Abdallah Senoussi, l’ancien chef des services de renseignement libyens du temps de Mouammar Kadhafi, dont il était également le beau-frère, a été arrêté dimanche dans le sud du pays. Comme Seif el-Islam Kadhafi, il devrait être jugé en Libye, a affirmé le CNT.
Une jeune égyptienne a publié une photo d’elle, nue, sur son blog afin de promouvoir la liberté. Un geste qui n’est pas passé inaperçu sur la Toile comme dans la société égyptienne.
La capture de Seif el-Islam Kadhafi et la manière dont se jouera son sort vont mettre à l’épreuve la capacité des nouveaux dirigeants libyens à imposer leur autorité et à gérer la transition, estiment des experts.
Les autorités libyennes ont annoncé dimanche qu’elles souhaitaient juger Seif el-Islam en Libye, malgré le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) qui soupçonne le fils de Mouammar Kadhafi, arrêté dans la nuit de vendredi à samedi, de crimes contre l’humanité.
De nouveaux heurts se sont produits dimanche sur l’emblématique place Tahrir, au Caire, après la mort dans la nuit de deux manifestants en Egypte dans de violents affrontements avec la police à huit jours du premier scrutin législatif depuis le départ d’Hosni Moubarak.
Le cinéaste et réalisateur américain Oliver Stone a déclaré samedi à Alger les Etats-Unis ne vivent pas en démocratie même sous Barack Obama, élu en 2008, dénonçant pèle-mêle Wall Street, le bellicisme américain et l’indifférence de ses compatriotes envers le reste du monde.
La Turquie laisse désormais entendre qu’elle pourrait être amenée à intervenir militairement en Syrie. Face à cette menace, le régime de Bachar al-Assad semble lâcher la bride au PKK, groupe rebelle kurde menant des actions contre Ankara depuis la Syrie. Le début de l’escalade ?
Seif el-Islam, dernier fils encore en cavale de l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, a été arrêté en Libye, où les autorités ont promis « un procès équitable » à cette ancienne figure du régime recherchée par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité.
Seif el-Islam, dernier fils encore en cavale de l’ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, a été arrêté dans la nuit de vendredi à samedi dans le sud de la Libye par des combattants ex-rebelles, auxquels il a demandé qu’on le tue.
Plusieurs centaines d’Egyptiens occupaient dimanche matin la place Tahrir au Caire, tandis que des heurts sporadiques opposaient la police à des manifestants aux abords du ministère de l’Intérieur situé à proximité de l’emblématique place, a constaté une journaliste de l’AFP.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a affirmé sa volonté d’oeuvrer au « raffermissement » des relations avec Rabat « au mieux » des intérêts des deux pays, dans un message adressé au roi Mohammed VI pour le 56e anniversaire de l’indépendance du Maroc.
Des affrontements ont eu lieu samedi place Tahrir au Caire entre la police et des manifestants après la dispersion par les forces de l’ordre d’un sit-in mené par des blessés de la révolte du début d’année.
Seif el-islam Kadhafi, dernier fils encore en cavale de l’ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité, a été arrêté par d’anciens rebelles dans le sud de la Libye.
Les islamistes d’Ennahdha et les deux partis de gauche tunisiens CPR et Ettakatol ont conclu vendredi un accord de principe attribuant la présidence de la République à Moncef Marzouki (CPR), l’Assemblée constituante à Mustapha Ben Jaafar (Ettakatol) et le gouvernement à Hamadi Jebali (Ennahda), ont annoncé des sources politiques.
Après un long exil aux États-Unis, Abdurrahim el-Keib, un universitaire originaire de Tripoli, succède à Mahmoud Jibril au poste de chef du gouvernement.
Après quatre décennies de règne sans partage de Mouammar Kadhafi, la transition démocratique s’annonce difficile en Libye. Jeudi, des anciens combattants rebelles ont fait savoir au Premier ministre Abdel Rahim al-Kib leur ferme intention d’intégrer le nouveau gouvernement.
Une participation massive aux élections est souvent expliquée par le facteur tribal au Sahara. Après la récente poussée de violences interethniques, elle sera l’un des enjeux des législatives marocaines anticipées du 25 novembre.
Pour la quatrième fois en deux ans, la compagnie nationale de pétrole algérienne Sonatrach change de PDG. C’est Abdelahamid Zerguine qui remplacera Nordine Cherouati, touché par plusieurs scandales de corruption.
Ils ont étudié à l’étranger et enseignent aujourd’hui en Afrique. Zoom sur trois personnalités qui s’investissent pour le rayonnement universitaire du continent.
Le Marocain Khalil Nemmaoui a remporté le prix de la Francophonie des Rencontres de Bamako, organisées par le ministère de la Culture du Mali et l’Institut français. Rencontre.
Après une heure de débats, le procès du patron de la télévision privée tunisienne Nessma TV, a été reporté au 23 janvier 2012. Nabil Karoui est poursuivi pour « atteinte aux valeurs sacrées » après la diffusion en octobre du film « Persepolis ». La diffusion du film d’animation adapté de la BD de Marjane Satrapi avait suscité de violentes manifestations d’islamistes extrémistes.
Pas facile de faire oublier les divergences franco-sud-africaines sur les dossiers ivoirien et libyen ! En visite à Pretoria, en Afrique du Sud, Alain Juppé a tenté de recoller les morceaux.
Suite à l’attaque de l’ambassade du Maroc à Damas par des manifestants pro-Alassad, le Ministre marocain des Affaires étrangères, Taib Fassi Fihri, a annoncé mercredi qu’il rappelait son ambassadeur sur place.
Pendant deux jours, les 16 et 17 novembre, des experts venus de tous les pays sont réunis à Alger dans le cadre du Forum global de lutte contre le terrorisme (FGLT). Ils débattront notamment de la menace d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui inquiète de plus en plus les pays du Sahel.
Une embrouille à la camerounaise ? Deux théories s’affrontent pour expliquer l’annulation du match Algérie – Cameroun par les Lions indomptables. La première est officielle : les joueurs n’auraient pas reçu une prime en temps et en heure. Mais pour la seconde, il ne s’agirait que d’un prétexte pris par certains joueurs, dont Samuel Eto’o, pour faire tomber le président de la Fecafoot, Mohammed Iya.
Le 17 novembre, le Forum des chefs d’entreprises (FCE) doit désigner un nouveau président. Quatre candidats s’opposent : le président sortant, Réda Hamiani, un de ses vice-présidents, Nassim Kerdjoudj et les PDG Hassen Khelifati et Mohamed Baïri. Renouvellement des générations et place de l’entreprise privée en Algérie sont au cœur d’un débat agité.