L’incertitude était totale mardi, en Tunisie, sur les possibilités de sortie de la profonde crise politique dans laquelle le pays est enfoncé depuis plusieurs mois. Les islamistes d’Ennahdha au pouvoir et leurs opposants se rejettent la responsabilité de l’échec des pourparlers pour désigner un nouveau Premier ministre.
Les otages français du Niger auraient été récemment libérés contre une rançon de quelque 20 millions d’euros. Avant eux, plusieurs Occidentaux aux mains de groupes jihadistes sahéliens ont retrouvé la liberté grâce au versement d’importantes sommes d’argent. Depuis 2009, les chiffres du « business des otages » sont en constante augmentation.
Vivendi a annoncé le 5 novembre avoir conclu un accord définitif pour la vente de 53% du capital de Maroc Télécom à Etisalat. Montant : 4,2 milliards d’euros, payés en numéraire.
Le parti islamiste au pouvoir, Ennahdha, et l’opposition tunisienne n’ont pas réussi à s’entendre, lundi, sur le nom d’un nouveau Premier ministre indépendant. Les négociations ont été ajournées « sine die ». Un échec qui plonge un peu plus le pays dans la crise.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Mustapha Kamel Nabli.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Haythem el-Mekki.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Kaïs Saïed.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Oum Zied.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Sofiane Ben Farhat.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Mohamed Amine Akid, le meneur des Ligues de protection de la révolution (LPR).
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Yadh Ben Achour.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Férid el-Béji.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, l’avocat Ghazi Mrabet.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Rafaa Ben Achour.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans.
Alors que Michelin avait annoncé en juin dernier la revente de sa filiale algérienne au groupe privé local Cevital, Alger a déclaré qu’il allait faire valoir son droit de préemption sur la société.
Le procès pour « incitation au meurtre » de l’ancien président égyptien Mohamed Morsi, destitué par l’armée en juillet, a été ajourné lundi. Il est prévu qu’il reprenne le 8 janvier 2014.
Entre le XVIe et le XIXe siècle, la Méditerranée est le théâtre de combats mémorables. Les rives africaines servent de havres à des marins musulmans de légende : Barberousse, Dragut, Euldj Ali, Moratto Genovese Osta, Morat Raïs…
Les Français sont de plus en plus nombreux à mener la « guerre sainte » à Damas. Aujourd’hui, ils seraient environ 300, sur 600 Européens, à fournir une aide logistique et militaire à l’opposition syrienne, qu’elle soit terroriste ou non. Un chiffre impressionnant qui inquiète les autorités européennes et françaises.
Le ministère koweïtien de la Santé veut mettre en place des tests de dépistage de l’homosexualité à l’entrée du pays. Vous avez dit absurde ? Ou homophobe ?
À la suite d' »actes de provocation et d’hostilité de l’Algérie » dans le dossier du Sahara occidental, le Maroc avait décidé de rappeler, la semaine dernière, son ambassadeur à Alger. Une mesure conservatoire qui a finalement été levée, le diplomate Abdallah Belkaziz reprenant lundi ses fonctions dans la capitale algérienne.
Poursuivi pour « incitation au meurtre », l’ex-président islamiste égyptien, Mohamed Morsi, destitué par l’armée le 3 juillet, est arrivé lundi au tribunal du Caire pour assister à l’ouverture de son procès.
Israël a publié dimanche des appels d’offres pour la construction de 1 859 logements en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, avant une visite du secrétaire d’État américain John Kerry, selon l’ONG La Paix Maintenant.