Pour le secrétaire général du Mouvement populaire algérien, Amara Benyounes, les modernistes doivent travailler ensemble. Il appelle même à la formation d’une alliance démocratique au Maghreb.
Ancien de la Banque mondiale, l’ex-Premier ministre Zeine Ould Zeidane retrouve le chemin d’une grande institution financière. Il a été nommé haut conseiller au FMI.
Si elle est restée en marge du Printemps arabe, l’Algérie a mis en marche en avril 2011 un sérieux train de réformes. Les élections législatives du 10 mai apparaissent comme une étape majeure dans ce processus. D’autant que la future Assemblée nationale devra débattre de la révision constitutionnelle.
Ancien de la Banque mondiale, l’ex-Premier ministre Zeine Ould Zeidane retrouve le chemin d’une grande institution financière. Il a été nommé haut conseiller au FMI.
En visite à Alger, le chef du Conseil national de transition (CNT) libyen Mustapha Abdeljalil a rencontré le président algérien Abdelaziz Bouteflika le lundi 16 avril.
L’émissaire de la présidence malienne, Tiébilé Dramé, a rencontré des dirigeants du MNLA et d’Ansar Eddine à Nouakchott. Des premiers contacts « officiels » en attendant la poursuite des négociations sous l’égide du Premier ministre malien de transition qui devrait être nommé ce mardi.
L’épineuse question sahraouie, qui empoisonne les relations entre Alger et Rabat depuis près de 40 ans, a ressurgi lors des obsèques d’Ahmed Ben Bella, vendredi 13 avril. Outrée de voir que le dirigeant du Polisario, Mohamed Abdelaziz, avait rang de chef d’État, la délégation marocaine s’est retirée précipitamment. De quoi remettre en cause le processus de réconciliation entre le Maroc et l’Algérie ? Officiellement, non…
Avec une actualité politique nationale intense, les Tunisiens ne manifestent que peu d’intérêt pour ce qui se passe en dehors de leurs frontières. Et la présidentielle française est bien le cadet de leurs soucis. Seule une petite frange de la population s’intéresse à cette élection, notamment celle qui vit en France. Et si Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, remporte une large adhésion, il est loin de faire l’unanimité.
Dans un communiqué de presse, le groupe mutualiste français BPCE annonce l’acquisition de 5% du capital de son confrère marocain BCP. Les deux entités collaboreront en matière de croissance en Afrique.
L’armée au pouvoir a appelé les principaux partis égyptiens à fixer de nouveaux critères de sélection pour les membres de la Commission constituante, suspendue par la justice depuis le 10 avril. Une instance plus équilibrée devrait voir le jour pour finaliser la nouvelle Loi fondamentale avant la fin de la transition démocratique, programmée pour le 30 juin.
Le groupe islamiste Ansar Eddine, au pouvoir dans le nord du Mali aux côtés de la rébellion touarègue, serait prêt à négocier avec Bamako, a indiqué un membre du groupe islamiste. L’urgence d’une sortie de crise se fait de plus en plus sentir, alors qu’une Occidentale a été enlevée à Tombouctou.
La brutale répression policière qui s’est abattue le lundi 9 avril sur les manifestants de l’emblématique avenue Bourguiba, à Tunis, a profondément marqué la société civile tunisienne. Déroulement des évènements, commission d’enquête, conséquences politiques éventuelles… Ziyed Krichen, journaliste et directeur de publication du quotidien « el Maghreb », analyse pour Jeune Afrique les enjeux de ce « Lundi noir ».
Le gouvernement mauritanien et la Société islamique pour le développement du secteur privé (SIDSP), filiale de la Banque islamique de développement (BID), ont signé à Nouakchott une convention qui permet à la Mauritanie d’émettre ses premiers bons du trésor islamiques.
Quarante-quatre partis politiques se sont lancés officiellement dimanche dans la course électorale en Algérie pour les élections législatives du 10 mai, suite aux ouvertures de la présidence destinées à éviter un Printemps arabe dans ce pays encore meurtri par une guerre civile sanglante.
Les forces du régime syrien ont violemment bombardé dimanche le quartier de Khaldiyé à Homs, ont rapporté des opposants. Cette rupture du cessez-le-feu est intervenue le jour de l’arrivée des premiers observateurs de l’ONU pour surveiller l’application du plan de paix.
Le président français Nicolas Sarkozy a officiellement reconnu samedi la « responsabilité historique » de la France dans « l’abandon » des harkis, combattants musulmans au service de la France, après la fin de la guerre d’Algérie en 1962.
La ville de Homs (centre) a été brièvement bombardée samedi en dépit du cessez-le-feu instauré en Syrie, à quelques heures d’un vote du Conseil de sécurité de l’ONU sur le déploiement d’observateurs.
Des milliers d’Égyptiens ont manifesté vendredi au Caire pour exiger la mise à l’écart des responsables de l’ère Moubarak candidats à l’élection présidentielle, dans une nouvelle épreuve de force avec le pouvoir militaire.
Le vendredi 13 avril, vers 14 heures, le premier président algérien a été enterré à Alger. Sous une météo capricieuse, avec des voisins présents et des lointains absents.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il s’intéresse ici à la personalité de Ben Bella, réservé et pudique.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici la dernière période de la vie politique de Ben Bella, depuis 1979.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les années où Ben Bella est au sommet, dès septembre 1962, lorsqu’il devient chef du gouvernement.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les dix années qui ont conduit Ben Bella de la lutte nationale pour l’indépendance à la course au pouvoir en 1962.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les années au cours desquelles Ben Bella s’est engagé en politique.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les trente premières années de la vie de Ben Bella.
Largement délaissé il y a encore quelques semaines, le spécialiste de l’électroménager fait l’objet d’une incompréhensible frénésie sur la place tunisienne. Et déjà, les rumeurs vont bon train…
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasion, l’historien Omar Carlier* a rédigé pour Jeune Afrique la biographie de cet homme politique qui a profondément marqué l’histoire contemporaine de l’Algérie.
Ancien directeur général de Mobilis, filiale d’Algérie Télécom, Mehmel Azouaou a été nommé, fin mars, PDG de l’opérateur historique. Il connaît parfaitement le groupe, au sein duquel il a fait toute sa carrière.