Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.
Lentement mais sûrement, l’intervention militaire russe sur les fronts syriens, débutée en septembre 2015, fait basculer le rapport des forces en faveur du régime.
La cimenterie aura une capacité de 6 000 tonnes par jour. Les travaux devraient durer 32 mois. Le contrat a été accordé au danois FLSmidth par le groupe algérien Amouda Engineering.
Avec Alain Juppé, le maire de Bordeaux, qu’il a reçu le 2 février dans sa résidence de Zeralda, le président Bouteflika a parlé pendant quarante-cinq minutes des relations algéro-françaises, de la Syrie et de la Libye.
On savait le président Obama secrètement excédé par la politique de Netanyahou à l’égard des Palestiniens. Son ambassadeur à Tel-Aviv, lui, s’est montré beaucoup plus explicite.
Ces projets, conduits par le producteur national de phosphates OCP, prévoient l’installation d’une usine d’engrais, ainsi que d’infrastructures portuaires et industrielles près de Laâyoune.
Élue à la tête du conseil national du Parti Authenticité et Modernité, l’ex-maire de la ville ocre confirme son statut de personnalité influente. Portrait.
L’ancien directeur général de l’Office national marocain du tourisme prend la succession de l’emblématique Driss Benhima, patron de l’opérateur aérien depuis 2006.
D’ici à 2017, Berlin achèvera la livraison à Tel-Aviv de trois nouveaux sous-marins à capacité nucléaire qu’il a entièrement ou partiellement financés. Est-ce bien raisonnable ?
Le Parlement algérien a adopté à main levée dimanche la nouvelle Constitution algérienne. Un texte que Abdelaziz Bouteflika aura amendé trois fois depuis qu’il est président, au gré de ses ambitions politiques.
Le Maroc vient de nommer de nouveaux ambassadeurs issus du monde des droits de l’homme, qui auront pour mission de réduire l’hostilité à la marocanité du Sahara et de convaincre la communauté internationale du bien-fondé des réformes entreprises par le palais.
La Banque participative du Maroc, née du partenariat entre la Banque populaire (BP) et l’américain Guidance Financial group, a annoncé vendredi le début prochain de ses opérations dans le royaume.
La semaine prochaine, le chef du gouvernement tunisien devrait effectuer une visite officielle au Maroc dont l’enjeu est de rééquilibrer les relations diplomatiques de la Tunisie, traditionnellement tournées vers l’Algérie.
La France et la Tunisie ont annoncé, vendredi, la création d’un fonds d’investissement bilatéral qui vise à doper les petites et moyennes entreprises des deux pays concernés. Quinze entreprises présélectionnées dans les deux pays pourraient bénéficier d’un apport pouvant aller jusqu’à 3 millions d’euros pendant quatre ans.
Cela fait presque dix mois que cette polémique dure. Dix mois que les torrents de la haine se déversent sur les réseaux sociaux et autres canaux d’informations adeptes d’un sensationnalisme de bas étage.
Décidé dès le 15 janvier 2011 au lendemain de la fuite du président Ben Ali et de son épouse Leïla Trabelsi en Arabie Saoudite, le gel de leurs avoirs – dont le total pourrait atteindre 9 milliards de dollars – a depuis été reconduit par l’Union européenne (UE) d’année en année. Une décision à nouveau prorogée jusqu’au 31 janvier 2017.
Il y a trois ans, le 6 février, était abattu Chokri Belaïd, le célèbre opposant tunisien. Malgré les investigations de la Justice, les commanditaires de ce crime ne sont pas encore identifiés.
Le cabinet financier camerounais est reconnu à travers sa filiale marocaine, Financiafrica, récemment créée pour drainer les investissements étrangers vers l’Afrique subsaharienne, à partir de la place financière de Casablanca.
Discréditée et à bout de souffle, la dynastie des Saoud paye aujourd’hui les alliances inconciliables qu’elle a passées avec le clergé wahhabite et les États-Unis.
Selon la police allemande, trois Algériens, soupçonnés de préparer un attentat à Berlin en lien avec l’organisation État islamique, ont été arrêtés jeudi lors d’une opération d’envergure dans des centres de réfugiés dans l’ouest et le nord du pays.
L’armée russe a affirmé jeudi avoir de « sérieuses raisons de croire » que la Turquie prépare une intervention militaire en Syrie voisine. Ankara s’est refusée à tout commentaire, tandis que de son côté, Ryad a affirmé être prêt à envoyer des troupes au sol si la coalition internationale prenait une telle décision.
Des responsables de l’administration américaine ont fait état jeudi d’une présence « de l’ordre de 5 000 combattants en Libye. Un nombre qui s’est multiplié par deux par rapport aux précédentes estimations.