Après une baisse due à la crise économique, les ventes de champagne repartent. Les marques voient le continent comme un relais de croissance pour compenser l’érosion de leur chiffre d’affaires dans les pays riches.
Le « Guide » libyen Mouammar Kadhafi a envoyé une délégation d’hommes d’affaires libyens en Israël début juillet. Ils ont notamment été reçus par l’ancienne ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni.
Le soulèvement dans l’ouest de la Libye n’a pour eux qu’une signification : liberté. Sans risquer de finir emprisonnés, les Berbères de cette région peuvent désormais apprendre leur langue, la parler et découvrir leur culture.
Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a affirmé que Mouammar Kadhafi pourrait « séjourner en Libye » s’il se met « à l’écart de la vie politique ». Le chef de la diplomatie clarifie ainsi une hypothèse déjà évoqué par le ministre de la Défense, Gérard Longuet.
Selon l’agence de presse officielle égyptienne Mena, l’ancien président Hosni Moubarak, âgé de 83 ans, a un rythme cardiaque irrégulier et perd parfois connaissance.
Les rebelles libyens confirment avoir pris le contrôle de la ville de Brega et tentent désormais de progresser dans ce site pétrolier. Le régime du colonel Kadhafi dément formellement ces informations.
Lesieur Cristal, numéro un marocain de l’huile de table, sort du giron du holding royal SNI pour intégrer Sofiprotéol. Sa place dans la stratégie du groupe français reste à préciser… et le renouveau du titre en Bourse à confirmer.
Depuis son accession à la tête d’Attijariwafa Bank en 2007, Mohamed El Kettani conduit à un rythme soutenu le développement du groupe au sud du Sahara. Nouvelle étape : la création d’une banque d’affaires à Dakar.
Concurrence croissante, tourisme en berne, flambée du prix du pétrole… Le pavillon national marocain est victime de la conjoncture actuelle. Il doit se réinventer une stratégie sous peine de voir son avenir s’assombrir.
Les démocrates et les laïques égyptiens se mettent en ordre de bataille. Ils veulent empêcher les islamistes d’influencer le contenu de la future Constitution.
Depuis le début de l’année, les investisseurs étrangers se détournent de l’Afrique du Nord, au détriment des gestionnaires de fonds locaux. C’est le contrecoup du « printemps arabe ».
Lors d’une opération effectuée conjointement avec l’armée mauritanienne, les troupes maliennes ont repris mardi le contrôle de la forêt du Wagadou, à la frontière entre les deux pays.
Le Front de libération nationale ne parvient pas à sortir de la crise qui le mine depuis plus d’un an. Une lutte de clans que le parti va pourtant devoir régler rapidement pour affronter les élections législatives et locales de l’an prochain. Et se choisir un candidat qui fasse le poids dans la course à la succession d’Abdelaziz Bouteflika, en 2014.
La Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), que préside la Tunisienne Souhayr Belhassen, publiera le 20 juillet un rapport dans lequel elle dénonce la persistance en Tunisie de « pratiques issues du passé » qui résultent de « décisions prises en haut lieu ».
Hôtesses et stewards ont mis fin à la grève après avoir obtenu une promesse de négociations. Cela suffira-t-il à détendre durablement le climat pesant qui mine la compagnie nationale depuis des mois ?
Malik Madjnoun et Abdelhakim Chenoui ont été condamnés lundi à 12 ans de prison pour l’assassinat du chanteur Lounès Matoub. La défense et la famille de la victime dénoncent un procès expéditif, qui ne juge pas les vrais commanditaires du meurtre de cet artiste fermement opposé à l’islamisme.
Tripoli a infirmé la prise du port pétrolier stratégique de Brega par le CNT. Selon la rébellion, les troupes loyalistes dirigées par Mootassem Kadhafi auraient fui à Ras Lanouf.
Déclencher un processus participatif pour changer le pays, c’est l’objectif de Notre Algérie bâtie sur de nouvelles idées. Une initiative qui se déclare apolitique, mais suscite bien des questions.
En réponse au mécontentement populaire, le président a promis une ouverture démocratique. Depuis, les consultations s’enchaînent, sur tous les fronts. Si certains les boycottent, la mobilisation, inédite, laisse espérer de réels changements.
Réda Hamiani, président du Forum des chefs d’entreprise (FCE), nous livre son opinion sur la réaction des autorités face à la grogne sociale qui sévit actuellement en Algérie.
Plus d’un millier d’acteurs associatifs, économiques et culturels ont participé aux premiers états généraux de la société civile. L’occasion pour celle-ci d’affirmer le rôle qu’elle compte jouer.
L’orchestre des révoltes arabes ne joue pas la même symphonie sous toutes les latitudes. Tunisie, Égypte, Libye, Syrie, Bahreïn, Yémen se sont embrasés comme des buissons d’épineux aspergés d’essence. Même le Maroc, qui a pourtant devancé les aspirations populaires, a dû affronter le vent de la contestation. Il existe cependant une exception, incongrue pour nombre d’observateurs qui auraient parié six mois de salaire sur l’explosion de cette présumée poudrière : l’Algérie.
Dans un discours à la nation, lundi, Béji Caïd Essebsi a estimé que les récentes violences ont pour but d’empêcher la tenue des élections prévues en octobre. Celles-ci seront pourtant maintenues, a assuré le Premier ministre tunisien.
Selon la rébellion libyenne, celle-ci se serait emparée du port pétrolier de Brega. La majeure partie des forces pro-Kadhafi se serait repliée à Ras Lanouf.
Un enfant de 14 ans a trouvé la mort dans la nuit de dimanche à lundi, lors de la dispersion d’une manifestation par les forces de police à Sidi Bouzid, dans le centre de la Tunisie.