Emploi, logement, sorties… Rien n’est simple pour les 15-29 ans de la capitale, même issus de la classe moyenne. Jeune Afrique est allé à la rencontre des jeunes algérois peu écoutés, mais qui tentent de se prendre en main.
Dépenses d’équipement en hausse, revalorisation des salaires, satisfaction des besoins sociaux… Le tout sans endettement extérieur. Mais comment fait l’État pour financer l’avenir du pays ? Décryptage des comptes algériens.
Depuis deux ans, le pays met en œuvre une « nouvelle logique », plus protectionniste. Karim Djoudi donne rarement d’interview, mais le grand argentier de Bouteflika a accepté d’exposer à Jeune Afrique sa vision de l’économie tout en défendant le bilan des mesures prises, notamment vis-à-vis des investisseurs étrangers.
Le Front Polisario, qui milite pour l’indépendance du Sahara occidental, a réclamé aux Nations unies l’ouverture d’une commission d’enquête, après l’évacuation par les autorités marocaines d’un camp de contestataires. Rabat refuse.
Des plans quadriennaux à celui dédié au soutien de la croissance, les choix ont été variés à travers les époques en matière de politique de développement en Algérie.
Véritable numéro deux du régime, le patron des renseignements a pris sous son aile Gamal Moubarak pour le préparer à succéder à son père en 2011. À moins qu’il ne change d’avis sous la pression de ses nombreux partisans et ne dame le pion à son protégé.
Militante féministe et rapporteuse des Nations unies sur les violences faites aux femmes, Rashida Manjoo a effectué une visite en Algérie où les associations féministes sont très actives.
Les bons résultats économiques de la Tunisie sous la gouvernance de Zine el-Abidine Ben Ali octroyeraient-ils au « zaïm » tunisien une plus large marge de manœuvre pour mener une politique réformiste ?
Bloqué sur le plan diplomatique, contenu sur le front militaire, le conflit du Sahara occidental est désormais le théâtre d’une bataille médiatique où tous les coups sont permis. De Rabat à Laayoune, enquête et reportage dans les coulisses d’une crise sans fin.
La troisième réunion informelle entre le Maroc et le Front Polisario sur l’avenir du Sahara occidental entamée lundi sous l’égide de l’ONU à Manhasset près de New York, s’est bouclée mardi soir sans avancée probante. Une nouvelle rencontre est prévue pour décembre.
Symbole d’un État palestinien en construction, la capitale de la Cisjordanie recueille les fruits d’une croissance fulgurante. Mais certains y voient une prospérité en trompe-l’œil tant qu’un accord de paix avec Israël n’aura pas été signé.
Le ministère français des Affaires étrangères a officiellement demandé des « explications » à la diplomatie marocaine après l’expulsion du député français Jean-Paul Lecoq qui souhaitait se rendre à Laayoune. Le bilan du démantèlement du camp de protestataires sahraouis lundi a été porté à 9 morts selon Rabat, 11 selon le Front Polisario.
La troisième édition du forum international lancé par l’Institut Amadeus se tiendra à Tanger, du 10 au 13 novembre, avec la participation de personnalités prestigieuses.
Son fils aîné, Abdel, s’est fait exploser à l’âge de 19 ans dans un attentat-suicide en Irak, en 2004. Mais elle n’a jamais reçu aucune autre précision, ni même un certificat de décès. Et sa quête désespérée de la vérité continue de se heurter à un mur de silence ou d’indifférence polie.
Les éditions du Seuil ont offert le 8 novembre une réception en l’honneur du romancier marocain Abdellah Taïa, lauréat du prix Flore 2010 pour son livre Le jour du roi. Vent de révolte, incarnation du « Moroccan dream », en tout cas il y a du nouveau du côté du boulevard Saint-Germain.
Le tribunal correctionnel algérien d’Akbou en Kabylie (250 km à l’est d’Alger) a relaxé ce lundi 8 novembre le groupe de non jeûneurs musulmans du ramadan qui comparaissaient pour atteinte aux préceptes de l’islam.
Vingt journalistes égyptiens, libyens et tunisiens appartenant au groupe de presse de Seif el-Islam Kadhafi ont été arrêtés par les autorités libyennes. Les propositions du fils du « Guide » dérangent visiblement bon nombre de conservateurs.
Le président mauritanien Ould Abdelaziz a reçu, dimanche, le chef de l’armée malienne, le général Gabriel Poudiougou. Une rencontre qui vise à renforcer un peu plus la coopération des pays de la région dans leur lutte contre Aqmi.
Le campement de quelques milliers de contestataires au Sahara occidental a été démantelé par les forces marocaines. Le bilan de ces violents affrontements est contradictoire selon les sources.