Une autre déconvenue menace Maroc Télécom, cette fois-ci sur le plan boursier. En 2012, MSCI a confirmé la possible sortie du Maroc de son indice des pays émergents, une référence dans le monde de la finance. « Le risque [serait alors] de voir une grande partie des investisseurs internationaux bouder les valeurs cotées à Casablanca, dont Maroc Télécom », explique Benoît Maynard, analyste pour Natixis. Une perspective négative qui, ajoutée au contexte boursier baissier, explique peut-être pourquoi le royaume, toujours détenteur de 30 % du capital, a finalement renoncé à mettre en vente une partie de ses actions.
Cette semaine dans Jeune Afrique, le retournement de la conjoncture économique mondiale et ses effets sur les économies africaines, la relance de l’exploration d’hydrocarbures en Tunisie, les difficultés de Maroc Télécom, le portrait de Sunny Verghese, patron d’Olam et les initiatives de SGBCI en Côte d’Ivoire.
Tripoli a annoncé, dimanche 16 septembre, avoir interpellé une cinquantaine de personnes à la suite de l’attaque meurtrière de Benghazi. Contrairement aux autorités libyennes qui parlent d’un assaut « planifié », l’ambassadrice américaine à l’ONU, Susan Rice, estime que celui-ci n’était pas forcément prémédité.
Le sélectionneur national de la Tunisie, Sami Trabelsi, revient sur les performances du football tunisien à l’échelle continentale. Et livre la clé de ses succès futurs.
Les autorités libyennes ont interpellé une cinquantaine de personnes dans le cadre de l’enquête sur l’attaque contre le consulat des Etats-Unis à Benghazi au cours de laquelle l’ambassadeur et trois autres Américains ont été tués, a annoncé dimanche le président du Parlement libyen.
Deux ans après leur enlèvement au Niger, quatre Français sont toujours détenus en otages au Sahel par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui s’est emparé depuis cinq mois et demi, avec l’aide d’autres groupes islamistes armés, du nord du Mali.
Il a été un acteur contrarié avant de devenir un danseur accompli. Chorégraphe reconnu, ce Tunisien s’interroge aujourd’hui sur l’avenir démocratique de son pays après la révolution.
Le président égyptien Mohamed Morsi a jugé, vendredi à Rome, que le film anti-islam constituait une « agression » qui « détourne l’attention des vrais problèmes au Proche-Orient », tout en condamnant à nouveau les violences qu’il a entraînées dans la région.
De nombreuses interrogations planent sur les 14 minutes de vidéo extraites du film « Innocence of Muslims » (« L’innocence des musulmans ») qui a déclenché une vague de violences anti-américaines dans le monde arabe. Qui l’a réalisé, comment, avec quels moyens ? Début de réponse.
Le film anti-islam qui enflamme actuellement le monde arabe a été tourné sous le titre de « Guerriers du désert » près de Los Angeles, par une organisation caritative chrétienne, un copte condamné pour fraude et, selon la presse, un réalisateur de films pornographiques.
Des dizaines de milliers de musulmans ont manifesté vendredi notamment dans le monde arabe pour dénoncer un film dénigrant l’islam, réalisé aux États-Unis, qui a déclenché de nouvelles violences faisant six morts en Tunisie, au Soudan, au Liban et en Égypte.
Plusieurs centaines de manifestants ont pris d’assaut, dans l’après-midi du 14 septembre, l’ambassade américaine de Tunis, incendiant deux de ses bâtiments et hissant le drapeau noir des radicaux islamistes. Le bilan officiel provisoire des violences fait état de deux morts et vingt-huit blessés, dont deux dans un état critique.
Mauvais état des infrastructures et des véhicules, comportement dangereux des conducteurs… Du Maroc à l’Égypte, l’insécurité routière fait des ravages.
Liban, Égypte, Soudan, Tunisie, Yémen, Pakistan… Dans la foulée de l’attaque du consulat américain de Benghazi, le 11 septembre, qui a entraîné la mort de quatre fonctionnaires américains, dont l’ambassadeur Christopher Stevens, de nombreuses manifestations – plus ou moins violentes – étaient en cours dans l’après midi du vendredi 14 septembre. Toujours pour protester contre le film anti-musulmans « Innocence of Muslims ». On compte six morts à travers le monde.
Une nouvelle découverte a été annoncée au Sahara oriental algérien par E.ON et Sonatrach. C’est la septième réalisée par les deux sociétés dans le permis de Rhourde Yacoub.
Le royaume chérifien et les États-Unis ont lancé, jeudi 13 septembre, un « dialogue stratégique ». Souhaité par Mohammed VI et Hillary Clinton, ce nouveau pacte vise à renforcer les collaborations politique, militaire, économique et culturelle entre les deux pays.
Khalil Chammam, le capitaine d’une Espérance de Tunis déjà qualifiée pour les demi-finales de la Ligue des Champions, estime son équipe capable de conserver son titre. Mais le défenseur international livre aussi ses vérités sur le football tunisien.
Le directeur du groupe de presse Dar Assabah, Lotfi Touati, est accusé d’avoir volontairement renversé un de ses journalistes, Khalil Hannechi, jeudi 13 septembre à Tunis.
Des personnes suspectées d’être impliquées dans l’attaque contre le consulat américain de Benghazi ont été arrêtés, jeudi 13 septembre, en Libye. Al-Qaïda est soupçonnée d’avoir prémédité l’assaut.
La défaite au Mozambique, samedi 9 septembre (0-2), si elle ne disqualifie pas le Maroc pour la CAN 2013, compromet les chances d’Eric Gerets, le sélectionneur belge des Lions de l’Atlas, de conserver son poste. Dominique Cuperly, son adjoint, pourrait lui succéder dans un avenir proche.
Des manifestants yéménites ont pris d’assaut, jeudi 13 septembre, l’ambassade américaine à Sanaa. Comme en Libye et en Égypte, ils protestent contre la diffusion d' »Innocence of Muslims », un film anti-islam produit aux États-Unis. On compterait un mort parmi les assaillants.
Malgré une atmosphère tendue en raison de l’attaque qui a eu lieu le 11 septembre contre l’ambassade américaine à Benghazi, l’élection du Premier ministre libyen a été maintenue mardi 12 septembre. C’est le technocrate Moustapha Abou Chagour qui a récolté les faveurs de l’Assemblée nationale libyenne.
Ils sont nombreux, les réalisateurs, à porter haut les couleurs du royaume. Et ce grâce, notamment, au système de subventions mis en place par l’État marocain depuis des années. Mais ce mécanisme peut-il perdurer tout en préservant la liberté de création ?
Cinq militants du Mouvement du 20 février, arrêtés après une manifestation pacifique le 22 juillet à Casablanca, ont été condamnés mercredi 12 septembre à des peines de prison ferme.
Discret et réputé pour son professionnalisme, Abdel Fattah al-Sissi a succédé au très influent Hussein Tantawi à la tête de l’armée. Il est l’ancien patron des renseignements militaires et est réputé proche des Frères musulmans.
Vient-on habituellement a une manifestation pacifique avec des kalachninovs et des roquettes RPG ? En toute logique, la réponse est non. C’est la raison pour laquelle l’administration Obama évoque – sans preuve formelle – la thèse de l’opération planifiée pour l’attaque contre le consulat américain de Benghazi, dans la nuit de mardi à mercredi 12 septembre. L’assaut, mené par des salafistes, a coûté la vie à l’ambassadeur des États-unis en Libye, Christopher Stevens, ainsi qu’à trois autres fonctionnaires américains, mais aussi à plusieurs agents de sécurité libyens.
Les patrons algériens, via le président du Forum des chef d’entreprises (FCE), Réda Hamiani, demandent la révision de la règle dite des 49/51, qui impose au moins 51% d’intérêts algériens dans tous les projets d’investissement impliquant des étrangers.
Tout au long de l’été, les coupures d’électricité se sont répétées en Algérie. En cause, un cadre législatif inadapté, mais aussi un monopole en difficulté.