Faisant fi du mandat d’arrêt émis contre lui par la Cour pénal internationale (CPI) en mars 2009, Omar el-Béchir continue de se déplacer librement. Dernière destination en date, le Malawi, où le président soudanais a assisté les 14 et 15 octobre au sommet du Comesa.
La sanglante répression policière des manifestations pacifiques des 17 et 18 octobre 1961 a révélé à l’opinion française quel traitement le « pays des droits de l’homme » réservait à ses étrangers algériens. Dans un article de « Afrique-Action » daté de la semaine du 1er au 6 novembre 1961, Aziz Maarouf mène l’enquête.
En une nuit d’enfer, des milliers d’Algériens pacifiques sont tabassés dans les rues de Paris. Certains, désarmés, sont jetés dans les eaux froides de la Seine. Longtemps occulté des deux côtés de la Méditerranée, le massacre est devenu le symbole de l’horreur coloniale.
Après avoir annoncé la reprise de l’offensive contre le bastion Kadhafiste de Bani Walid dimanche, les combattants du Conseil national de transition libyen (CNT), ont déclaré être entrés dans la ville. La mort de Khamis Kadhafi, fils de l’ex-« Guide » libyen, a par ailleurs été confirmée lundi par la chaîne de télévision Arraï.
Alors que de nombreux Tunisiens ne savent pas encore pour qui voter à la Constituante du 23 octobre, les intégristes islamistes font irruption dans le débat politique. Obligeant les partis à se positionner sur les « valeurs » du modèle de société qu’ils entendent proposer.
L’actuel entraîneur de l’USM Alger, leader du championnat d’Algérie, pourrait retourner dans les prochains jours en Zambie, une sélection qu’il a dirigée entre juin 2008 et avril 2010. Hervé Renard est la priorité absolue de la fédération zambienne.
Dans un contexte d’activisme parfois violent de groupes salafistes, la commission électorale tunisienne organisait dimanche un vote blanc, sept jours avant l’élection d’une assemblée constituante.
Comme Jean Ping à la tête de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha souhaite se succéder à lui-même à la vice-présidence de cette institution. Et continuer son oeuvre de restructuration libérale.
Une violente contre-attaque des combattans fidèles à Mouammar Kadhafi les a contraint à reculer de deux kilomètres. Les forces du nouveau régime libyen se sont repliées jusqu’au quartier général de la police de Syrte.
Pour éviter la dispersion des armes du régime déchu de Mouammar Kadhafi, l’administration américaine a dépéché 14 experts en Libye. Une cinquantaine d’autres suivront bientôt.
Le parti politique islamiste tunisien Ennahda a condamné samedi toute violence, après l’attaque visant le patron de la chaîne privée Nessma TV. La chaîne parle, quant à elle, d’un « double discours ».
Une opération de ratissage a été lancée par les nouvelles autorités libyennes après les combats meurtriers entre pro et anti Kadhafi dont ont été le théatre plusieurs quartiers de Tripoli vendredi. Des fidèles de l’ancien « guide » libyens qui resistent toujours dans la ville de Syrte, où les combats ont repris samedi.
À un peu plus d’un mois des élections législatives marocaines, Jeune Afrique est allé à la rencontre des différents acteurs de la vie politique du royaume afin de comprendre les craintes que suscite la montée en puissance du Parti islamiste de la justice et du développement (PJD). Une enquête à lire dans le J.A. n°2649 en kiosques du 17 au 24 octobre 2011.
La capitale libyenne a connu vendredi ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans deux quartiers de la ville. Trois personnes ont été tués et trente blessés.
Toujours en colère contre la chaîne privée Nesma TV, plusieurs milliers d’islamistes présumés ont manifesté vendredi dans plusieurs endroits de Tunis. Puis une centaine d’hommes ont attaqué le domicile du PDG de la chaîne, Nabil Karoui, en banlieue de Tunis. Il n’y aurait pas de victimes.
La capitale libyenne Tripoli a connu ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés fidèles à Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans le quartier d’Abou Slim. Parallèlement, les forces du CNT ont tenté une nouvelle percée à Syrte. Sans grand succès pour l’instant.
Longtemps décriées pour leur vétusté et leur non-conformité aux normes internationales, les infrastructures du continent se modernisent. Et, de plus en plus, la tendance est à la privatisation de leur gestion.
À Syrte, les combattants fidèles à Mouammar Kadhafi opposent toujours une féroce résistance aux forces du CNT. Pendant ce temps, l’ex-dirigeant libyen court toujours.
Mohammed Boudouroua a-t-il été bousculé par la police, ou s’est-il jeté volontairement d’un toit où il faisait un sit-in avec des amis proches du Mouvement du 20 février ? Les autorités marocaines ont ouvert une enquête.
Tolérés par les autorités marocaines pour contrecarrer les prédicateurs orientaux, les avis religieux sauvages – et parfois saugrenus – prolifèrent, créant un véritable « marché des biens de salut ».
Si les prix de la dernière campagne ont redonné de l’espoir à une filière sinistrée, les perspectives sont encore trop incertaines pour crier victoire.
Le gouvernement provisoire n’est même pas formé ni Syrte libérée que les industriels français se précipitent en Libye pour préparer la reconstruction. Les marchés à conquérir sont nombreux.
La résistance des fidèles de Mouammar Kadhafi à Syrte a contraint les combattants du CNT à reculer de deux kilomètres. Annoncée mercredi soir, l’arrestation Mootassim Kadhafi, l’un des fils de l’ancien dirigeant libyen en fuite, a quant à elle été démentie par les autorités de Tripoli.