Depuis des années, l’étymologie des noms des pays africains constitue un terrain ouvert à des interprétations souvent erronées. Un dictionnaire paru récemment tente de rétablir les faits. Non sans difficultés. Suivez le guide.
Certes, le dialogue intermalien a repris. Mais la puissance militaire et les intentions du Haut Conseil pour l’unité de l’Azawad, proche d’Ansar Eddine, suscitent l’inquiétude.
Dans « Rapt à Bamako », le réalisateur malien (et ex-ministre de la Culture) dénonce les maux qui rongent le continent. Mais lance aussi un message d’optimisme à la jeunesse.
Le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, s’est adressé aux 15 pays membres du Conseil de sécurité des Nations unies par vidéo-conférence mercredi depuis Bamako. Il a demandé l’ONU d’envisager le déploiement d’une force d’intervention rapide dans le nord du pays.
Le Nord du Mali est le théâtre d’une série d’attaques visant les Casques bleus, dont la dernière mardi à Kidal a tué un militaire sénégalais. En conséquence, Hervé Ladsous, le chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, a annoncé mardi que la Minusma allait désormais « durcir » son dispositif sécuritaire dans le pays.
Des chercheurs américains ont tenté de recenser les pays les plus exposés à l’arrivée d’un malade atteint d’Ebola sur leur sol. Sans céder à la panique, certains États africains auraient intérêt à se préparer à une telle éventualité.
« Que les responsables ne l’ignorent pas, ils seront châtiés », a déclaré mardi le chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, Hervé Ladsous, lors d’un hommage aux neuf Casques bleus nigériens tués.
En RDC, en Centrafrique, au Mali… C’est toujours la même histoire : l’arrivée des « soldats de la paix » entraîne une augmentation de la prostitution. Une réalité taboue, souvent niée par les organisations internationales.
Ancien conseiller spécial d’Amadou Toumani Touré pour ses affaires libyennes, Bany Kanté s’est spontanément présenté au juge d’instruction René Cros, à Paris, qui l’a entendu quatre heures durant, début septembre.
Le gouvernement du Niger a annoncé samedi soir qu’un « deuil national de trois jours » sera observé « à compter de dimanche » à la mémoire des neuf soldats nigériens de la mission des Nations unies (Minusma) tués vendredi dans le nord du Mali.
L’ancien ministre malien de la Défense Soumeylou Boubèye Maïga, qui avait été placé en garde à vue en France dans l’enquête pour corruption visant l’homme d’affaires Michel Tomi, a été remis en liberté, a indiqué samedi à l’AFP une source judiciaire.
L’armée malienne et la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) poursuivaient samedi leurs recherches pour retrouver les auteurs d’une attaque ayant fait la veille au moins neuf morts parmi des Casques bleus nigériens, a indiqué à l’AFP à Bamako un haut responsable militaire malien.
Lors du remaniement du 11 avril, Zahabi Ould Sidi Mohamed, 56 ans, chef de la diplomatie malienne dans le précédent gouvernement, s’est vu confier le portefeuille ultrasensible de la Réconciliation. Cet Arabe natif de Tombouctou a participé à la rébellion du début des années 1990 au sein du Front islamique arabe de l’Azawad et à la signature des accords de paix de 1992. Entretien.
L’ancien ministre malien de la Défense Soumeylou Boubeye Maïga est actuellement entendu par les enquêteurs de la brigade financière de Nanterre. En cause : l’achat, lorsqu’il était au gouvernement, de l’avion présidentiel malien dont la transaction aurait impliqué Michel Tomi, un hommes d’affaires français mis en examen et proche du chef de l’État malien.
Souffrant d’un cruel manque d’unité, la police et l’armée sont deux grands corps malades. Le gouvernement a engagé une réforme pour les réanimer. Il y a urgence.
Une réforme est à l’étude pour renforcer le rôle de contre-pouvoir de l’opposition. Ce ne sera pas du luxe, car elle ne compte que vingt et un députés et on ne l’entend guère sur les ondes de la radio d’État.
Opérateurs historiques ou sociétés fraîchement débarquées, tous veulent dominer le marché de la farine en Afrique subsaharienne. N’en battez plus ! L’offre dépasse déjà largement la demande.
Certains louent sa lutte anticorruption et sa fermeté à l’égard des anciens putschistes. D’autres déplorent l’aggravation de la situation sécuritaire dans le Nord et son indécision. Mais au bout d’un an de pouvoir, c’est sûr : l’état de grâce est fini.
Les priorités du Premier ministre malien, Moussa Mara ? La réforme territoriale, la reprise de l’aide du FMI et les négociations avec les groupes armés. Un domaine où il joue la carte de la fermeté.
Malô, une entreprise créée il y a deux ans par les frères Niang au Mali, produit du riz enrichi en micronutriments. Une première en Afrique, sur un marché en pleine croissance.
Pour revenir dans les bonnes grâces des bailleurs de fonds, le Mali n’a eu d’autre choix que de faire le ménage. Le 17 septembre, le directeur des finances du ministère de la Défense a été limogé. Bouaré Fily Sissoko, la ministre des Finances, serait également sur la sellette.
Le 18 septembre, cinq Casques bleus tchadiens de la Minusma ont été tués au passage de leur véhicule sur un engin explosif dans les environs d’Aguelhok. C’est la troisième attaque de ce type en moins de trois semaines.
Du 12 au 25 septembre, une mission du Fonds monétaire international a séjourné à Bamako pour faire la lumière sur des marchés passés par le Mali. Christian Josz, chef de mission du FMI, livre le compte-rendu de ses audits.