Après avoir longtemps privilégié l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie, les entrepreneurs égyptiens en quête de nouveaux marchés l’ont bien compris : l’avenir de leurs compagnies passe par le continent.
S’il ne met pas fin à la guerre civile, l’accord de Skhirat offre une feuille de route pour relancer la transition politique. Un pas encourageant mais hypothéqué par le boycott des radicaux.
Ferme éolienne, parc solaire, centrales thermiques… Pour répondre au plan d’urgence qui doit relancer la production nationale d’électricité, le groupe privé Elsewedy est sur tous les fronts.
Inauguré en mars, le Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ) est le noyau dur de la nouvelle politique sécuritaire marocaine, le bouclier antijihadiste.
Près de 43 milliards d’euros. C’est le coût de la première phase de construction de la nouvelle métropole administrative qui doit voir le jour d’ici à cinq ans pour que la capitale égyptienne respire un peu.
En Égypte, la francophonie s’inscrit dans un contexte plurilingue où l’anglais est la langue de communication des entreprises internationales et du monde politique, mais où le français n’est pas pour autant délaissé.
Dynamisé par d’importantes introductions et augmentations de capital, l’Egyptian Exchange s’est imposé l’an dernier comme la Place la plus performante des marchés émergents.
Premier importateur mondial de blé, l’Égypte veut faire de sa dépendance un atout, en jouant de sa position entre les grandes zones de production (Europe, Russie) et de consommation (Asie, Afrique) afin de devenir un pôle d’envergure internationale pour le stockage et le transport des céréales.
Tunis est souvent une étape dans le parcours des candidats à la présidentielle française. Bien qu’il ne soit encore que candidat à la primaire de son parti, Nicolas Sarkozy n’y a pas dérogé et a mis ses hôtes dans l’embarras en s’en prenant à l’Algérie.
L’Union européenne a promis lundi de renforcer son assistance à l’économie tunisienne, en particulier dans le secteur fragilisé du tourisme, en plus de son aide à la sécurité, après les récents attentats sanglants du Bardo et de Sousse.
Réformes radicales, répression de l’opposition, lutte contre le terrorisme… Le Premier ministre égyptien dresse le bilan de son action, deux ans après la destitution de l’ancien président islamiste Mohamed Morsi.
de sa première année aux commandes de la « nouvelle Égypte ».
Arrangeur d’un emprunt obligataire étatique émis en décembre 2013, la SCB vient d’être condamnée par le régulateur boursier à payer 150 millions de F CFA et à restituer 473 millions de F CFA à l’Etat du Cameroun.
La banque publique, qui cherche à lever 756 millions de dinars, a présenté un nouveau business plan tablant sur les gains tirés d’un assainissement de ses finance et d’une amélioration de son offre commerciale.
Depuis la révolution, les séries font le pari d’aborder les problèmes de société du pays. Un parti pris qui contraint les professionnels à revoir le processus créatif. Et à réévaluer les limites de la censure.
La place Tahrir est relookée, la capitale s’affaire, le pays revient sur le devant de la scène internationale. Les Égyptiens sont optimistes, mais s’inquiètent de la menace terroriste et de l’instabilité régionale.
La date n’est pas encore connue avec précision, mais le président français, François Hollande, est attendu en septembre prochain à Rabat pour ce qui sera sa deuxième visite officielle dans le royaume (après celle d’avril 2013).
L’accord sur le nucléaire iranien signé à Vienne le 14 juillet met fin à des années de crise diplomatique. Si Téhéran et Washington y trouvent leur compte, les Israéliens et les Saoudiens, eux, ne décolèrent pas.
Ce lundi, la France a livré ses trois premiers avions Rafale à l’Egypte. Ils quitteront la base de Istres (France) dès demain, pilotés par des militaires égyptiens.
Au moins 30 personnes ont été tuées lundi dans une explosion dans la ville de Suruç, proche de la frontière syrienne, selon un bilan officiel. Cet attentat-suicide a été condamné par le président turc Recep Tayyip Erdogan.
De nouveaux bombardements des rebelles chiites Houthis menés sur Aden ont tué 43 civils dimanche, trois jours après que le gouvernement yéménite ait annoncé la libération de la ville.
L’armée algérienne a annoncé dimanche que neuf soldats avaient été tués vendredi dans une embuscade au sud-est d’Alger qui a été revendiquée par le groupe jihadiste Aqmi, qui parle de 14 morts.