Dioncounda Traoré est le président de l’Alliance pour la démocratie au Mali (Adema) et fait partie des candidats en lice, et favoris, pour succéder à Amadou Toumani Touré.
Africable couvre désormais tout le continent, le Moyen-Orient et l’Europe, et produit plus de la moitié de ses programmes. Sept ans après son lancement, son PDG lui donne une petite sœur, Maisha TV, destinée aux femmes.
Comme Jean Ping à la tête de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha souhaite se succéder à lui-même à la vice-présidence de cette institution. Et continuer son oeuvre de restructuration libérale.
Pour éviter la dispersion des armes du régime déchu de Mouammar Kadhafi, l’administration américaine a dépéché 14 experts en Libye. Une cinquantaine d’autres suivront bientôt.
Ousmane Sy est ancien ministre et conseiller municipal de Bandiagara. Il s’insurge contre les consignes données par les pays occidentaux à leurs ressortissants pour dissuader ces derniers de faire du tourisme au Mali.
L’usine de la Famab-SMO, qui fabrique des aliments pour bétail et des oléagineux au Mali, se modernise. Elle se prépare à subvenir aux besoins du marché local, loin d’être comblés.
L’arrivée à la tête des Affaires étrangères de l’ex-chef des renseignements, en avril dernier, a décomplexé la diplomatie malienne. Un nouvel élan bienvenu.
Longtemps décriées pour leur vétusté et leur non-conformité aux normes internationales, les infrastructures du continent se modernisent. Et, de plus en plus, la tendance est à la privatisation de leur gestion.
Une vingtaine de prétendants se sont déclarés pour la présidentielle malienne de 2012. Parmi eux, trois poids lourds, entre lesquels la compétition promet d’être sans merci. Et qui ne devront négliger ni le charisme ni le soutien de certains outsiders.
Ibrahim Boubacar Keïta est le président du Rassemblement pour le Mali (RPM) et fait partie des candidats favoris pour succéder à Amadou Toumani Touré à la tête de l’État malien.
Soumaïla Cissé est le fondateur de l’Union pour la République et la démocratie (URD) et fait partie des candidats favoris pour succéder au président du Mali, Amadou Toumani Touré.
Ils ne sont pas favoris, et leurs scores risquent d’être anecdotiques. Pourtant, certains auront une influence majeure sur la présidentielle malienne à l’image de Hamed Sow, Jeamille Bittar, Mandani Tall ou encore Modibo Sidibé.
La composition de la Ceni suscite une polémique toute sémantique au Mali. Entretien avec Kassoum Tapo, président de la commission des lois de l’Assemblée nationale, député de la majorité.
Dernier chantier d’envergure président malien Amadou Toumani Touré : le projet de révision de la Constitution. Il pourrait être soumis à référendum en décembre ou janvier.
Fini le consensus. Conscient des enjeux d’une année électorale déterminante, le Mali tout entier redécouvre la politique. Des nombreuses formations diluées dans la mouvance présidentielle aux quelques leaders d’opposition, chacun reprend ses marques. Pendant que le chef de l’État, Amadou Toumani Touré peaufine son bilan.
Si les prix de la dernière campagne ont redonné de l’espoir à une filière sinistrée, les perspectives sont encore trop incertaines pour crier victoire.
Importé d’Arabie saoudite, au gré des relations commerciales avec ce pays, l’islam wahhabite gagne du terrain au Mali. Mosquées aux imams intégristes, femmes voilées de noir ou en niqab en sont les signes les plus visibles. Mais les islamistes, qui revendiquent de plus en plus ouvertement l’application de la charia dans un pays traditionnellement laïque, sont aussi parfois prêts à en venir aux mains.
L’ancien président du Cap-Vert Pedro Pires a reçu le prix de la fondation du milliardaire soudanais Mo Ibrahim, qui récompense un chef d’État africain ayant quitté le pouvoir démocratiquement. Faute de candidats, il n’était pas attribué depuis deux ans.
Le 10 octobre, à Londres, la Fondation Mo Ibrahim a rendu public son palmarès 2011 pour l’Afrique. Et remis son prix pour la bonne gouvernance, qui n’avait pas eu de lauréat en 2009 et 2010, à l’ex-président du Cap-Vert Pedro Pires.
L’ex- « Guide » libyen Mouammar Kadhafi les avait hébergés, financés, utilisés. Sa chute les a laissés sans mentor ni base arrière. Rentrés par milliers au Mali ou au Niger, les Touaregs inquiètent les autorités.
Management, langues étrangères, commerce… Le pôle Amadou-Hampâté-Bâ de Balako offre déjà un large choix de formations. Avec une nouveauté pour cette rentrée au Mali : l’Institut d’études politiques.