L’Arabie Saoudite semble avoir eu gain de cause. Quelques heures après avoir suspendu, puis rétabli, la messagerie du smartphone, un accord pourrait avoir été passé entre les autorité du pays et le fabricant du téléphone pour donner un accès aux données cryptées des utilisateurs.
Le ministère des Affaires étrangères s’est insurgé des pratiques de la Garde civile espanole, qui aurait refoulé l’embarcation de huit Africains, les laissant en mauvaise santé et sans assistance au large du Maroc.
Quatre heures après avoir été suspendue, comme prévu, la messagerie électronique du smartphone BlackBerry a été rétablie. Sans explication pour le moment.
L’autoproclamé « roi des rois d’Afrique » ne ferait-il plus recette ? Lutte contre le terrorisme, guerre en Somalie, poursuites internationales contre Omar el-Béchir… Les chefs d’État réunis en Ouganda pour le 15e sommet de l’organisation panafricaine, du 25 au 27 juillet, se sont consacrés à l’essentiel. Et ont « retoqué » le débat sur les États-Unis d’Afrique cher à Mouammar Kadhafi. Récit d’une perte d’influence.
Pendant le mois sacré du ramadan, ils fuient la chaleur, l’inflation des prix et l’exigence sociale de leur pays d’origine. Focus sur ces Maghrébins de la diaspora qui sont de plus en plus nombreux à éviter de prendre leurs vacances au « bled » pendant la période du jeûne.
À son tour, l’Algérie dit craindre pour sa sécurité. En cause, le smartphone de Research In Motion, qui garantit la confidentialité des informations échangées à tous ses utilisateurs. Y compris les plus malintentionnés.
Les négociations entre, d’un côté, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis et, de l’autre, la société fabricant le BlackBerry sont au point mort. Les deux gouvernements ont annoncé que plusieurs services du smartphone, dont la messagerie électronique, seront interdits pour des raisons de sécurité. Et semble-t-il aussi, de morale publique.
Alors que le gouvernement s’apprête à assouplir les mesures de contrôle des investissements adoptées en 2009, des entreprises ont maintenu, difficilement, le cap sur Alger.
En quête d’asile et de lendemains meilleurs, des milliers de ressortissants subsahariens continuent d’affluer vers Israël. Bien loin d’y trouver l’eldorado.
Crise économique, réformes engagées, relations avec le Parlement… Bilan, à mi-parcours, de l’action du gouvernement de coalition entré en fonction en 2007 et dirigé par Abbas El Fassi, leader de l’Istiqlal.
La politique des grands chantiers suit son cours. Elle permet à l’économie de s’ancrer dans le long terme, à l’abri des aléas de la conjoncture mondiale.
Assurance maladie, lutte contre la mortalité maternelle ou l’absentéisme scolaire… Le pays se mobilise au chevet des plus défavorisés. Mais il est encore loin des standards internationaux.
Lorsqu’il était monté sur le trône, en juillet 1999, on avait assuré avec une malveillance sournoise que Mohammed VI « n’aimait pas le job ». Depuis, chacun a pu constater à loisir que le job en question, il l’exerce sans embarras ni partage.
Un an et demi après avoir perdu trois de ses filles, tuées par un obus israélien lors de l’opération Plomb durci, à Gaza, le docteur Ezzeddine Aboulaïsh publie une autobiographie en forme de profession de foi.
Une « grenade » – en fait un gros pétard, selon la présidence – a explosé dans le convoi du chef de l’État iranien en visite dans l’ouest de l’Iran. L’incident n’a fait aucun blessé, contrairement à ce qu’affirmaient plusieurs médias.
Éditeur de BD et président du Rugby Club toulonnais, l’enfant d’immigrés algériens a fondé l’empire de ses rêves. Une réussite qui inspire le respect… et parfois déplaît.
Accusé d’avoir versé des pots-de-vin au régime de Saddam Hussein, GE accepte de payer une amende de 23,4 millions de dollars pour échapper aux poursuites.