L’ancien ministre, soutenu par des coordinations de chefs de villages et des associations, a déclaré officiellement sa candidature à la présidentielle du 29 juillet au Mali. Il a fait de l’accès à la propriété foncière des paysans et de la lutte contre la corruption ses priorités.
Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres estime dans un récent rapport que le soutien logistique de l’ONU à la force G5 Sahel n’est pas à la hauteur du défi alors que « la situation sécuritaire au Sahel continue de se détériorer ».
Le président malien sortant a été investi dimanche candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet par une coalition de près de 70 partis, lors d’une réunion à Bamako. Élu en 2013, il briguera un second mandat.
Une soixantaine de partis politiques et associations de l’opposition malienne ont formé dimanche à Bamako une coalition pour réaliser « l’alternance et le changement » lors de l’élection présidentielle du 29 juillet, après cinq ans de mandat d’Ibrahim Boubacar Keïta.
Le gouvernement malien a officiellement convoqué vendredi le corps électoral pour le scrutin présidentiel du 29 juillet, selon un communiqué du Conseil des ministres.
Alors que l’opposant Tiébilé Dramé accuse le président Ibrahim Boubacar Keïta de gaspiller les ressources de l’armée, des doutes pèsent sur l’existence même des « rapports confidentiels » avancés comme preuve de la fraude par le leader du Parena. La charge est-elle sérieuse, ou s’agit-il d’une simple passe d’armes pré-électorale ?
À Bamako, c’est un ministre de l’Éducation abasourdi qui vient de rendre publics les résultats d’un recensement des enseignants maliens. Les professeurs fictifs sont légion…
Dans une lettre datée du 27 mars, dont JA a obtenu copie, l’opposition malienne demande « expressément au Conseil de sécurité de renforcer le volet politique de la Minusma » et de « soutenir les préparatifs des élections en y intégrant la certification des résultats ».
Désigné candidat du parti des abeilles, l’ex-président de transition se mure dans un silence qui entretient les doutes sur sa volonté de se présenter à la présidentielle du 29 juillet. Déjà minée par des divisions internes, l’Adema-PASJ semble dans l’impasse.
Quinze « terroristes » ont été neutralisés vendredi dans le centre du Mali lors d’une opération contre les groupes jihadistes, au cours de laquelle un soldat a été tué et deux blessés, a annoncé samedi l’armée malienne.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, la principale alliance jihadiste du Sahel, liée à Al-Qaïda, a revendiqué l’attaque du 14 avril à Tombouctou contre le camp de la force française Barkhane et de la Mission de l’ONU.
Le Premier ministre malien Soumeylou Boubeye Maïga a procédé ce vendredi à la traditionnelle déclaration de politique générale devant les députés de l’Assemblée nationale. Une déclaration très attendue à quelques mois des élections présidentielles, notamment sur l’organisation du scrutin et la réinsertion des ex-rebelles, stipulée par l’accord de paix.
Les chancelleries des deux pays ont démenti les informations faisant état du « rappel pour consultation » de l’ambassadeur et du consul général du Mali à Alger. Les deux diplomates sont pourtant bel et bien attendus dans les prochains jours à Bamako, pour une réunion concernant le traitement des migrants maliens en Algérie.
Le chef du Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA), Moussa Ag Acharatoumane, revient pour Jeune Afrique sur la « guerre » engagée contre l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS) dans la zone du Mali frontalière avec le Niger.
Le Premier ministre malien a donné son accord pour une livraison de vivres à Kidal, où les denrées de première nécessité peinent à arriver du fait de la fermeture de la frontière avec l’Algérie.
Sept soldats français ont été blessés dans l’attaque qui a visé samedi les camps de la Minusma et de la force française Barkhane à Tombouctou, dans le nord du Mali, au cours de laquelle « une quinzaine » d’assaillants ont été tués, a annoncé dimanche à l’AFP l’état-major français.
Des tirs de roquettes, des assaillants déguisés en Casques bleus montés à bord de véhicules piégés, des échanges de coups de feu : les camps de la Minusma et de la force Barkhane à Tombouctou ont été la cible samedi d’une attaque « sans précédent » qui a fait au moins un mort et une vingtaine de blessés.
Les Nations unies ont annoncé leur intention d’identifier les Maliens » ceux qui font obstruction à la mise en oeuvre de l’accord de paix », en vue de leur imposer des sanctions, ont annoncé mercredi la France et les États-Unis.
L’ex-chef du gouvernement d’IBK s’est déclaré dimanche candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet. Moussa Mara, président du parti Yelema, entend faire mieux qu’en 2013, où il avait recueilli 1,5 % des voix au premier tour.
Une association peule et des proches de 14 suspects tués vendredi pendant leur détention par l’armée malienne dans le centre du pays dénoncent des « exécutions sommaires ».
Un Casque bleu nigérien a péri à la suite d’une attaque à Gao, principale ville du nord du Mali, a annoncé la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) dans un communiqué, précisant avoir eu plus de 100 tués dans des « actes hostiles ».
Bilal Ag Achérif, secrétaire général du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) et président en exercice de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) revient d’une tournée d’un mois dans la région de Tombouctou. Grâce à une nouvelle alliance, le MNLA devient la première force militaire dans cette région, parmi les groupes signataires de l’accord de paix de 2015.
Deux hommes ont été tués et dix autres blessés dans une attaque sur le camp de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) à Aguelhok, dans le nord-est du pays. Cela porte à 150 le nombre de Casques bleus tombés dans le cadre de cette mission, lancée en juillet 2013.
Ce bilan est le résultat d’affrontements qui sont intervenus dans le cadre d’une opération de reconnaissance des troupes françaises et maliennes, dans la région d’Akabar, à la frontière avec le Niger.
Le secrétaire général de la présidence malienne, Moustapha Ben Barka, a rencontré le 23 mars à l’Élysée plusieurs membres de l’entourage du président français Emmanuel Macron, notamment pour évoquer l’accord de paix au Mali.
Al Hassan, un ex-membre présumé d’Ansar Eddine, a comparu ce mercredi devant la CPI. Transféré quelques jours plus tôt de Bamako à La Haye, il est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à Tombouctou entre 2012 et 2013.
Accusé d’avoir participé à la destruction des mausolées de Tombouctou, mais aussi d’être responsable d’actes de viol et de torture, le Malien Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud doit être présenté devant la CPI à 13 heures GMT.
L’ancien président de la transition du Mali, Dioncounda Traoré est attendu par certains comme candidat à la présidentielle de 2018. Mais le principal intéressé ne semble pas déterminé.