Après une nouvelle controverse sur la Constitution, les débats ont été paralysés lundi, ralentissant à nouveau l’adoption de la Loi fondamentale. En cause : l’adoption d’un article sur les conditions d’éligibilité du président.
Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, s’est rendu à Alger les 18 et 19 janvier. Retour sur une visite en demi-teinte au cours de laquelle ont été prises des décisions concernant la sécurité dans la zone sahélienne.
En délicatesse en France après l’émission d’une circulaire par le ministère de l’Intérieur, Dieudonné M’bala M’bala a été contraint, pour pouvoir continuer à se produire, de ne plus jouer son spectacle controversé intitulé « Le mur ». Il a cependant annoncé, dans une vidéo publiée dimanche, qu’il tournerait « une version piquante » de ce spectacle en Algérie.
Auréolé de la gloire de la destitution de l’ex-président Mohamed Morsi, le chef de l’armée égyptienne, le général Abdel Fattah al-Sissi, garde le silence sur ses intentions présidentielles. Veut-il devenir le chef de l’exécutif ou rester un faiseur de rois ? Les deux ? L’éclairage du spécialiste de la vie politique égyptienne contemporaine, Tewfik Aclimandos.
Le conglomérat Cevital, premier groupe privé d’Algérie, s’est porté repreneur du fabricant d’électroménager FagorBrandt, en redressement judiciaire depuis novembre 2013. Le groupe dirigé par Issad Rebrab est l’un des quatre postulants.
Après deux ans de tergiversations, Tunisie Télécom renonce finalement à céder sa participation de 51% dans la société de téléphonie mauritanienne Mattel. L’opérateur tunisien entend même réinvestir dans sa filiale afin de garantir sa mise à niveau face à la concurrence.
Luttes internes, démissions, doutes sur l’éligibilité de son fondateur… Le mouvement de Béji Caïd Essebsi est entré dans une zone de turbulences. Mais reste au coude à coude avec Ennahdha dans les sondages.
Après deux ans de tergiversations, Tunisie Télécom renonce finalement à céder sa participation de 51% dans la société de téléphonie mauritanienne Mattel. L’opérateur tunisien entend même réinvestir dans sa filiale afin de garantir sa mise à niveau face à la concurrence.
Le procès de trois policiers tunisiens impliqués dans le viol d’une jeune femme vient d’être à nouveau reporté, lundi, et est désormais fixé au 13 février prochain. Cette affaire fait scandale en Tunisie depuis plus d’un an.
Dans une interview accordée dimanche à l’AFP, le président syrien, Bachar al-Assad, a accusé la France d’être un pays vassal du Qatar et de l’Arabie saoudite.
Après bien des vicissitudes et des déchirements, la Constituante a accouché au forceps d’un texte qui met à nu les contradictions et les ambivalences de la modernité tunisienne. Mais en préservant, malgré tout, ses acquis séculiers.
La Constitution approuvée en Égypte ouvre la voie de la présidence au chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi, mais le général doit convaincre une partie des jeunes qui ont soutenu la destitution du président islamiste Mohamed Morsi mais boudé le référendum, redoutant un retour à l’ère Moubarak.
L’examen des derniers articles de la Constitution tunisienne prévu dimanche a été reporté à lundi matin, alors que quelques dispositions doivent encore faire l’objet d’un compromis pour permettre le vote d’adoption du texte plus de trois ans après la révolution.
L’ex-chef du gouvernement Ali Benflis a officialisé dimanche sa candidature à la présidentielle algérienne. Lors d’une longue conférence de presse, il a présenté son programme politique.
Le secrétaire d’État John Kerry a appelé samedi Le Caire à mettre en oeuvre les droits et libertés édictés dans la nouvelle Constitution, peu après la victoire du oui au référendum constitutionnel en Égypte.
Le « oui » l’a emporté par 98,1%, avec 38,6% de participation, au référendum constitutionnel en Égypte, a annoncé samedi la commission électorale, le pouvoir dirigé par les militaires ayant considéré par avance qu’un tel résultat légitimerait la destitution du président islamiste Mohamed Morsi.
Les derniers articles du projet de Constitution tunisienne doivent être examinés dimanche après-midi par les élus, selon la Constituante qui a approuvé samedi une quinzaine de dispositions notamment consacrées à la décentralisation et aux révisions constitutionnelles.
Des heurts entre policiers et islamistes ont fait au moins trois morts vendredi en Égypte, à la veille de l’annonce des résultats d’un référendum constitutionnel présenté par les autorités comme une caution populaire à l’éviction du président Mohamed Morsi.
Soutenue par BP Oil International London, la Société anonyme marocaine de l’industrie du raffinage (Samir) a annoncé la signature avec Chartered Standard et Dubai Bank d’un contrat de financement de 200 millions de dollars, portant sur une durée de 2 ans.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta se rend samedi à Alger pour une visite de « quelques jours ». Un déplacement à forte valeur symbolique, à l’heure ou les autorités algériennes tentent de se replacer dans le règlement de la crise malienne.
L’Assemblée nationale constituante a voté dans son intégralité le chapitre droits et libertés de la nouvelle Constitution tunisienne, accomplissant de réelles avancées par rapport au texte de 1959. Explications.
L’armée de l’air française survole les frontières Tchad-Libye et Niger-Libye depuis octobre 2013 afin de repérer tout véhicule suspect dans le sud libyen.
La police égyptienne a dispersé vendredi les manifestations pro-Morsi organisées à la veille de l’annonce des résultats du référendum constitutionnel. Un scrutin présenté par les nouvelles autorités comme une caution populaire à l’éviction du président islamiste.
De retour à Alger après avoir effectué des tests médicaux à Paris, le président Abdelaziz Bouteflika a signé un décret convoquant le corps électoral aux urnes le 17 avril prochain pour l’élection présidentielle.
L’édition 2013 du programme « Meilleurs employeurs du Maroc » a récompensé Menara Holding et Microsoft Maroc, respectivement dans les catégories « grandes entreprises » et « PME ».
L’Association internationale du transport aérien (IATA) tire la sonnette d’alarme au sujet de la nouvelle taxe aérienne marocaine. Celle-ci pourrait, selon l’association, entraîner un manque à gagner de 1,1 milliard de dirhams (99 millions d’euros) pour le Trésor public marocain.