La cour d’appel de Paris a validé mardi les enregistrements audio effectués par l’avocat marocain, Me Hicham Naciri. Des enregistrements qui corroborent la thèse d’un chantage à l’encontre du roi du Maroc par les deux journalistes français Éric Laurent et Catherine Graciet.
La police d’assurance agricole de la compagnie dont le ministre Moulay Hafid Elalamy est l’actionnaire majoritaire fait des vagues dans l’opinion après qu’elle a été choisie par les pouvoirs publics. À tel point que Saham en a suspendu la commercialisation. Récit.
Dans son nouveau documentaire, « Contre-Pouvoirs », le documentariste nous plonge au cœur de l’élection présidentielle de 2014 à travers le regard et les combats
des journalistes du quotidien « El Watan ». Original et instructif.
Le 11 janvier 1992, le président Chadli Bendjedid décide de quitter le pouvoir en le remettant aux militaires qui le lui avaient offert en février 1979. Cette démission fait suite à une grave crise politique née de la victoire des islamistes du FIS aux élections législatives de décembre 1991. Départ volontaire ou démission forcée ? Enquête sur un épisode qui a fait basculer le destin de l’Algérie.
Après la contestation sociale inédite depuis la révolution de 2011, le calme est revenu en Tunisie. Mais, en l’absence de mesures gouvernementales concrètes pour résorber le chômage, la situation demeure précaire.
Le parlement libyen basé à Tobrouk et reconnu par la communauté internationale a rejeté ce lundi le gouvernement d’union nationale parrainé par l’ONU, demandant la formation d’un nouveau gouvernement plus restreint.
L’État islamique a publié dimanche une vidéo mettant en scène neuf des auteurs des attaques du 13 novembre à Paris. Le président François Hollande a réagi en déclarant qu’« aucune menace ne fera douter la France ».
Le président Abdelaziz Bouteflika aurait remplacé le DRS par une nouvelle direction, dépendante de lui et qui aurait les pleins pouvoirs en matière sécuritaire, annonce El Hiwar.
C ‘était inéluctable. À Kasserine comme à Sidi Bouzid ou à Gafsa, le feu couvait sous la braise de la révolution. Il fallait être sourd et aveugle pour ne pas discerner la véritable bombe à retardement que constitue le centre défavorisé du pays, foyer du soulèvement de 2011 et véritable ghetto social laissé en déshérence depuis cinq ans.
Sans grande surprise, Ilyas El Omari a été élu dimanche à l’unanimité à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM). Il a maintenant les coudées franches pour affronter le redoutable Abdelilah Benkirane du Parti justice et développement (PJD) aux prochaines élections législatives.
À qui profite la crise au sein de Nidaa Tounes ? À son ancien secrétaire général, qui compte créer un nouveau parti pour attirer les électeurs déçus par le président tunisien.
Il a réussi à devenir l’incontournable numéro deux de BMCE Bank of Africa au Maroc comme au sud du Sahara… dans l’ombre d’Othman Benjelloun. Rencontre avec un banquier discret, fidèle et ambitieux.
La crise politique que traverse la Tunisie n’empêche pas les partis d’échafauder des scénarios pour les élections législatives et présidentielle de 2019.
Les pompiers ont maîtrisé les incendies ayant ravagé des réservoirs pétroliers à la suite d’une attaque du groupe Etat islamique (EI) à Ras Lanouf (est), selon un responsable des gardes des installations pétrolières.
Réagissant au bannissement dans le programme littéraire des lycées d’un roman d’amour entre une Juive et un Arabe par le ministre israélien de l’Éducation, l’édition locale du magazine Time Out a fait le buzz avec une vidéo intitulée Jews & Arabs Kissing.
Le Premier ministre Habib Essid a appelé samedi à la « patience » après une semaine d’une contestation sociale inédite depuis la révolution de 2011 en Tunisie, sans annoncer des mesures concrètes pour s’attaquer aux problèmes persistants du chômage et de la corruption.
Le gouvernement tunisien tient une réunion extraordinaire samedi à la suite d’une contestation sociale, inédite depuis la révolution de 2011, qui agite depuis une semaine le pays placé sous couvre-feu nocturne.
La Tunisie a connu une première nuit de couvre-feu, décrété après plusieurs jours d’une contestation sociale inédite par son ampleur et sa durée depuis la révolution de 2011.
Elle est pilote d’avion, noire, mariée à un Américain blanc… Ce qui lui vaut un torrent d’injures sur Twitter. Mais la jeune femme riposte avec panache.
Sept personnes ont été tuées, 13 autres blessées, dans l’explosion d’un appartement piégé, jeudi soir au Caire, pendant qu’avait lieu un raid de la police égyptienne visant des suspects appartenant à la confrérie des Frères musulmans. La branche égyptienne de l’État islamique (EI) a revendiqué l’attentat.
Les revendications sociales portées par les jeunes chômeurs de Kasserine ont embrasé la Tunisie, amenant le gouvernement à décréter le couvre-feu nocturne sur l’ensemble du territoire. Bouali Mbarki, secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), la plus grande centrale syndicale du pays, répond aux questions de Jeune Afrique.
Le congrès extraordinaire du Parti authenticité et modernité (PAM), qui s’est ouvert vendredi à Bouznika, devra élire un nouveau secrétaire général. L’homme fort du parti, Ilyas El Omari, semble dores et déjà en pole position.
Général-major à la retraite et ancien conseiller à la présidence, Mohamed Betchine achève la rédaction de ses Mémoires, qui devraient paraître dans le courant de cette année.
À l’occasion d’une visite à Paris du Premier ministre tunisien Habib Essid, la France a annoncé vendredi le lancement d’un plan de soutien d’un milliard d’euros à la Tunisie sur les cinq prochaines années. Une bouffé d’oxygène pour le pays, confronté à une grogne sociale croissante ?
De lourdes peines ont été requises le 20 janvier à Alger dans un vaste procès pour corruption dans lequel sont impliqués le groupe pétrolier public Sonatrach et des sociétés italienne et allemande.
Un couvre-feu nocturne a été décrété vendredi dans toute la Tunisie suite à la vague de contestation sociale qui a débuté à la mi janvier à Kasserine (Nord Ouest), avant de gagner d’autres régions.