Pris à tort pour un pyromane en août 2021, l’artiste peintre de 38 ans avait été lynché à mort. En première instance, 49 personnes, parmi les 102 accusés, avaient été condamnées à la peine capitale, commue en prison à vie.
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a catégoriquement rejeté la proposition de certains politiques israéliens d’évacuer les habitants de la bande de Gaza vers l’Égypte, à l’heure où Israël prépare une invasion terrestre du nord de l’enclave et a demandé son évacuation.
Israël massait ses troupes dimanche pour une offensive terrestre dans le nord bombardé de la bande de Gaza, résolu à anéantir le Hamas au neuvième jour de la guerre.
Frappé, le 8 septembre, par un puissant tremblement de terre qui a fait 3 000 morts et des milliers de blessés, le royaume a déployé, dès les premières heures, d’importants moyens. Voici les piliers de la gestion de la crise.
Il aura fallu sept ans et des centaines de morts pour que la décolonisation totale et entière de la Tunisie soit enfin effective. C’était à Bizerte, dernière fraction de territoire encore aux mains des Français, le 15 octobre 1963.
Pour Mounir Houari, le directeur général du Centre régional d’investissement, la priorité accordée au développement de Dakhla et de ses environs est en train de porter ses fruits, même si des efforts restent à faire pour attirer des talents et densifier les liaisons aériennes.
Depuis les premières implantations de communautés juives en Palestine, les parties en présence n’ont cessé de discuter pour trouver un terrain d’entente. Un interminable « processus de paix » semé de quelques avancées, et de beaucoup d’échecs.
Pour le chercheur et spécialiste français du Moyen-Orient David Rigoulet-Roze, difficile, même si les preuves manquent, de ne pas voir l’influence de l’Iran derrière l’opération du Hamas en Israël.
Le nouvel essai de Dorothée-Myriam Kellou, « Nancy-Kabylie », revient sur les déplacements de population organisés par l’armée française dans les années 1950, au mépris des conditions de vie de la population.
« Je suis kabyle mais Ferhat Mehenni ne me représente pas. » Ce slogan est, depuis cinq jours, fortement relayé sur les réseaux sociaux en Algérie, à la suite des déclarations du leader du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie à propos de la guerre entre Israël et le Hamas.
Après le succès d’un premier événement consacré à l’Algérie, ce collectif, qui réunit des personnes mi-Arabes et mi-Avengers et toutes issues du monde de la culture et des médias, parle du Maroc à travers une série de tables rondes et de concerts au Docks B, à Pantin (région parisienne).
Élu en 2019 sur un programme visant à renverser l’ordre ancien et à rendre la parole au peuple, le président tunisien n’a eu de cesse, depuis, de concentrer le pouvoir entre ses mains, quitte à modifier la Constitution et à atomiser l’opposition.
Le Conseil de sécurité de l’ONU doit se réunir le 13 octobre pour aborder la situation à Gaza après avoir appelé à l’annulation de l’ordre d’évacuation.
Un partenariat avec la Banque mondiale, un prêt de 100 millions d’euros auprès de sa filiale privée l’IFC… Les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui ont lieu à Marrakech s’avère être un terrain fertile pour OCP, le géant marocain des phosphates.
Après que le président Kaïs Saied a déclaré le 2 octobre qu’il refusait l’« aumône » de Bruxelles, la Commission européenne indique à nouveau aujourd’hui qu’elle souhaite toujours faire aboutir les discussions.
Alors que la riposte d’Israël à l’offensive du Hamas s’amplifie, Ghislain Shema Ndayisaba, ancien président d’une organisation d’aide aux rescapés du génocide des Tutsi du Rwanda, milite pour une solution à deux États, seule à même de garantir paix et sécurité.
Des polémiques insinuent que l’État hébreu était informé de l’imminence de l’offensive mais aurait choisi de ne pas agir. Benyamin Netanyahou nie en bloc. De son côté, le Hamas affirme que l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » était totalement confidentielle.
S’il n’a été créé qu’à la fin des années 1980, le mouvement islamiste palestinien a rapidement su s’imposer à Gaza en s’inspirant des méthodes des Frères musulmans égyptiens, dont il est issu. À rebours des tentatives de paix et de la normalisation en cours, son objectif demeure la destruction d’Israël.
Plus que jamais, les banques tunisiennes financent le budget de l’État. Mais le mécanisme arrive à bout de souffle. Jadis choyés, les banquiers sont maintenant pointés du doigt par le pouvoir.
Si les relations avec Israël ont été normalisées et que la coopération entre Rabat et Tel-Aviv se développe rapidement, l’opinion publique marocaine reste très majoritairement acquise à la cause palestinienne.
Pur produit du géant gazier et pétrolier public algérien, l’ingénieur de 60 ans a connu honneurs et disgrâce avant de retrouver un poste, hautement stratégique, qu’il a déjà occupé en 2019.
Réunis au Caire, les ministres des Affaires étrangères arabes ont appelé à la « levée du siège de Gaza ». Et demandé l’autorisation de faire entrer de la nourriture et du carburant dans l’enclave soumise au blocus d’Israël.
Les suppliciés du kibboutz de Kfar Aza et les enterrés vivants de Gaza sont les victimes innocentes d’une tragique impasse politique dont nul ne connaît plus la voie de sortie.
Comment la préparation d’une attaque aussi massive que celle lancée le 7 octobre par le Hamas a-t-elle pu échapper aux nombreux services secrets actifs dans la région ? Plongée au cœur d’une guerre de l’ombre.
Principalement connue pour les sports nautiques, notamment le kitesurf, Dakhla commence à opérer une diversification de son offre touristique. Et réfléchit également aux moyens de retenir les cadres qui viennent travailler dans la région.
La présence des captifs à Gaza limite dangereusement la marge de manœuvre d’Israël. Le Qatar et l’Égypte pourraient jouer les médiateurs dans le cadre des négociations avec l’organisation palestinienne.
L’ONU a rappelé que le siège total de la bande de Gaza était « interdit » par le droit international humanitaire. Le bilan humain de la guerre dépasse maintenant les 2 000 morts et les 7 000 blessés.
Bientôt quatre jours après le lancement de l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » par le Hamas, les réactions internationales permettent déjà de dessiner certaines tendances et évolutions possibles. Entre les défenseurs inconditionnels d’Israël et ceux qui appellent à ne pas cesser d’aider les Palestiniens, la polarisation est à son comble.