Une délégation de leaders de la majorité présidentielle s’est rendue le 23 juin au siège de la Coordination des mouvements, associations et sympathisants (CMAS) de l’imam Mahmoud Dicko.
Quelle portée auront les propos de l’adolescente malienne qui vient de tancer les grands de ce monde au Conseil de sécurité ? Sa prestation a le mérite de réveiller des institutions anesthésiées pendant la récente pandémie.
L’actrice et chanteuse malienne s’est investie à 100 % dans un documentaire sur la grande muraille verte, cette ceinture d’arbres qui s’étire de Dakar à Djibouti. Et confirme son statut d’artiste engagée.
Face aux manifestations de la coalition qui réclame son départ, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta s’appuie sur un cercle restreint d’hommes politiques et de leaders de la société civile.
Après avoir flirté avec la musique électronique, la diva malienne revient avec un album plus épuré, rejouant certains de ses anciens titres dans les conditions du live. Émotions garanties.
Les dirigeants de la contestation en cours contre le président malien Ibrahim Boubacar Keïta ont rejeté samedi soir les pistes proposées par des médiateurs ouest-africains pour sortir le pays de la crise et réitéré leur demande de voir le chef de l’État démissionner.
Bamako a, une nouvelle fois, été le théâtre d’une démonstration de force de la coalition qui réclame la démission du président Ibrahim Boubacar Keïta. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont répondu à l’appel de l’imam Dicko et des leaders du Mouvement du 5 juin.
Lutte contre la corruption, crise sécuritaire et relance de l’économie… Le patron des patrons maliens n’hésite pas à dire ce qu’il pense, quitte à fâcher.
Dans une vidéo, Aqmi a reconnu la mort d’Abdelmalek Droukdel, tué le 3 juin par l’armée française dans le nord du Mali. Le groupe jihadiste y promet également de poursuivre son combat contre la France et ses alliés au Sahel.
L’imam Mahmoud Dicko, figure de la contestation, a appelé les maliens à manifester le 19 juin malgré l’annonce par Ibrahim Boubacar Keïta d’une série de mesures destinées à apaiser le climat politique et social.
Le chef de l’État malien Ibrahim Boubacar Keïta a tendu la main dimanche soir à la coalition hétéroclite de chefs religieux, d’hommes politiques et de la société civile qui conteste son pouvoir, dans un pays confronté en outre aux attaques jihadistes.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keita a reconduit à son poste son Premier ministre démissionnaire et l’a chargé de former le prochain gouvernement malgré un mouvement de contestation socio-politique qui dure depuis plusieurs mois.
Au lendemain de la manifestation qui a réuni des milliers de personnes à Bamako, vendredi, des représentants de l’Union africaine, de la Cedeao et de la Minusma ont rencontré l’un de ses principaux initiateurs : l’imam Mahmoud Dicko.
Plus de deux mois après l’enlèvement du chef de file de l’opposition malienne, onze personnalités, dont deux anciens Premiers ministres du Burkina Faso et du Sénégal, lancent un appel à « tout faire pour obtenir sa libération ».
Les auteurs de l’attaque, qui a eu lieu vendredi dans le centre du pays, n’ont pas été clairement identifiés, mais des témoignages incriminent l’armée malienne.
Longtemps demeuré insaisissable, le chef historique d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), l’Algérien Abdelmalek Droukdel, a été abattu par les forces spéciales françaises dans le nord du Mali. Retour sur la traque d’un vétéran du jihadisme.
Ce vendredi 5 juin, l’imam Mahmoud Dicko avait appelé à manifester contre la mauvaise gouvernance aux côtés de plusieurs partis d’opposition. Portrait d’un homme qui, en quelques mois, est devenu la principale figure de la contestation au Mali.
La reprise partielle des cours dans les écoles, collèges et lycées a été perturbée par le boycott d’une partie des enseignants, qui réclament une revalorisation de leurs salaires. Ce qui fragilise encore le secteur de l’éducation, déjà confronté aux crises sécuritaire et sanitaire.
Le gouvernement malien a accusé mercredi la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) « d’actes attentatoires à la souveraineté nationale », et lui reproche de violer l’accord de paix d’Alger.
Le chef de file de l’opposition malienne est aux mains des jihadistes depuis maintenant soixante jours. Malgré la mobilisation de ses partisans, de ses proches et des autorités du pays, sa libération semble encore loin d’être acquise.
Le militant anti-corruption a été libéré vendredi mais doit comparaître le 1er juillet pour incitation à la violence, selon plusieurs sources judiciaires.
Arrêté le 9 mai, l’activiste malien, figure de la lutte anticorruption, serait soupçonné d’atteinte à la sûreté de l’État. Aucun juge ne s’est pour l’instant prononcé sur le dossier.
Moussa Timbiné a déjoué les pronostics en se faisant élire mi-mai à la tête de l’Assemblée nationale du Mali. Portrait de l’un des visages du renouveau de la scène politique malienne.
Le gouvernement malien apporte son soutien à la chanteuse franco-malienne, rentrée à Bamako le 9 mai, alors qu’elle était placée sous contrôle judiciaire depuis fin mars avec interdiction de quitter le territoire français.
Le maire de Koumaïra, qui a été brièvement détenu après avoir tenté une médiation pour obtenir la libération de Soumaïla Cissé, aux mains de preneurs d’otages depuis le 25 mars, réfute la version donnée par un de ses proches à Jeune Afrique.
Placée sous contrôle judiciaire fin mars avec interdiction de quitter le territoire français, la chanteuse franco-malienne a rejoint Bamako par avion privé.
Le mandat du Représentant spécial de l’ONU au Mali, Mahamat Saleh Annadif, pourrait être prolongé jusqu’à ce qu’un consensus se dégage pour sa succession.
Seydou Kane est originaire du Mali, mais c’est au Gabon qu’il a fait fortune. Aussi puissant que discret, l’homme d’affaires fuit les médias. Au début de la pandémie de coronavirus, sa fondation s’est tout de même illustrée en venant en aide aux habitants de Libreville les plus affectés. Les dix choses qu’il faut savoir sur lui.