Fini la discorde entre l’Éthiopie, l’Égypte et le Soudan. Ce lundi 23 mars, les trois pays ont signé un accord de principe pour la construction du barrage éthiopien Grande Renaissance.
En France, 832 cheminots marocains réclament des dommages et intérêts à la SNCF devant le conseil de prud’hommes de Paris. Ils accusent l’entreprise ferroviaire de ne pas leur avoir octroyé le statut particulier de cheminot, réservé uniquement aux salariés européens.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a entamé dimanche un voyage officiel de trois jours en Algérie. Il sera particulièrement question du fragile processus de paix malien, dans lequel Alger est directement impliqué depuis plus d’un an.
Les autorités marocaines ont annoncé dimanche avoir démantelé une cellule terroriste qui planifiait des attaques contre des personnalités politiques, civiles et militaires.
Des sanctions avaient été promises. Lundi, le Premier ministre a limogé les chefs de la police et du musée du Bardo. Le président Béji Caïd Essebsi s’en est, lui, pris à Ennahdha, qu’il a accusé de laxisme.
Une rencontre entre patrons algériens et africains ? L’invitation est lancée. Il faut dire que, longtemps en retrait, les industries du pays veulent gagner des parts de marché sur le continent.
Dans son édition de cette semaine, « Jeune Afrique » donne la parole à Richard Bielle, le président du directoire de CFAO, géant panafricain de la distribution.
Pour se relever et relancer ses activités en Afrique centrale, le laboratoire pharmaceutique camerounais Cinpharm a noué un partenariat avec le tunisien Teriak, a appris « Jeune Afrique ».
Au Maroc, une nouvelle génération a pris les devants sur des chantiers d’avenir. Jeune Afrique a dressé le portrait de 20 femmes et hommes amenés à jouer, demain, un rôle déterminant dans le royaume. Abdelmalek Alaoui, communicant, en fait partie.
Les miliciens chiites Houthis ont pris dimanche l’aéroport de Taëz, ville qui commande la voie vers Aden, dans le sud du Yémen, où est retranché le président. Réuni à New-York, le Conseil de sécurité doit traiter la situation préoccupante de ce pays du sud de la Péninsule arabique.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a affirmé dimanche qu’un troisième auteur de l’attentat du Bardo était recherché, assurant qu’il n’irait « pas très loin » et promettant des sanctions contre les responsables des défaillances sécuritaires autour du musée.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi s’est recueilli dimanche matin devant le musée du Bardo à Tunis, où l’attentat de mercredi a coûté la vie à 20 touristes et un policier, a constaté un journaliste de l’AFP.
Sous le choc, le frère de Yassine Laabidi, l’un des deux assaillants du musée de Bardo à Tunis, n’arrive pas à s’expliquer comment ce garçon de 27 ans « chaleureux, beau gosse et aimable » a pu tuer des innocents.
Le président du Yémen Abd Rabbo Mansour Hadi a condamné les attentats suicide revendiqués par le groupe Etat islamique (EI), qui ont fait vendredi 142 morts à Sanaa, affirmant qu’ils visaient à enfoncer le pays dans le chaos.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a enfilé le costume de « père de la Nation » en s’efforçant de ne pas raviver les craintes d’un retour à l’autoritarisme, mais il est désormais attendu sur la riposte à l’attentat du Musée du Bardo.
L’émissaire onusien pour la Libye a appelé vendredi soir à l’arrêt des combats qui ont opposé durant la journée des forces de la coalition Fajr Libya à celles du gouvernement internationalement reconnu, alors que le dialogue interlibyen se poursuit au Maroc.
Traqués et privés de leurs chefs, lourdement condamnés, les cadres de la confrérie ont choisi l’exil ou la clandestinité. Tandis que les plus jeunes basculent dans la violence. Reportage.
Au moins 142 personnes ont péri lors de la grande prière du vendredi dans un triple attentat suicide contre deux mosquées à Sanaa. L’Etat islamique a revendiqué les attaques.
Dans la foulée des évènements du 18 mars à Tunis, le Maroc, déjà menacé à plusieurs reprises par l’Etat Islamique (EI), a pris la décision de renforcer sa sécurité.
L’attentat meurtrier au musée du Bardo, à Tunis, a été revendiqué jeudi par l’État islamique. C’est la première fois que la nébuleuse jihadiste, qui sévit des plaines irakiennes aux côtes libyennes, frappe la Tunisie.
Deux jours après l’attentat qui a fait 21 morts au musée du Bardo à Tunis, les premiers éléments de l’enquête ont permis d’établir que les deux assaillants avaient été formés au maniement des armes en Libye voisine. Alors que les arrestations se poursuivent, plusieurs responsables politiques ont évoqué des failles sécuritaires.
Déjà fragilisé, le poumon de l’économie tunisienne pourrait être affecté par l’attaque sanglante du 18 mars, qui a provoqué la mort d’au moins 23 personnes, dont 20 touristes étrangers.
La chute des réserves de change de l’Algérie s’est accélérée au cours du dernier trimestre 2014 durant lequel elles ont baissé de 6,3 milliards de dollars.
À partir du 27 juin, la compagnie Swiss International Air Lines desservira de nouveau l’aéroport international Houari-Boumédiène, vingt ans après ses derniers vols vers l’Algérie.
En 1976, il ne parlait pas un mot de néerlandais. Quarante ans plus tard, il est maire de Rotterdam et si populaire qu’on lui prédit un avenir de Premier ministre. Pas mal comme intégration, non ?
Selon le secrétaire d’État tunisien chargé des affaires sécuritaires, les deux auteurs de l’attentat du musée du Bardo à Tunis, qui a coûté la vie à 21 personnes dont vingt touristes, se sont formés au maniement des armes en Libye.