Analyse de la situation sismique du royaume, alors que les recherches se poursuivent pour tenter de sauver d’éventuels survivants ensevelis sous les décombres, en cartes et en infographies.
Tous les bonus reçus par les membres de l’équipe nationale de football jusqu’à la prochaine CAN iront aux sinistrés du tremblement de terre d’Al Haouz, apprend-on par un communiqué officiel.
Au menu de la visite tant attendue du souverain marocain : une visite du CHU de la ville. Mais aussi, vraisemblablement, une rencontre avec quelques-unes des victimes les plus touchées par la catastrophe.
Marrakech a été choisi pour accueillir les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI du 9 au 15 octobre. Un rendez-vous qui n’avait pas eu lieu sur le sol africain depuis 50 ans. Mais après le séisme qui a frappé la région le 8 septembre, des doutes naissent quant à la possibilité de maintenir l’événement.
Le gouvernement marocain a fait savoir qu’il rejetait la proposition d’aide de l’Algérie, qui s’apprêtait à envoyer trois avions, avec à leur bord des secouristes et du matériel destiné aux sinistrés.
Les deux principaux barrages en amont de cette ville de 100 000 habitants ont lâché dans la nuit du 10 au 11 septembre, provoquant d’énormes coulées de boue, détruisant les ponts et emportant de nombreux immeubles.
Si le Maroc a accepté l’offre d’assistance de plusieurs pays après le séisme d’Al Haouz, la France n’a toujours pas reçu de feu vert pour intervenir. Certains s’en étonnent et font le lien avec les relations tendues entre Paris et Rabat. Qui disent regretter une polémique stérile.
Si les interventions égyptiennes dans la crise soudanaise restent le plus souvent discrètes, Le Caire suit de près l’évolution de la situation chez son voisin du Sud. Un intérêt qui s’explique par les liens anciens et très étroits entre les deux pays.
Volontaires et secouristes restent mobilisés pour tenter de trouver d’éventuels survivants, même si 72 heures après le séisme qui a fait près de 2 900 morts, les chances sont de plus en plus minces.
En Tunisie, le long processus de justice transitionnelle, malgré les promesses des gouvernements successifs, n’a pas porté ses fruits. Explications d’Ahmed Souab, ancien membre de la commission de confiscation.
Alors que le dernier bilan officiel fait état de 2 862 morts, une nouvelle équipe espagnole de 31 hommes et 15 chiens a été envoyée au Maroc. L’Espagne fait partie des quatre pays dont l’offre d’aide a été acceptée par Rabat.
Dominé par quelques grands acteurs mais fragilisé par une situation de surcapacité, le monde de la minoterie marocaine doit poursuivre sa modernisation, estime Moulay Abdelkader Alaoui, le président de la fédération des meuniers.
Très sensibles au sort de leurs compatriotes et de leurs proches vivant au pays, les Marocains résidant à l’étranger se mobilisent depuis samedi matin pour apporter toute l’aide possible.
Un groupe de députés européens sera à Tunis du 14 au 16 septembre pour évoquer les partenariats en cours, portant notamment sur les flux migratoires et les assistances financières.
Les autorités algériennes ont annoncé un plan d’aide d’urgence pour leur voisin marocain, proposant de dépêcher une équipe de 80 secouristes spécialisés, ainsi que des aides matérielles. Au Maroc, le bilan officiel approche désormais la barre des 2 500 morts.
Alors que les négociations entre Khartoum, Le Caire et Addis Abeba avaient repris le 27 août dernier, l’annonce éthiopienne de la fin du remplissage du mega barrage sur le Nil relance les hostilités.
Souvent mobilisées lors d’événements dépassant en apparence leurs prérogatives, les forces armées sont à nouveau sur le terrain pour secourir les victimes du tremblement de terre qui a frappé le Maroc dans la nuit de vendredi à samedi.
Alors que le royaume bénéficie d’un grand élan de solidarité international depuis le tremblement de terre, associations et gouvernements étrangers attendent encore le feu vert des autorités marocaines pour se rendre sur place. Ce matin, Rabat a répondu favorablement aux propositions de Doha et Madrid.
Fuyant le carcan étouffant d’une Europe coloniale et conservatrice, converti à l’islam, le peintre aux convictions libertaires n’a cessé de chercher la liberté et l’indépendance, sans jamais les trouver vraiment.
Le tremblement de terre de ce 8 septembre, le plus puissant de l’histoire contemporaine du Maroc, a déjà causé plus de 2 000 décès selon les derniers bilans officiels. Les blessés convergent maintenant vers les hôpitaux, en particulier à Marrakech.
Alors que le bilan s’est encore alourdi pendant la nuit, dépassant les 2 000 morts, et que des répliques se font sentir, les organisations d’aide commencent à évaluer les besoins et estiment que les régions touchées devront être soutenues pendant des années.
Alors qu’il était en séjour privé à Paris, le roi Mohammed VI est rentré à Rabat, d’où il a présidé une réunion de crise à la suite du séisme qui a frappé le royaume. Un deuil national de trois jours a été décrété.
Le tremblement de terre qui a touché la province marocaine d’Al Haouz vient le rappeler de façon dramatique : la Méditerranée, et notamment sa rive sud, est une zone de forte activité sismique.
Alors que le bilan du tremblement de terre dépasse maintenant les 1 000 morts, l’Algérie a, à son tour, proposé assistance à son voisin, annonçant notamment sa décision de rouvrir son espace aérien aux avions transportant de l’aide humanitaire ou des blessés.
Entre envie d’aventure et quête de spiritualité, l’écrivaine-voyageuse suisse d’origine russe a toujours suivi son instinct, lequel l’a conduite vers le Sud et les dunes d’El-Oued, dans le Souf, en Algérie.
Le tremblement de terre au Maroc, qui a fait plus de 1 000 morts, a suscité un élan de solidarité dans le monde, plusieurs pays proposant leur aide à Rabat.
Plus de 1 000 personnes ont été tuées et 672 blessées dans un séisme qui a dévasté le pays dans la nuit de vendredi à samedi, provoquant d’énormes dégâts à Marrakech. La secousse a été ressentie à Rabat, Casablanca, Agadir et Essaouira.
Libre, instruite, curieuse, l’écrivaine voyageuse Alexandra David-Néel s’est imposée comme une femme d’une modernité déroutante. Si son nom est à jamais lié au Tibet, on ignore parfois qu’elle a vécu plus de dix ans à Tunis, où elle a opéré une métamorphose.