Au lendemain de l’annonce d’une probable victoire d’Ibrahim Boubacar Keïta (« IBK ») à l’élection présidentielle malienne, certains de ses concurrents ont dénoncé un processus électoral douteux. Iba Ndiaye, vice-président de la coalition du FDR et secrétaire général de l’Adema, revient sur ces résultats provisoires, qu’il juge « surprenants ».
Un brigadier français engagé dans l’opération Serval au Mali est mort, mardi 30 juillet à une vingtaine de kilomètres de Douentza, au centre du Mali, dans l’accident d’un véhicule de transport.
Avec un tiers de bulletins dépouillés, les résultats provisoires communiqués mardi 30 juillet par le ministre de l’Administration territoriale donnent à Ibrahim Boubacar Keïta, dit « IBK », une « large avance sur ses concurrents ». Une annonce prématurée pour le camp de Soumaïla Cissé qui évoque un taux de dépouillement de « 12% ».
Selon les résultats provisoires annoncés mardi 30 juillet par le ministre de l’Administration territoriale, Ibrahim Boubacar Keïta, dit « IBK », bénéficie d’une « large avance sur ses concurrents » sur un tiers des bulletins de vote dépouillés. Le taux de participation au premier tour a été de 53,5%.
Le 29 juillet à Yamoussoukro, le président ivoirien Alassane Ouattara a mis en service le premier tronçon de pipeline du pays qui relie Abidjan, la capitale commerciale, à la capitale politique de la Côte d’Ivoire.
Au lendemain du premier tour de la présidentielle malienne, des voix se sont élevées pour critiquer l’excès de confiance des proches d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), égratignant au passage le satisfecit envoyé par la France. Les Maliens attendent toujours la proclamation des résultats officiels.
Alors que les Maliens attendent la proclamation des résultats du premier tour de la présidentielle, qui devraient être annoncés le 30 juillet au plus tôt, les formations politiques commencent déjà à crier victoire ou, à l’inverse, à préparer leurs alliances. Louis Michel, le chef de la mission d’observation de l’Union européenne (UE), a déclaré, lundi 29 juillet, que le taux de participation de l’élection présidentielle malienne avoisinait les 50 %.
À Kidal, 12 060 électeurs avaient pu retirer leurs cartes Nina, avant le scrutin, sur les 35 000 inscrits. Des bureaux de vote ont même été ouverts à Anéfis, Essouk, et Tessalit… Le vote des Maliens du Nord représentait un enjeu symbolique important pour l’élection présidentielle du 28 juillet. Le gouverneur de la région de Kidal, le colonel Adama Kamissoko explique comment s’est passé cette journée électorale dans l’Adrar des Ifoghas. Interview .
Près de 7 millions de Maliens étaient invités à voter, dimanche 28 juillet, pour le premier tour d’une élection présidentielle très attendue. La participation a été jugée bonne, même si certains ratés dans l’organisation sont à déplorer. Reportage, à Bamako, de nos envoyés spéciaux.
Le vote des Maliens de France pour l’élection présidentielle au Mali a démarré dans la confusion, dimanche, au consulat général de Bagnolet (Seine-Saint-Denis), de sorte qu’à la mi-journée seulement une poignée d’entre eux avaient pu voter.
Près de sept millions de Maliens sont appelés à voter ce dimanche 28 juillet au premier tour d’une présidentielle devant permettre d’entamer le redressement et la réconciliation dans leur pays traumatisé par 18 mois de crise politique et militaire.
À la recherche d’un sélectionneur, le Mali entre dans une phase cruciale, celle du choix. Avec une liste d’une trentaine de noms, dont certains prestigieux.
La campagne électorale pour le premier tour de la présidentielle au Mali s’est achevée vendredi, deux jours avant un scrutin déterminant pour l’avenir d’un pays qui sort d’un an et demi de crise politique et militaire.
Ouf ! Le premier tour de l’élection présidentielle malienne aura finalement bien lieu ce 28 juillet. Si les électeurs de Kidal représentent une part infime du corps électoral national, cette ville du nord sera la plus observée pendant le scrutin.
Avec 25% des voix, l’ancien Premier ministre Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) est arrivé en tête de notre sondage sur l’élection présidentielle malienne, lequel ne prenait qu’une température approximative de la popularité des candidats sur Internet. Autre enseignement : près de 75% des sondés craignent des fraudes électorales…
Après Ibrahim Boubacar Keïta, Soumaïla Cissé, autre favori de l’élection présidentielle malienne, s’est rendu à Kidal, mercredi 24 juillet. Dans le bastion de la communauté touarègue, l’ancien ministre des Finances a asséné que le Mali était « un et indivisible ».
Deux soldats français ont été « légèrement blessés » mardi 24 juillet au nord de Gao (Mali), dans l’explosion de leur véhicule survenue pour une raison indéterminée.
Dioncounda Traoré a affirmé qu’il avait lui même choisi la date du 28 juillet pour la présidentielle malienne. Mais n’a-t-il vraiment subi aucune pression de la France ?
Après des années de silence, l’ex-chef de l’État malien et ex-président de la Commission de l’Union africaine (UA), Alpha Oumar Konaré, a accepté de reprendre du service au sein de l’organisation panafricaine.
Le comité de suivi et d’évaluation de l’accord préliminaire de Ouagadougou, signé le 18 juin dernier entre les rebelles touaregs et le gouvernement malien, a tenu sa première réunion à Bamako, le 22 juillet. Les avancées sont notables, mais certains points coincent toujours, comme la libération par Bamako de certains prisonniers.
Dans « La paix en bleu », quatre artistes maliens – Bintou Alzoumagate, Kiss Diouara, Leila Gobi et Mylmo – chantent la bienvenue à la Minusma, la force des Nations unies au Mali. Ce clip promotionnel, diffusé sur Youtube et les réseaux sociaux, est l’oeuvre des communicants de la force onusienne de maintien de la paix.
Modibo Sidibé, le candidat des Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence fait partie des favoris du scrutin de la prochaine présidentielle malienne. Entre deux meetings, il s’est confié à « Jeune Afrique ».
Tensions à Kidal, risques d’attaques terroristes, retards dans la distribution des cartes d’électeurs : à moins d’une semaine du premier tour de l’élection présidentielle malienne, le dimanche 28 juillet, plusieurs points noirs pourraient sérieusement entraver le bon déroulement du scrutin.
Malgré les critiques, la présidentielle malienne reste fixée au 28 juillet. Et cette fois, le candidat de l’Union pour la République et la démocratie (URD), qui avait échoué au second tour en 2002, entend bien l’emporter. Questions à Soumaïla Cissé, un homme en campagne.
Les six personnes, dont cinq agents électoraux, enlevées dans la région de Kidal (nord-est du Mali) par des hommes armés ont été relâchés, mais les préoccupations sécuritaires demeuraient vives dimanche dans cette zone à une semaine d’une présidentielle cruciale pour le pays.
Deux des agents électoraux enlevés samedi dans la région de Kidal (nord-est du Mali) par des hommes armés ont été relâchés, a indiqué dimanche à l’AFP un responsable au ministère malien de l’Administration territoriale, sans détails dans l’immédiat sur le sort des autres otages.
Six personnes, dont des agents électoraux et un élu local, ont été enlevées samedi par des hommes armés dans la région de Kidal (nord-est du Mali), aggravant encore les tensions sécuritaires à huit jours d’une élection présidentielle jugée cruciale.
Cinq personnes – quatre agents électoraux et un élu – ont été enlevées samedi par des hommes armés à Tessalit, dans la région de Kidal (nord-est du Mali), a affirmé à l’AFP un responsable administratif local.