En vertu d’un accord signé récemment à Bamako entre le Maroc et le Mali, le royaume chérifien va prochainement ouvrir un établissement dédié à la formation de 500 imams maliens à Fès. Un premier groupe de 90 religieux, sélectionnés au titre de ce programme, vient d’arriver sur place.
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, a déclaré lundi que l’enquête sur l’assassinat début novembre des deux journalistes tués au Mali « progresse rapidement », tout en soulignant que les meurtriers n’avaient pas encore été identifiés.
Le colonel Abidine Guindo, ancien aide de camp de l’ex-président malien Amadou Toumani Touré, accusé d’avoir mené une tentative de contre-coup d’Etat par les auteurs du putsch de mars 2012 et qui était détenu depuis 16 mois, a été libéré, a appris l’AFP dimanche de sources concordantes.
Le gouvernement malien a « bon espoir » que se tiennent les législatives prévues le 24 novembre dans tout le pays, en dépit de l’insécurité persistant dans le nord du pays, où deux journalistes français ont été récemment tués, a affirmé un ministre malien à trois médias français.
La rébellion touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) a accusé l’armée malienne d’avoir « exécuté » trois civils dans une zone du nord-est du Mali où, selon le gouvernement malien, des soldats ont tué trois « bandits armés » dans un accrochage.
Un bref échange de tirs a eu lieu vendredi entre soldats maliens et rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) dans une localité proche de Ménaka, dans le nord-est du Mali.
La retraite, le général malien putschiste Amadou Haya Sanogo n’en rêvait pas, mais il lui faut bien s’y résoudre. Et tandis que Bamako lui cherche une affectation, lointaine si possible, il doit veiller sur ses arrières.
L’écrivain algérien Yasmina Khadra s’est déclaré samedi candidat à l’élection présidentielle de 2014 en Algérie. Avant lui, plusieurs autres personnalités non politiques du continent – sportifs, artistes, acteurs – ont lorgné le costume de président dans leurs pays respectifs. Revue d’effectif.
Un Touareg, Bayes Ag Bakabo, est soupçonné d’avoir planifié l’enlèvement des deux journalistes français de RFI, tués à Kidal. Propriétaire de la voiture qui a servi au rapt, il aurait organisé cette opération pour le compte d’Aqmi.
Aqmi aurait revendiqué l’assassinat des journalistes français de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, tués le 2 novembre à Kidal, a annoncé mercredi le site d’information mauritanien Sahara Médias. L’opération aurait été menée par des hommes d’Abdelkrim al-Targui, un lieutenant touareg de la filiale maghrébine d’Al-Qaïda.
Le président togolais Faure Gnassingbé doit se rendre à Paris, du 13 au 15 novembre. Il s’agit de sa première visite officielle chez son homologue français, François Hollande, depuis l’élection de ce dernier, en 2012.
Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU, était mardi au Mali pour la première étape de sa tournée régionale au Sahel. Il s’est rendu à Bamako et Tombouctou et a rencontré le président malien Ibrahim Boubacar Keïta.
L’enquête sur l’assassinat des deux journalistes français de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, exécutés le 2 novembre par des inconnus armés à Kidal, progresse. Au moins 35 personnes ont été arrêtées depuis lundi, le quotidien français « Le Monde » indiquant de son côté que trois des quatre auteurs de l’enlèvement ont été identifiés.
Le rapt et l’assassinat de deux journalistes de RFI, le 2 novembre, révèle l’insécurité grandissante à Kidal malgré la présence d’une importante force militaire française, malienne et onusienne (Minusma). La conséquence d’un accord de Ouagadougou signé à la hâte ?
La Banque mondiale et l’Union européenne se sont engagés à apporter près de 8 milliards de dollars principalement au profit des pays d’Afrique sahélienne.
Les otages français du Niger auraient été récemment libérés contre une rançon de quelque 20 millions d’euros. Avant eux, plusieurs Occidentaux aux mains de groupes jihadistes sahéliens ont retrouvé la liberté grâce au versement d’importantes sommes d’argent. Depuis 2009, les chiffres du « business des otages » sont en constante augmentation.
Cent cinquante soldats français sont arrivés mardi à Kidal après l’assassinat des deux journalistes de RFI dans ce bastion touareg du nord-est malien. Un renfort qui porte à 350 le nombre de militaires français stationnés dans la ville.
Ibrahim Boubakar Keïta a rendu, lundi, un dernier hommage à Ghislaine Dupont et Claude Verlon, journalistes de RFI assassinés le 2 novembre à Kidal. Le président malien a promis de « tout faire pour qu’on arrête les coupables ». En attendant, les corps de deux victimes ont été rapatriés, mardi à l’aube, à Paris.
Trois groupes rebelles touaregs et arabes – MNLA, HCUA et MAA – ont annoncé, lundi, leur fusion au terme de plusieurs jours de pourparlers à Ouagadougou. Objectif : peser de tout leur poids dans les futures négociations avec Bamako sur le statut du nord du Mali.
Un véhicule transportant 38 personnes entre Ansongo et Ménaka, au sud de Gao, a sauté lundi sur une mine. Quatre passagers ont été tués et huit autres blessés.
Une source proche du ministre français de la Défense a affirmé que plusieurs indices récoltés pourraient permettre de remonter jusqu’aux assassins des deux journalistes de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, tués samedi 2 novembre par leur ravisseurs, près de Kidal dans le nord du Mali.
Ghislaine Dupont et Claude Verlon, les deux journalistes de RFI qui ont été retrouvés morts près de Kidal, samedi 2 novembre, ont été exécutés par leurs ravisseurs, selon les premiers éléments de l’enquête. Les questions sur les mobiles de leur enlèvement et de leur assassinat se mêlent à l’émotion et au deuil des familles et de la profession, sous le choc.
Les deux journalistes français de RFI enlevés et tués samedi au Mali ont « été assassinés froidement » par balles, par des « groupes terroristes », a annoncé dimanche le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, après une réunion de crise à l’Elysée.
Les présidents français François Hollande et malien Ibrahim Boubacar Keïta ont affirmé samedi leur détermination « à poursuivre et à remporter » le « combat commun contre le terrorisme », après l’enlèvement et la mort de deux journalistes français au Mali.
Deux journalistes français de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, en reportage à Kidal, dans le nord du Mali, ont été tués après avoir été enlevés samedi par des hommes armés qui les avaient emmenés en dehors de la ville, suscitant une vague d’émotion en France, tandis que François Hollande convoque une réunion à l’Elysée dimanche matin.
Ghislaine Dupont et Claude Verlon, deux envoyés spéciaux de RFI dans le nord du Mali, ont été retrouvés morts, samedi après-midi près de Kidal, a indiqué le préfet de Tinzawaten. L’information a été confirmée par le ministère des Affaires étrangères français.
Deux journalistes français de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verion, ont été enlevés samedi par un commando armé à Kidal, dans le Nord-Est du Mali. Il n’y a eu aucune revendication pour le moment.
Plus d’un millier de personnes ont manifesté vendredi à Gao (nord), contre la composition de la délégation locale devant représenter la région aux assises sur le nord, ouvertes vendredi à Bamako par le président malien.