L’attribution au Maroc, coup sur coup, de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 et d’une partie de la Coupe du monde 2030 consacre la volonté d’affirmation internationale de Rabat, tant au niveau sportif que géopolitique.
Depuis l’attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre dernier, et les représailles de Tsahal sur la bande de Gaza, plusieurs sportifs se sont exprimés sur les réseaux sociaux, le plus souvent pour témoigner de leur solidarité envers la Palestine et appeler à la paix. Certaines déclarations ont beaucoup fait réagir.
Le nomination d’une nouvelle ambassadrice du Maroc en France, un an après le départ du dernier titulaire du poste, peut laisser penser à une amorce de détente entre les deux capitales. Mais le profil de la diplomate choisie indique clairement que le royaume entend rester ferme sur ses positions.
La Tunisie a toujours adopté une position de soutien ferme à la cause palestinienne. Certains acteurs de la culture soulignent que le festival programait des films palestiniens qui auraient pu attirer l’attention sur le conflit en cours.
Dans un long entretien avec le journaliste britannique Piers Morgan, le « John Stewart égyptien », qui vit désormais en Californie, mêle humour noir et défense de la Palestine. Son interview a déjà été visionnée par des millions de personnes.
Huit ans après sa transformation en banque universelle, l’établissement prépare son introduction sur les marchés de Casablanca pour booster sa croissance.
Plusieurs milliers d’Algériens ont manifesté, ce jeudi 19 octobre, aux quatre coins du pays en soutien à la Palestine, alors que les rassemblements populaires sont strictement encadrés, sinon interdits, depuis 2021.
Transplantations d’organes, oncologie, PMA, mais aussi chirurgie esthétique : devenue l’une des dix premières destinations mondiales de tourisme médical, la Turquie est de plus en plus prisée par les Algériens. Reportage aux côtés de patients ayant fait le voyage.
L’État fondé en 869 près de Bagdad par les esclaves révoltés est le premier du genre dans l’histoire de l’humanité. Il n’en existe qu’un seul autre : Haïti.
En visite à Tel-Aviv, le président américain a fait sienne la version israélienne sur le bombardement de l’hôpital al-Ahli Arabi. Il a par ailleurs annoncé l’entrée de camions d’aide humanitaire à Gaza depuis l’Égypte.
Dans le royaume, traditionnellement, c’est le Palais qui donne le ton en matière de politique étrangère. Depuis le 7 octobre, et alors que la rue se mobilise, chaque formation politique tente de faire valoir son point de vue et ses spécificités… sans trop s’éloigner du discours officiel.
Dans la bande de Gaza, mais aussi en Cisjordanie, les Palestiniens subissent les conséquences du conflit et réclament de ne pas être assimilés au Hamas et à ses actions que nombre d’entre eux ne cautionnent pas. Ils déplorent surtout l’indifférence de la communauté internationale qui, disent-ils, les a une nouvelle fois abandonnés.
Du champ de ruines qu’est en train de devenir Gaza émergent deux profiteurs de chaos : la Russie de Vladimir Poutine et l’Iran de l’ayatollah Ali Khamenei.
Après le bombardement d’un hôpital à Gaza qui a fait des centaines de morts, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Tunis, Rabat, Amman ou Damas pour dénoncer le soutien des pays occidentaux à Israël et leur indifférence au sort des Palestiniens.
En visite aujourd’hui en Israël, le président américain a affirmé sa volonté de travailler avec Israël pour éviter « davantage de tragédie » touchant les civils. Il a également tenté d’obtenir le passage des convois humanitaires actuellement bloqués à la frontière égyptienne.
Joe Biden doit rencontrer aujourd’hui Benyamin Netanyahou dans un contexte dramatique, après le bombardement de l’hôpital Al-Ahli Arabi de Gaza, tandis que Donald Trump tente de rétropédaler après avoir loué « l’intelligence » du Hezbollah.
Pour sa première participation au Gitex, la délégation officielle algérienne est à la recherche de partenariats et de financements pour accélérer son développement à l’international.
Alors que les affrontements font rage entre Israël et le Hamas, retour sur la guerre du Kippour qui, il y a un demi-siècle, faillit emporter l’État hébreu.
En pleine crise économique, et sans explications, le président tunisien a demandé à la ministre des Finances d’assurer l’intérim de Samir Saïed, le ministre limogé.
Après le bombardement d’un hôpital de Gaza qui a fait au moins 200 victimes le 17 octobre, les réactions se multiplient dans la région. Le Hamas accuse Israël quand l’armée israélienne attribue la frappe à un tir de roquette raté du Jihad islamique.
Depuis le début des hostilités entre Israël et le Hamas, aux yeux des populations arabes, les pays occidentaux ont définitivement pris fait et cause pour Israël, au mépris du droit international.
Parce qu’il est le seul acteur à avoir des relations avec tous les protagonistes du conflit en cours, Hamas et Iran compris, le Qatar est aujourd’hui le mieux placé pour jouer les médiateurs. D’abord pour faire libérer les otages israéliens, ensuite pour éviter un embrasement général.
L’international algérien, qui évolue à l’OGC Nice, a partagé sur Instagram la vidéo d’un prédicateur de Gaza. Il est maintenant visé par une enquête préliminaire pour « apologie du terrorisme ».
Considérée comme l’ennemie numéro un du président, Abir Moussi a rejoint la longue liste des personnes incarcérées depuis le mois de février. Que leur reproche-t-on exactement ? Que reste-t-il de l’opposition ?
Visite du président Biden en Israël, départ de l’aide humanitaire vers Rafah : les soutiens se pressent dans la région alors que l’Iran menace d’une « action préventive » si l’offensive terrestre israélienne a bien lieu.
Un projet de loi criminalisant les violences faites aux Mauritaniennes est jugé contraire aux préceptes de l’islam par les imams et les oulémas. Or, ce texte s’apprête à être examiné en conseil des ministres. Décryptage d’un débat très sensible.
À Rabat, où des centaines de milliers de Marocains ont défilé en solidarité avec les Palestiniens, les autorités ont rappelé que la condamnation des violences ne peut être distinguée d’une réflexion sur les causes du conflit. Et que la politique israélienne reste la principale responsable de l’impasse actuelle.
Le président de l’Autorité palestinienne a mis plusieurs jours à réagir au déclenchement d’une nouvelle guerre entre Israël et le Hamas. Mais est-il encore audible ?