L’ancien parti unique algérien Front de Libération nationale (FLN) se dit confiant de remporter les élections législatives du 10 mai, mais il est tiraillé par des tensions internes et déjà tourné vers l’avenir avec la perspective de la présidentielle de 2014.
La campagne des législatives s’achève ce samedi 5 mai. Avec 25 000 candidatures à la députation, sur place on redoute une abstention record pour une campagne qui, malgré les efforts de certains candidats, n’est jamais parvenue à passionner les Algériens.
L’armée égyptienne a envoyé samedi 300 personnes en prison et organisé des obsèques solennelles pour un soldat tué, après les affrontements entre manifestants hostiles à l’armée et militaires qui pèsent sur le climat de la présidentielle prévue à la fin du mois.
Le commerce des armes est florissant en Afrique du Nord. En 2011, l’Algérie est même devenue le pays le plus dépensier d’Afrique en terme d’armement, avec la bagatelle de 6,5 milliards d’euros de budget militaire. Une somme qui ferait presque passer les 2,4 milliards marocains pour des broutilles.
Au moins deux personnes ont été tuées et près de 300 blessées vendredi au Caire dans des heurts entre manifestants hostiles au pouvoir militaire et soldats près du ministère de la Défense, faisant encore monter la tension à l’approche de la présidentielle prévue à la fin du mois.
Avec des calendriers électoraux concordants, on pourrait penser que les Algériens se détourneraient de la présidentielle française. Or il n’en est rien, jugeant la campagne des législatives soporifique, les Algériens francophones se passionnent massivement pour la course à l’Élysée.
Rien ne semble arrêter la richissime pétromonarchie, qui investit de plus en plus dans la presse et l’audiovisuel français. Le Qatar détient désormais près de 13 % du capital du puissant groupe Lagardère. Et affiche des ambitions aux motivations ambiguës.
C’est un gage de mobilité et de meilleure lisibilité des diplômes à l’international. Le système licence-master-doctorat a fini par s’imposer dans les universités marocaines, tunisiennes et algériennes.
De passage à Jeune Afrique, la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du candidat socialiste, nous l’a confié : elle refuse le rôle d’icône de la diversité.
Figure historique de la Place de Tunis, Salah Sayel, le nouveau président du Conseil du marché financier, sera attentif à la transparence des opérations.
Grâce à des organismes comme l’Agence universitaire de la francophonie, l’Université virtuelle africaine ou l’Université virtuelle de Tunis, la formation à distance connaît un succès croissant à travers le continent.
C’est un gage de mobilité et de meilleure lisibilité des diplômes à l’international. Le système licence-master-doctorat a fini par s’imposer dans les universités marocaines, tunisiennes et algériennes.
Boualem Kadi, Français d’origine algérienne, a été choisi par Michael Page Africa pour diriger son bureau de Casablanca au Maroc. Un poste qu’il occupe depuis juillet dernier.
L’un, en partie payant, se veut « global » et compte 2 millions d’inscrits en Afrique. L’autre, totalement gratuit, revendique une spécificité continentale et a conquis 250 000 membres. Double-clic sur Viadeo et LinkedAfrica.
Hors du football, point de salut ? Certes, les gains ne sont pas comparables, mais les sports les plus populaires en Afrique font tout de même vivre – et parfois très bien – leurs champions.
Après cinquante années de pouvoir confisqué, ce sont trois hommes qui dirigent la Tunisie. Le chef de l’État Moncef Marzouki, le Premier ministre Hamadi Jebali et le président de l’Assemblée constituante Mustapha Ben Jaafar doivent travailler ensemble.
Installé dans l’archipel nippon depuis vingt ans, Lakhdar Belouazani, chef algérien, s’est imposé dans un milieu très fermé : celui des soba, ces nouilles de sarrasin très prisées.
Nouveau rebondissement dans l’affaire du financement présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime de Mouammar Kadhafi. L’ancien premier ministre libyen, Mahmoudi Baghdadi, a affirmé jeudi 3 mai, selon l’un de ses avocats, qu’il existait « bien un document signé par Moussa Koussa et qu’un financement a bien été reçu par M. Sarkozy ». L’authenticité de ce document rendu public par le site d’information français Mediapart a été mise en doute par le Conseil national de transition (CNT).
Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Figure historique de la Place de Tunis, Salah Sayel, le nouveau président du Conseil du marché financier, sera attentif à la transparence des opérations.
Le Maroc abrite deux établissements très prisés par les meilleurs étudiants : l’École Hassania des travaux publics, à Casablanca, et l’École Mohammadia d’ingénieurs, à Rabat.