Le parti islamiste Ennahda a promis samedi de ne pas céder le pouvoir, devant quelque 15.000 partisans réunis à Tunis, alors que les tractations pour la formation d’un nouveau gouvernement s’éternisent et que le pays vit sa pire crise politique depuis la révolution.
Mourad Ben Chaâbane, directeur général de l’intermédiaire en bourse MAC SA a annoncé la création d’un fonds d’investissement de 100 millions de dinars en partenariat avec le capital-investisseur panafricain Emerging Capital Partners. Objectif : financer le développement des PME tunisiennes.
Plus de 300 civils, dont des femmes et des enfants, ont été enlevés en deux jours dans le nord-ouest de la Syrie, des rapts à caractère confessionnel sans précédent depuis le début du conflit il y a bientôt deux ans, ont rapporté samedi une ONG et des habitants.
Quelque 15.000 partisans du parti islamiste Ennahda, au pouvoir, manifestaient samedi dans le centre de Tunis pour défendre le droit de leur mouvement à diriger le pays qui traverse sa pire crise politique depuis la révolution de janvier 2011.
Des milliers de partisans de Mohamed Morsi ont manifesté vendredi au Caire pour dénoncer les violences, après des semaines d’affrontements meurtriers entre la police et des manifestants hostiles au président islamiste.
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali se livrait vendredi à d’ultimes consultations pour former un gouvernement apolitique, contre l’avis de son parti islamiste, alors que le pays connaît sa plus grave crise depuis la révolution.
Contrairement aux premières informations relayées par l’agence de presse espagnole EFE, aucun accord n’a pu être conclu entre le Maroc et l’Union européenne concernant le renouvellement du protocole de pêche entre les deux partenaires.
Twitter n’en finit plus de conquérir l’Afrique. Tiré par l’Afrique du Sud et le Kenya, le réseau social n’épargne pas les capitales francophones, qui se lancent doucement, sans concurrencer, pour le moment, les anglophones, à l’exception d’Abidjan. Découvrez la cartographie, ville par ville, de la twittosphère africaine. Votre quartier est, peut-être, un repaire de « twittos ».
Comme nous le supposions mercredi 13 février, Nabil Maâloul, préféré à Khaled Ben Yahia, a été nommé sélectionneur de la Tunisie en remplacement de Sami Trabelsi, qui avait démissionné la semaine dernière.
L’Égyptien Naguib Sawiris réclame 5 milliards de dollars en dédommagement du « harcèlement » dont il estime avoir été victime à partir de 2008 jusqu’à la vente d’Orascom Telecom Algérie (OTA) au russe Vimpelcom.
Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire français Marianne, le vice-président d’Ennahdha, Abdelfattah Mourou, réclame le départ du chef du parti, Rached Ghannouchi. Et soutient l’initiative de Hamadi Jebali, qui a proposé la formation d’un gouvernement de technocrates apolitique pour sortir le pays de la crise.
L’entreprise pharmaceutique algérienne Laboratoires Salem a repris, il y a trois ans, un site français de la multinationale Bristol Myers Squibb. Grâce à son nouveau savoir-faire, le génériqueur y développe de nouveaux produits pour l’Afrique et l’Europe.
Entre les chefs d’entreprise et l’équipe Sellal, le dialogue s’installe. Si les mesures du Premier ministre sont trop récentes pour être évaluées, les hommes d’affaires se sentent enfin écoutés.
Malgré l’apparition de nouveaux établissements, notamment étrangers, le taux de bancarisation demeure très bas. La finance islamique pourrait faire sauter un des nombreux freins à l’ouverture de comptes.
Le journaliste français Nadir Dendoune, en reportage en Irak pour le « Monde diplomatique », a été libéré après 23 jours de détention dans une prison de Bagdad. La justice irakienne lui reprochait d’avoir photographié sans autorisation le quartier général des services du renseignement irakiens.
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali a déclaré, jeudi 14 février, qu’il annoncerait, samedi 16 février, le succès ou l’échec de sa proposition de former un gouvernement de technocrates. Depuis l’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd, la Tunisie est plongée dans une grave crise politique.
Vérités brûlantes, règlements de comptes, réquisitoires… Les Algériens se passionnent pour ces Mémoires qui révèlent la face cachée de leur passé. Et dopent le marché du livre.
L’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd plonge le pays dans une crise politique grave. Le parti islamiste est accusé de porter la responsabilité morale de ce crime, pendant que la troïka au pouvoir implose…
Les réformes lancées par Abdelaziz Bouteflika et les multiples scrutins de 2012 ont bouleversé l’échiquier. Mais les vrais gagnants des élections ne sont pas forcément les vainqueurs.
Après avoir dirigé l’assureur ouest-africain Colina pendant plus de vingt ans, le Franco-Libanais Raymond Farhat a pour mission de faire de son repreneur marocain, Saham Finances, un véritable groupe panafricain.
On lui promettait un échec rapide. Et cuisant. Pourtant, après des débuts un peu hésitants, la ministre de la Francophonie a fini par trouver sa place dans l’équipe de François Hollande.
Dans un entretien au quotidien français Le Figaro, paru le 14 février, le président tunisien Moncef Marzouki estime que la Tunisie a « absorbé le choc de l’assassinat » de l’opposant Chokri Belaïd.
La préférence nationale a joué à plein dans l’attribution des marchés de la ligne à grande vitesse marocaine. Les groupes locaux ont remporté 51 % des contrats de génie civil.