Sept pays du Sahel ont participé à une « conférence de coordination » de la lutte contre le terrorisme à Alger mardi 16 mars. En ouverture de la réunion, la diplomatie algérienne s’était inquiétée des « développements dangereux » des groupes islamistes de la région et a insisté sur la nécessité « d’un engagement sans faille et sans conditions » des pays concernés.
La justice mauritanienne a inculpé lundi sept personnes pour leur « implication » dans l’enlèvement fin novembre de trois Espagnols dans le nord du pays, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
La libération du Français Pierre Camatte, enlevé au Mali et retenu par Al-Qaïda au Maghreb islamique, était conditionnée à la libération de quatre « militants » islamistes. Bamako a plié, ravivant les tensions avec l’Algérie et la Mauritanie qui jugent impardonnable la clémence de la justice malienne.
Quatre mois après son investiture, le nouveau chef de l’État a pris possession du Palais du bord de mer. S’il est encore trop tôt pour dresser un bilan des premières réformes, leur impact sur le quotidien des Gabonais et le changement de méthode se sont déjà fait sentir.
La nébuleuse salafiste d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a rendu sa liberté à la Catalane Alicia Gamez. Les raisons de cette libération restent incertaines.
Longtemps pénalisées par l’ouverture des marchés et la part belle faite aux négociants, les compagnies privées du continent sont désormais l’atout majeur des États pour relancer la production locale.
Au moins cinq soldats nigériens ont été tués, et vingt autres blessés lundi, lors d’une attaque surprise menée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) contre un poste militaire dans l’ouest du Niger, à la frontière malienne.
Deux émissaires du président malien d’Amadou Toumani Touré auprès de la nébuleuse salafiste Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) ont joué un rôle central dans la libération de l’otage français Pierre Camatte, le 23 février.
L’ex-homme fort de Conakry, le chef de la junte Moussa Dadis Camara, pourrait poursuivre sa convalescence au Mali. Sékouba Konaté aurait effectué des « repérages » pour sa prochaine résidence à Sélingué, près de la capitale malienne.
La chaîne franco-allemande s’apprête à sortir en DVD une enquête sur l’explosion des prix du riz en provenance d’Asie en 2008, ainsi que deux films de William Klein.
L’Italien Sergio Cicala, retenu en otage depuis décembre avec sa femme par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a appelé son gouvernement à faire des « concessions » pour obtenir leur libération.
A l’occasion de la fête du Mouloud, qui célèbre la naissance du Prophète, une bousculade mortelle a eu lieu aux abords d’une mosquée de Tombouctou. Des sources maliennes font état d’au moins 24 personnes décédées.
Profitant de sa tournée africaine, le président français a programmé un détour par le Mali, entre l’étape gabonaise et l’escale rwandaise. Il entend remercier Amadou Toumani Touré et rencontrer l’otage français Pierre Camatte, qui vient tout juste d’être libéré.
Comme on pouvait le prévoir, l’otage français a été relâché par ses ravisseurs d’Al Qaïda au Maghreb islamique. Mais les conditions de cette libération mettent à mal les relations diplomatiques du Mali avec ses voisins.
Dans un contexte tendu en Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo se rendra en avril à Bamako pour assurer la promotion de son livre Paroles d’honneur et, surtout, lancer un club de soutien à son mari.
Comme la Mauritanie, l’Algérie a réagi vigoureusement à l’égard du Mali après la libération de quatre islamistes, réclamée par AQMI en échange de l’otage français Pierre Camatte. Visiblement obtenue sous la pression de Paris, la décision de Bamako risque de compliquer encore la coordination des pays de la région contre la nébuleuse terroriste.
Nouakchott a condamné la libération par les autorités maliennes de quatre islamistes, condition sine qua non imposée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) pour relâcher un otage français. La Mauritanie a rappelé son ambassadeur au Mali.
Les quatres islamistes détenus au Mali et réclamés par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) en échange de l’otage français Pierre Camatte ont été libérés.
Après quatre jours de débats, les participants du 10e Forum de Bamako ont estimé que les État africains devaient être les moteurs de l’agriculture. Mais ils ont également condamné la libéralisation à marche forcée dont le continent est l’objet depuis une vingtaine d’année.
L’otage français Pierre Camatte pourrait être prochainement libéré. AQMI le détient depuis le 26 novembre et avait posé comme condition de sa libération celle de quatre islamistes emprisonnés par les autorités maliennes. Or ceux-ci ont été jugés le 18 février et remis en liberté, moins de quarante-huit heures avant l’expiration de l’ultimatum posé par la nébuleuse salafiste.
L’ultimatum d’Aqmi concernant le français Pierre Camatte expire samedi 20 février. Mais les autorités maliennes restent optimistes quant à sa libération -et celle des six otages kidnappés ces derniers mois. Les ravisseurs réclament la libération de quatre de leurs combattants détenus au Mali en échange de la libération du français.
« Qu’avons nous fait de nos cinquante ans? » La question semble être au coeur de la 10e édition du Forum de Bamako qui a ouvert ses portes le 16 février. Cette rencontre de décideurs et de spécialistes aborde cette année la question cruciale de la résolution des crises alimentaires dont le continent souffre régulièrement.