D’un côté, un pays déchiré par les milices, squatté par l’État islamique et sur lequel prétendent régner deux gouvernements. De l’autre, des voisins africains et des Occidentaux divisés sur les moyens d’agir. Et pourtant, en Libye, il y a urgence.
Du Français Dominique Strauss-Kahn au Malaisien Anwar Ibrahim, on ne compte plus les responsables politiques dont les moeurs débridées, ou supposées telles, ont brisé la carrière. Pourquoi, à l’inverse, les frasques des dirigeants africains ne les conduisent-elles (presque) jamais devant les tribunaux ?
Pour financer leurs infrastructures, les États africains se pressent sur les marchés internationaux. Quitte à négliger la préparation de ces grands chantiers…
C’est un haut fonctionnaire qui a été choisi pour prendre la tête de la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc. Et pas n’importe lequel : un ancien patron du fisc, comme pour en finir avec les excès.
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, l’Etat islamique a enlevé 90 habitants après avoir attaqué Tal Chamiram et Tal Hermoz, deux villages chrétiens assyriens sous contrôle des forces kurdes dans la région de Hassaké, dans le nord-est de la Syrie.
Il y a un an, le patron du renseignement intérieur marocain était convoqué par une juge française, ce qui provoquait une crise diplomatique entre Paris et Rabat. Aujourd’hui, la France le promeut dans l’ordre de la Légion d’honneur.
Un important dispositif policier a été déployé mardi à l’aube autour de l’esplanade de la Grande Poste, dans le centre d’Alger, où devait se tenir une manifestation contre le gaz de schiste dans la matinée.
Moez Sinaoui est directeur de communication et porte-parole de Béji Caïd Essebsi. C’est l’un des hommes forts du président. Portraits de ceux qui entourent et conseillent le nouveau locataire du palais de Carthage.
Rafaa Ben Achour est conseiller de Béji Caïd Essebsi. C’est l’un des hommes forts du président. Portraits de ceux qui entourent et conseillent le nouveau locataire du palais de Carthage.
Mohsen Marzouk est ministre conseiller en charge des affaires politiques de Béji Caïd Essebsi. C’est l’un des hommes forts du président. Portraits de ceux qui entourent et conseillent le nouveau locataire du palais de Carthage.
Ridha Belhaj est ministre directeur du cabinet de Béji Caïd Essebsi. C’est l’un des hommes forts du président. Portraits de ceux qui entourent et conseillent le nouveau locataire du palais de Carthage.
Conseillers, collaborateurs ou proches, ils bénéficient d’un accès direct au palais de Carthage. Et joueront un rôle clé dans le dispositif du nouveau chef de l’État.
Le Parlement libyen siégeant à Tobrouk (Est), reconnu par la communauté internationale, a décidé lundi de suspendre sa participation au dialogue sur une sortie de crise parrainé par l’ONU, dont un nouveau round était prévu jeudi au Maroc.
Maroc Telecom a renoué avec la croissance en 2014, après quatre années de résultats négatifs. Une croissance portée en grande partie par les filiales subsahariennes de l’opérateur.
Pour la première fois, six Français, dont le départ vers la Syrie semblait imminent, ont été privés de leurs passeports. Une décision qui illustre le renforcement de l’arsenal législatif des pays européens pour contrer le phénomène des candidats au jihad. Mais avec quel réussite ?
Le groupe français Orange va racheter à Orascom Telecom Media and Technology ses parts restantes dans l’opérateur télécoms égyptien ECMS, qui exerce sous la marque Mobinil, s’assurant désormais un contrôle de 99 % du capital.
Accusé d’avoir eu recours à la violence lors d’une manifestation anti-Moubarak, Alaa Abdel Fattah, militant progressiste et figure de proue de la revolte de 2011, a été condamné lundi à cinq ans de prison par un tribunal égyptien.
Ancien grand espoir du cyclisme ayant évolué dans des formations européennes, le Tunisien Rafaâ Chtioui, vainqueur dimanche de la 10e Tropicale Amissa Bongo, la plus grande course d’Afrique, s’épanouit désormais dans une équipe émiratie, Skydive Dubai.
La résidence de l’ambassadeur iranien à Tripoli, la capitale libyenne désertée par la majorité des diplomates étrangers, a été visée dimanche par un double attentat, revendiqué par la branche libyenne du groupe Etat islamique (EI).
Aux portes de l’Europe, le nouveau foyer jihadiste qui se développe en Libye alimente les pires craintes du Vieux continent mais inquiète aussi les voisins immédiats du pays, qui craignent un renforcement de leurs propres groupes radicaux, soulignent les experts.
Après avoir été assigné à résidence durant des semaines, le président démissionnaire du Yémen a réussi samedi dans la matinée à quitter Sanaa pour Aden, la capitale du sud de cet État. Abd Rabbo Mansour Hadi avait renoncé au pouvoir sous la pression des miliciens chiites Houthis.
Pour les autorités algériennes, l’exploitation du gaz de schiste est une nécessité malgré les dangers qu’elle fait peser sur l’environnement. Mais les populations du Sud ne l’entendent pas de cette oreille.
Le film franco-mauritanien « Timbuktu » d’Abderrahmane Sissako, chronique de la vie quotidienne dans le nord du Mali sous la coupe des jihadistes, a triomphé vendredi à la 40e cérémonie des César, au cours d’une soirée qui a voulu célébrer la liberté d’expression.
Trois attentats à la voiture piégée ont eu lieu vendredi dans l’est de la Libye faisant au moins 45 morts et 70 blessés, selon les autorités locales. Des attaques revendiquées par l’État islamique (EI).
Le Real de Madrid a donné vendredi son accord pour disputer un match amical en Algérie, a rapporté le quotidien espagnol « Marca », très proche du club. La date de cette rencontre et l’équipe qui affrontera les champions d’Europe en titre restent pour l’heure un mystère, mais c’est surtout le coût de l’opération qui fait jaser à Alger.
Les députés représentant les Tunisiens de l’étranger à l’Assemblée nationale s’arrachent les cheveux ! À cause du règlement intérieur de l’institution qui les contraint à passer trois semaines par mois en Tunisie, comme n’importe quel autre parlementaire.
195 ressortissants égyptiens ont fui lundi la Libye en direction de la Tunisie après l’assassinat de 21 chrétiens coptes par le groupe État islamique (EI). Le gouvernement tunisien craint d’être confrontée à un afflux massif d’étrangers fuyant ce pays, comme lors du conflit en 2011 après la chute de Mouammar Kadhafi.