Selon plusieurs sources non officielles, l’un des principaux émirs d’Aqmi, Abou Zeid, aurait été tué au cours de frappes de l’aviation française au nord du Mali. Une information à prendre avec précaution.
Obligés de cohabiter à Kidal avec l’armée française, le MNLA et le MIA, deux mouvements armés touaregs du nord du Mali, ont entamé un rapprochement. Sans résultat pour l’instant.
Idriss Déby Itno donne de la voix. Le président tchadien a exhorté, mercredi 27 février à Yamoussoukro, ses homologues ouest-africains à hâter le pas dans le déploiement de la force ouest-africaine au Mali, où les troupes tchadiennes combattent les jihadistes dans le massif des Ifoghas.
Un attentat-suicide à la voiture piégée a visé un point de contrôle à l’entrée de la ville de Kidal, dans le nord du Mali, mardi 26 février au soir. Bilan provisoire : sept morts, dont le kamikaze, et plusieurs blessés, mais pas de civils touchés.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a affirmé mardi 26 février que de violents combats entre les forces françaises et les groupes islamistes armés se poursuivaient dans le nord du Mali. D’après lui, la traque des jihadistes a fait « beaucoup, beaucoup de morts » parmi ces derniers.
Le chef de l’État béninois l’assure : il ne cherchera pas à se maintenir au pouvoir à la fin de son mandat en 2016. Sexagénaire, Thomas Boni Yayi envisage de se retirer de la vie politique pour vivre sa foi. Interview d’un président de la république qui veut tourner la page d’une année mouvementée.
Dimanche 24 février, des frappes aériennes ont fait au moins quatre blessés dans les rangs du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA) à Infara, près de la frontière algérienne. Ce groupe armé, associé aux jihadistes et opposé au MNLA, accuse l’armée française.
La grande ville du Nord est tombée le 26 janvier. Vite, presque sans combats. Trop vite, sans doute, puisque les jihadistes ne sont pas loin et que les habitants vivent dans la crainte des attentats. L’euphorie de la libération aura été de courte durée. Les soldats maliens et français continuent à faire face aux attaques répétées des éléments du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao). Article publié dans le J.A. n° 2719 (17 au 23 février 2013).
De nouveaux combats ont opposé samedi des rebelles touareg alliés aux forces françaises et un groupe armé dans le nord du Mali, où la traque des jihadistes se poursuit avec l’appui désormais de drones américains « Predators » déployés depuis le Niger voisin.
De nouveaux combats ont opposé samedi des rebelles touareg alliés aux forces françaises et un groupe armé dans le nord du Mali, où la traque des jihadistes se poursuit avec la mort, selon N’Djamena, de 13 soldats tchadiens et 65 islamistes dans le massif des Ifoghas.
De violents combats entre l’armée tchadienne et des jihadistes dans le massif des Ifoghas, dans le nord du Mali, ont fait 65 morts parmi les jihadistes et 13 morts parmi les soldats tchadiens, a annoncé vendredi l’état-major tchadien.
Les sept otages français enlevés mardi 19 février dans le nord du Cameroun sont toujours introuvables. Jeudi 21 février, les forces de sécurité nigérianes poursuivaient leurs recherches dans le nord-est du pays, base-arrière supposée des ravisseurs.
Traqués dans leur refuge montagneux de l’Adrar des Ifoghas, les jihadistes du nord du Mali tentent de reprendre la main en contre-attaquant plus au sud dans la ville de Gao. Les assaillants ont été repoussés provisoirement, jeudi 21 février, après avoir occupé la mairie et la résidence du gouverneur. Des combats ont repris vendredi matin.
Deux villes au nord du Mali ont été les cibles d’attaques des jihadistes : des tirs à l’arme lourde ont été entendus dans la nuit du 20 au 21 février à Gao alors qu’à Kidal, un véhicule piégé a explosé près du camp où sont stationnés les soldats français et tchadiens.
En amenant avec elle diplomates et journalistes, l’intervention militaire favorise la relance de l’économie malienne. Le retour de l’aide internationale devrait en outre permettre de préserver la croissance malienne. La reprise est-elle pérenne ?
L’armée française a perdu son deuxième soldat engagé dans l’opération Serval au nord du Mali. Un légionnaire a été tué lors d’un accrochage dans le massif des Ifoghas où se seraient retranchés les groupes islamistes armés.
Alors qu’elle enquête sur des crimes commis par les jihadistes dans le Nord-Mali, la Cour pénale internationale pourrait aussi s’intéresser aux événement survenus pendant et après le putsch du 22 mars 2012.
Pas moins de 700 km et 28 heures de route en convoi avec l’armée française séparent Sévaré, d’où est partie la reconquête du Nord-Mali, de Gao, nouvelle tête de pont franco-malienne dans la lutte contre les jihadistes. Reportage.
Dans le nord du Mali, l’armée malienne a régulièrement recours à la torture et au meurtre contre les personnes suspectées de soutien aux groupes islamistes armés au temps de leur domination, ont constaté des médecins et militaires maliens, des soldats français et un journaliste de l’AFP.
Des soldats français, maliens et nigériens sont entrés dimanche 17 février dans la ville de Bourem, située entre Gao et Kidal, dans le nord du Mali, a constaté un photographe de l’AFP.
Les dirigeants des pays sahélo-sahariens réunis samedi à N’Djaména ont appelé à poursuivre les efforts visant à soutenir « le processus politique, diplomatique et militaire » pour « parvenir à une stabilité définitive au Mali », en guerre contre des groupes islamistes armés.
Qui n’a jamais reçu de message par internet l’incitant à prendre contact avec une soi-disant héritière… laquelle n’aurait besoin que d’une modeste somme pour payer les frais de justice nécessaires au déblocage du magot ? Le point sur toutes les petites et les grandes arnaques du web.
Figure emblématique du hip-hop malien, Ramsès Damarifa, le leader de Tata Pound se met en scène dans un portrait musical où il apparaît comme un formidable acteur.
Le gouvernement malien a annoncé, jeudi 14 février, que le premier tour de l’élection présidentielle aurait lieu le 7 juillet et le second deux semaines plus tard, le 21 juillet. Les élections législatives se tiendront aux mêmes dates.
Le minier AngloGold Ashanti a décidé de mettre en pause son plan d’expansion de 500 millions de dollars de la mine de Sadiola, un projet qu’il exploite conjointement avec le canadien Iamgold. Un dirigeant de l’entreprise évoque la précarité de la situation sécuritaire.
Officiellement, Paris et Bamako travaillent main dans la main. Mais sur le terrain, rien ne se fait sans l’aval des Français. C’est à peine si les soldats maliens participent à la reconquête du Nord.
Un peu éclipsée par l’intervention militaire franco-malienne, la situation humanitaire au Mali préoccupe. Alors que des dizaines de milliers de personnes continuent de fuir les zones d’affrontements, les besoins ne cessent de croître. D’autant que le gouvernement a tout intérêt à prendre le problème à bras-le-corps s’il veut tenir rapidement des élections, les deux tours de la présidentielle étant annoncés pour les 7 et 21 juillet.
Un candidat français au jihad avait été arrêté, le 7 août, à Niamey. Cédric Labo Ngoyi Bungenda, Franco-Congolais de 27 ans, tentait de passer par le Niger pour rejoindre le Mali afin d’y combattre aux côtés d’Aqmi. Après plusieurs mois d’enquête, la police française est en possession de nouveaux éléments.