal-président Abdel Fattah al-Sissi. Difficile de voir dans cette mégapole grise et constamment au bord de l’infarctus circulatoire une ville « africaine » où, comme à Casablanca par exemple, souffle par instants une brise venue d’au-delà du désert.
L’Algérie est en discussion avec les pays producteurs de pétrole, membres ou non de l’Opep, pour trouver un accord qui permettrait de stabiliser le marché pétrolier et de faire remonter les prix, a indiqué dimanche le ministre algérien de l’Énergie, Salah Khebri.
Le producteur algérien d’électroménager, qui revendique une croissance record de +53 % en 2015, espère commercialiser ses produits en France à partir du second semestre 2016.
Un gouvernement d’union nationale a été formé en Libye, à l’issue de négociations qui se tenaient à Shkirat, au Maroc. Sa composition a été soumise au Parlement internationalement reconnu, siégeant à Tobrouk.
Leurs discours haineux avaient inspiré les kamikazes du 16 mai 2003. Condamnés à de lourdes peines de prison, ils ont fini par battre leur coulpe après de longues années de détention, avant d’être graciés par le roi. Rencontre avec d’anciens cheikhs salafistes revenus à la raison.
Malgré les promesses de trêve, une résolution du conflit syrien semblait dimanche de plus en plus illusoire, les différents acteurs internationaux, dont la Turquie et la Russie, s’accusant mutuellement de jeter de l’huile sur le feu.
Terrorisme, projets pour l’Égypte, Libye, Syrie, rapports avec l’Occident… Le président égyptien évoque longuement tous ces sujets dans la grande interview qu’il a accordée à « Jeune Afrique ».
Dans une interview accordée jeudi à l’Agence France presse, le président syrien Bachar al-Assad s’est dit déterminé à reprendre le contrôle de toute la Syrie.
Il est difficile de présenter en quelques mots Tayeb Saddiki, décédé le 5 février. C’est une personnalité aux multiples talents, qui a profondément marqué son époque et ses contemporains. Dramaturge, poète, romancier, cinéaste, calligraphe, peintre… Il a emprunté différentes voies artistiques pour donner à voir et à entendre un univers et un imaginaire originaux qui ne laissent guère indifférent.
Succès oblige, » Le Maghreb des Livres « , l’évènement littéraire du Maghreb en France, revient ce week-end dans les salons de l’Hôtel de ville de Paris. Parmi les têtes d’affiche, de grands noms de la littérature maghrébine mais aussi de jeunes auteurs à la plume subversive.
À Marseille, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) revient sur le projet colonial de la France en Algérie, où la cartographie fut un moyen de « capter » le territoire.
Le Pentagone a accepté de rendre publiques le 5 février les photos montrant les sévices subis par des prisonniers détenus par l’armée américaine en Irak et en Afghanistan durant les années 2000.
Le certificat de conformité qui a servi de prétexte au gel de l’ouverture du magasin d’ameublement a été finalement délivré par les autorités marocaines. Les premiers clients sont attendus avant la fin du mois.
Le premier long métrage de Mohamed Ben Attia a été sélectionné au festival de Berlin. Depuis « Un été à la Goulette » de Ferid Boughedir (1996), aucun film arabe n’avait été nominé.
La Commission européenne, le bras exécutif de l’Union européenne (UE), a proposé aujourd’hui d’accorder une assistance macrofinancière supplémentaire de 500 millions d’euros à la Tunisie, a fait savoir la délégation de l’UE à Tunis.
On l’appelle « haschich » au Maroc et « Zatla » en Tunisie et en Algérie. Le cannabis est au centre d’un important débat de société dans les pays du Maghreb demandant sa dépénalisation. Les politiques oseront-ils franchir le pas ?
Malgré une performance positive moyenne de 44 % en 2015, les trois banques publiques cotées à la Bourse de Tunis – la Banque nationale agricole (BNA), la Banque de l’habitat (BH) et la Société tunisienne de banque (STB) – n’ont toujours pas retrouvé leur niveau d’avant la révolution. Et elles sont désormais moins solides que les banques privées cotées – Amen Bank, Attijari Bank et la Banque internationale arabe de Tunisie (Biat).