Cela fait cinq jours que les manifestants ont investi à nouveau la place Tahrir pour demander la démission du maréchal Tantaoui qui dirige le pays. Seront-ils délogés par la police ? Jeudi 14 juillet au matin, les manifestants étaient toujours sur la place.
Après deux condamnations, un nouveau procès vise l’ex-président tunisien et sa famille. Il se tiendra en leur absence devant la justice tunisienne le 21 juillet pour deux affaires de corruption.
Le 10 juin dernier, le TP Mazembe avait décidé de saisir la FIFA, après avoir été disqualifié de la Ligue des Champions par la Confédération Africaine de Football (CAF). Certaines informations évoquent un rejet de la plainte par la FIFA. Mais les avocats du club katangais démentent.
Après quatre jours, les personnels navigants commerciaux (PNC) de la compagnie nationale Air Algérie (hôtesses, stewards et chefs de cabines), ont mis fin à leur grève.
Champion d’Algérie en 2010, le MC Alger a attendu la dernière journée de championnat pour sauver sa place en Première Division. Pour le milieu de terrain Nassim Bouchama, le club le plus populaire d’Algérie, en pleine crise financière, n’a plus que la Ligue des Champions pour sauver sa saison. Premier grand rendez-vous samedi 16 juillet, contre l’Espérance de Tunis.
La grève de la compagnie Air Algérie se poursuit. Le dialogue est au point mort, tandis que des milliers d’usagers restent coincés en France et dans les 32 aéroports du pays.
L’ancien président tchadien Hissène Habré, qui réside toujours au Sénégal, s’est dit « d’accord » pour se présenter devant « une justice internationale indépendante » si d’autres responsables tchadiens comparaissent également. Il affirme que l’expulsion du Tchad à laquelle il vient d’échapper est un complot ourdi par la France et la Libye.
De violentes rixes ont opposé des habitants de deux clans rivaux à Gafsa, ville minière de l’ouest de la Tunisie. Le gouverneur a imposé un couvre-feu à durée indéterminée.
Grand favori des législatives égyptiennes de septembre, le Parti de la liberté et de la justice doit désormais compter avec deux courants islamistes concurrents : les salafistes et ses propres dissidents. Alors que les laïques envisagent de mettre sur pied un front commun.
Le Premier ministre libyen aurait assuré à un émissaire russe qu’un plan était en place pour « faire sauter » Tripoli en cas d’attaque des rebelles. Moscou entend toutefois s’appuyer sur cet homme pour mener des négociations court-circuitant Mouammar Kadhafi.
Après avoir repoussé une contre-offensive des troupes de Mouammar Kadhafi mercredi soir, les rebelles libyens sont arrivés aux portes de la ville clé d’Al-Assaba, située à 80 km au sud de Tripoli.
Le Premier ministre tunisien, Béji Caïd Essebsi, a appelé les partis politiques ayant fait défection à rejoindre la Haute instance, et à s’unir pour l’intérêt du pays.
Le leader du Parti démocrate progressiste (PDP), Ahmed Néjib Chebbi, est en campagne en vue de l’élection de la Constituante. Avec une vision précise des réformes à même de réconcilier et de relancer la Tunisie.
En pleine expansion avant la révolution, le distributeur auto paie cher sa proximité avec l’ancien pouvoir. Les analystes sont désormais partagés sur l’intérêt du titre, coté à Tunis et à Casablanca.
Alors que les manifestations ne faiblissent pas, l’armée a déclaré mardi dans un message télévisé qu’elle ne « renoncerait pas à son rôle » et a émis une mise en garde aux manifestants qui contestent sa gestion de la transition politique du pays. Le Premier ministre égyptien Essam Charaf a annoncé lundi soir un remaniement ministériel imminent.
La France estime désormais nécessaire de trouver une « solution politique » à la crise libyenne et estime qu’elle « est en train de prendre forme ». Plusieurs « contacts » ont eu lieu entre Paris et Tripoli.
Sans se voir ni se rencontrer, des Palestiniens et des Israéliens commencent à échanger sur le net via Facebook. Créée il y a un peu plus d’un mois, et portée au grand jour par un article du « New-York Times » daté du 9 juillet, la page « Yala-Young Leaders » ambitionne de devenir un espace de travail et d’échanges qui obligerait les politiques à choisir la voie de la paix.
Le gazoduc égyptien qui ravitaille Israël et la Jordanie a une nouvelle fois explosé dans la nuit de mardi à mercredi, à proximité de la ville d’al-Arish, dans le nord de la péninsule du Sinaï. Selon l’agence de presse égyptienne Mena, il s’agirait encore d’un attentat.
En optant pour une stratégie du pourrissement, le « Guide » libyen tente désespérément de gagner du temps en pariant sur l’usure de ses adversaires. Lesquels ne désarment pas.
Adulé en février par les Égyptiens pour avoir refusé de réprimer les manifestants, le chef du Conseil suprême des forces armées est aujourd’hui conspué par la rue. Et contesté par une partie de l’armée.
Le banquier a quitté les rangs du privé et regagné Tunis fin janvier pour entrer dans le gouvernement de transition. Sa délicate mission : relancer l’économie du pays et les investissements sans menacer l’équilibre budgétaire.
Autrefois bannie en Afrique, l’élaboration de politiques tournées vers le secondaire revient au goût du jour chez les économistes. Il était temps, car la production manufacturière du continent fait grise mine.
Dans un entretien accordé au quotidien français Le Figaro, publié mardi, le Premier ministre libyen Baghdadi al-Mahmoudi s’est dit prêt à entamer des négociations, « sans conditions préalables ». Un retour au dialogue qui pourraient se faire sans l’homme fort du régime, Mouammar Kadhafi.
La tension monte entre Damas d’un côté, et de l’autre Paris et Washington. Après que les ambassadeurs français et américains se sont rendus dans une ville en proie à la contestation, les représentations diplomatiques des deux pays ont été la cible d’attaques des manifestants pro-Bachar el-Assad.