Les quarante plus grandes entreprises africaines ont été passées au scanner par le cabinet international de conseil Boston Consulting Group (BCG). Conclusion de l’étude : le continent se positionne comme l’un des marchés mondiaux les plus prometteurs, à l’image de ceux des BRIC.
Les assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) qui se sont tenues à Abidjan, du 27 au 28 mai, ont été l’occasion de réélire Donald Kaberuka à la tête de l’institution. Et de discuter de certaines médiations brûlantes.
Ardemment souhaité par les Ivoiriens, le retour de la Banque africaine de développement à son siège officiel d’Abidjan n’est pas (encore) à l’ordre du jour. En attendant, l’institution que préside Donald Kaberuka se porte bien, merci…
Décoratrice en chef de Hermès, cette Tunisienne expose à l’Institut du monde arabe les vitrines fantastiques qu’elle crée, depuis trente ans, pour le groupe de luxe.
Ralentissement de la croissance, bénéfices en baisse : rares sont les groupes panafricains épargnés par les difficultés en 2009. Après les années de conquête territoriale, l’heure est à la rationalisation des politiques de développement à l’échelle du continent.
Panne de l’ascenseur social français oblige, un nombre grandissant de jeunes diplômés issus de l’immigration maghrébine vont tenter leur chance au royaume chérifien. Le plus souvent avec succès.
Les islamistes voulaient l’empêcher de se produire à Rabat pour le festival international de musique. Le chanteur britannique a chanté, et conquis le public.
Touchée de plein fouet par la crise, la compagnie annonce un bilan désastreux pour l’exercice 2009-2010. Mais c’est sur le continent que son chiffre d’affaires a le mieux résisté.
Le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie a formé a Paris un gouvernement provisoire. Il vise à promouvoir l’autonomie de la région kabyle vis-à-vis du régime d’Alger.
En 2009, les capitaux étrangers investis dans la région ont dépassé les 8 milliards d’euros. Si les pays du Golfe sont en net retrait, l’Europe reste présente, notamment sur les projets industriels et les services.
Dans un ouvrage richement documenté, un universitaire américain affirme que l’État hébreu a voulu fournir l’arme atomique au régime de l’apartheid dans les années 1970.
Le Maroc, qui se fournit en pétrole en Arabie Saoudite, en Irak et en Russie, a vu ses dépenses exploser depuis le début de l’année, en raison de la flambée des cours du brut.