Les combats entre rebelles et pro-Kadhafi continuent à Tripoli comme aux abords de la ville de Syrte, où les insurgés peinent à avancer. La tête du « Guide », qui reste introuvable, a été mise à prix.
Dans une lettre ouverte à Al Adl Wal Ihsane, le cheikh salafiste Mohamed Fizazi, gracié en avril par le roi, s’en est pris aux adeptes d’Abdessalam Yassine. En leur donnant des conseils de modération.
Des partis de l’opposition mauritanienne ont réclamé mardi le report des élections législatives et municipales prévues en octobre. En cause : le manque de transparence dans la préparation de ces deux élections.
Mouammar Kadhafi a déclaré s’être promené incognito dans la capitale libyenne alors que le CNT, qui n’est toujours pas parvenu à localiser le dictateur, parle de tenir des élections dans les huit mois.
Capitale de la culture islamique 2011, la « perle du Maghreb » a vu plusieurs hôtels ouvrir récemment leurs portes. La ville d’art et d’histoire profite de l’événement pour promouvoir la région.
Mouammar Kadhafi n’avait pas encore quitté son QG que Google avait déjà décidé de reléguer son régime au passé. L’entreprise américaine a rebaptisé mardi la « place Verte », l’un des symboles du régime, par son nom d’origine : « place des Martyrs ».
Dans Islamania, Véronique Rieffel montre en quoi le monde musulman a été une source d’inspiration artistique pour les Occidentaux, alors que les arts dits « islamiques » restent méconnus. Retour sur plus d’un siècle d’échanges et d’influences réciproques.
Les rebelles se sont emparés mardi du complexe fortifié de Mouammar Kadhafi à Tripoli, Bab al-Aziziya. L’ex-« Guide », qui s’est réfugié dans un endroit secret, assure dans un message télévisé que son départ est simplement « tactique ».
Les rebelles seraient entrés dans le quartier général de Mouammar Kadhafi mardi. Une information de l’AFP, qui n’est pour l’instant pas confirmée par d’autres sources.
Mouammar Kadhafi serait actuellement à Tripoli, selon les dires de son fils Seif el-Islam qui prétend que l’entrée des rebelles. Les Etats-Unis disent n’avoir aucune preuve de la fuite de l’ex-numéro un libyen.
Cinq mois après le déclenchement de la révolte, le régime syrien de Bachar al-Assad commence à faire l’unanimité contre lui. Les Occidentaux durcissent le ton, la Russie et la Turquie se lassent, les pays arabes prennent leurs distances. Pendant ce temps, la répression continue…
Mis en cause après l’assassinat du général Abdelfattah Younès, le chef de la rébellion libyenne continue de jouir d’une certaine légitimité, du moins aux yeux des Occidentaux.
Alors que les raids aériens de l’Otan se multiplient, les rebelles ont lancé une nouvelle offensive contre le QG de Mouammar Kadhafi dans le quartier de Bab-al-Aziziya.
La semaine dernière, Mouammar Kadhafi aurait annoncé à l’ancien président croate Stipe Mesic sa volonté de quitter la vie politique et publique, à condition que les bombardements de l’Otan cessent.
La chute du régime de Mouammar Kadhafi pourrait constituer un tremplin pour les contestations dans le monde arabe. D’abord en Syrie et au Yémen… mais peut-être aussi en Algérie.
Les États-Unis ont effectué 5 316 sorties aériennes en Libye depuis le début de l’opération Protecteur unifié, ce qui représente près de 27% des missions de l’Otan, a fait savoir le Pentagone.
Contrairement à ce qu’avait affirmé le CNT, Seif el-Islam n’a pas été arrêté. Il est apparu libre à Tripoli devant des journalistes, alors que la traque acharnée de son père par la rébellion et l’Otan se poursuit en Libye.
Les dirigeants israéliens s’efforcent toujours de désamorcer la crise diplomatique la plus sérieuse dans leurs relations avec l’Égypte depuis la chute du régime Moubarak.
Après six mois d’insurrection, les rebelles sont entrés dimanche dans Tripoli qu’ils ont annoncé contrôler presque entièrement. Dans deux messages, Mouammar Kadhafi a fait savoir qu’il ne se rendrait pas. Il serait retranché dans un bunker de Bab Al-Aziziya, une forteresse de plusieurs hectare qui abrite son QG et qui est assiégée par les insurgés et l’Otan. Sur la Place Verte, symbole du régime, des milliers de Libyens ont fêté la fin de la dictature. Mais les combats sont loin d’être terminés. Revivez les événements de la journée de lundi.
Les rebelles menaient dimanche une virulente offensive sur Tripoli par mer et par terre, tablant sur une chute dans les prochaines heures de ce bastion du régime, mais Mouammar Kadhafi toujours combatif a promis de résister et de sortir victorieux de cette bataille.
Les rebelles libyens ont pris dimanche après-midi le contrôle d’une caserne aux portes de Tripoli, située au kilomètre 27, où ils se sont emparés d’armes et de munitions, selon un correspondant de l’AFP sur place.
Une opération est en cours à Tripoli, baptisée Opération Sirène, pour isoler le colonel Mouammar Kadhafi dans la capitale jusqu’à obtenir sa capitulation ou son départ, a déclaré dimanche à l’AFP Ahmed Jibril, porte-parole de la rébellion.
Les regrets de Tel Aviv concernant la mort de cinq policiers égyptiens dans un raid de Tsahal ne sont pas à la mesure de l’événement, a estimé l’Égypte dimanche. Au Caire, les manifestations anti-israéliennes se poursuivent.
Des explosions et des échanges de tirs nourris ont retenti dans la nuit de samedi à dimanche à Tripoli où des témoins ont fait état d' »affrontements » dans certains quartiers de la capitale libyenne vers laquelle les rebelles progressent.
Mustapha El Atrassi, ancien complice de Laurent Ruquier officiant aujourd’hui sur la chaîne Comédie, se lance avec succès dans « l’arène » de la « stand-up comedy » aux Etats-Unis, sur les traces de ses idoles de jeunesse.
Des accrochages entre l’armée tunisienne et un groupe armé libyen se sont produits dans le sud de la Tunisie, tandis que l’ex-numéro 2 libyen Abdessalem Jalloud, qui a fui Tripoli, est parti samedi de Djerba vers l’Italie, selon des sources officielles tunisiennes.
La confrontation armée s’est poursuivie samedi entre les groupes radicaux palestiniens de Gaza et Israël, avec des tirs de roquettes qui ont touché plusieurs villes israéliennes, sur fond de crise diplomatique entre l’État hébreu et l’Égypte.
Rien dans le dossier médical de Hosni Moubarak n’indique qu’il souffre d’un cancer, affirme samedi le quotidien pro-gouvernemental « Al-Ahram », contrairement à ce qu’a assuré l’avocat de l’ancien président égyptien.