À quatre mois de la présidentielle, le parti Adema, autrefois hégémonique, se déchire entre les partisans d’une candidature maison et les pro-IBK. Au point d’inquiéter le camp du chef de l’État et de nourrir les espoirs de l’opposition.
L’ancien Premier ministre malien et président du parti Yelema était, de nouveau, à Paris la semaine dernière. Il a notamment rencontré la députée (LREM) Alexandra Valetta-Ardisson, présidente d’un groupe parlementaire sur l’accueil des migrants.
Le Premier ministre malien Soumeylou Boubeye Maïga était à Kidal ce vendredi 23 mars. C’est la première fois qu’un Premier ministre se rend dans cette ville depuis la tournée de Moussa Mara dans la ville frondeuse du Nord, en 2014, sur fond d’affrontements entre des rebelles et l’armée malienne.
Le Premier ministre malien Souleymou Boubèye Maïga a entamé jeudi 22 mars une visite dans le nord et le centre du pays. Il était attendu le même jour à Kidal, mais son voyage a dû être reporté au lendemain, en raison de mauvaises conditions météo.
Le Premier ministre malien Soumeylou Boubèye Maiga a entamé jeudi une visite dans le nord et le centre du pays qui doit le mener à Kidal, sous contrôle de l’ex-rébellion. L’État malien n’était pas retourné à Kidal depuis 2014.
L’ancien président du Mali, chassé du pouvoir en 2012 et exilé depuis à Dakar, pourrait être de retour dans la capitale en juin prochain, définitivement.
Une manifestation devant l’ambassade algérienne à Bamako a dégénéré lundi 12 mars. De jeunes Maliens se plaignent d’avoir été victimes de mauvais traitements après leur arrestation en Algérie.
Deux ans après la signature de l’accord de paix entre les mouvements armés et le gouvernement, les tensions s’enveniment entre les différentes communautés vivant à Gao. Le sentiment d’insécurité, la crise économique et les rivalités avec les autorités intérimaires en sont les raisons principales, analyse Ibrahim Maïga, chercheur à l’Institut d’études en sécurité (ISS).
Un document, présenté comme étant le chronogramme de la présidentielle prévue le 29 juillet, a été diffusé par la presse malienne ce jeudi. Si le début de la campagne y est annoncée pour le 7 juillet, le chronogramme doit encore être validé lors du prochain Conseil des ministres.
L’homme d’affaires malien, Aliou Boubacar Diallo, s’est déclaré ce dimanche candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet, avec les couleurs de l’Alliance démocratique pour la paix (ADP-Maliba). Connu pour sa société Wassoul’Or, la mine d’or de Kodiéran, au sud du Mali, il est également un ancien poids lourd de l’entourage de Ibrahim Boubacar Keïta.
Le maire de Sikasso, Kalfa Sanogo, a officiellement été investi candidat à la primaire de l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (Adema-PASJ), ce samedi, par la section de sa ville. Le parti, principal allié de la formation d’Ibrahim Boubacar Keïta, présentera bien un candidat à la présidentielle du 29 juillet.
Une centaine d’associations de la majorité au Mali ont apporté samedi à Bamako leur soutien à une candidature du président Ibrahim Boubacar Keïta à l’élection du 29 juillet, a constaté un correspondant de l’AFP.
Une trentaine de jihadistes présumés ont attaqué jeudi 8 mars un chantier de construction d’un barrage à une dizaine de kilomètres de Djenné, dans le centre du Mali.
Alors que la relation entre Rabat et Bamako reste tenue à l’influence algérienne et que les différents acteurs apprennent encore à cohabiter, le Premier ministre malien est arrivé ce jeudi au Maroc, pour une visite de deux jours, pour rencontrer le chef du gouvernement marocain. L’enjeu : le processus de paix au Nord-Mali.
Alors que l’Union européenne avait posé, fin janvier, une série de conditions aux autorités maliennes pour l’envoi d’une mission d’observation lors du scrutin présidentiel de juillet 2018, l’UE enverra bien une délégation dans les prochaines semaines.
En pleine campagne pour la présidentielle prévue le 29 juillet prochain au Mali, Moussa Mara, l’ex-Premier ministre de Ibrahim Boubacar Keïta et le chef du parti Yelema, a rencontré plusieurs responsables en France du 26 février au 2 mars.
À l’approche de la présidentielle prévue le 29 juillet, le gouvernement dispose de cinq mois pour organiser des élections crédibles sur ce vaste territoire, dont certaines zones maîtrisées par des groupes jihadistes échappent au contrôle de l’État. Sécurité, logistique, financement, réclamations de l’opposition… Les défis à relever sont nombreux.
À l’approche de la présidentielle du 29 juillet, Mohamed Ag Erlaf, ministre de l’Administration territoriale du Mali, précise à Jeune Afrique le dispositif de sécurité prévu par le gouvernement, représentant l’un des principaux défis à relever.
Pour tenter de battre le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta à la présidentielle du 29 juillet, les leaders de l’opposition tentent d’unir leurs forces dans un projet d’alliance. Rester à trouver le candidat qui sera chargé de porter leurs couleurs, et la liste est longue.
L’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (Adema-PASJ), le principal allié de la formation d’Ibrahim Boubacar Keïta, présentera bien un candidat à la présidentielle du 29 juillet. Une décision qui ne fait pas l’unanimité au sein du parti.
À quelques mois de l’élection présidentielle du 29 juillet au Mali, les 64 partis politiques de la Convention de la majorité présidentielle (CMP) commencent à mobiliser leurs militants. Mais sur le terrain, c’est une unité à deux vitesses qu’on observe, entre ceux qui soutiennent déjà la candidature du président sortant IBK, et les autres…
Abou Walid al-Sahraoui, le chef de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS), a réussi à échapper à une offensive menée le 22 février par des soldats français de la force Barkhane, des combattants du Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA) et du Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia), dans le sud-ouest de Ménaka.
Le juge d’instruction chargé de l’enquête sur le meurtre de nos deux confrères, le 2 novembre 2013 à Kidal, s’est rendu à Bamako en février. Me Christophe Deltombe, ex-avocat de Ghislaine Dupont, et membre de l’association des Amis de Ghislaine Dupont et Claude Verlon, fait le point sur l’enquête pour Jeune Afrique. Interview.
L’insécurité au Mali « continue à se développer et gagne de façon progressive le centre du pays », affirme un rapport intermédiaire de l’ONU, en précisant que plusieurs signataires de l’accord politique de 2015 reconnaissent perdre de leurs pouvoirs.
Six soldats maliens ont péri mercredi dans l’explosion de leur véhicule sur une mine artisanale, près de Dioura, à l’ouest de Mopti. L’information a été confirmée à JA par l’armée malienne.
Après Alger et Nouakchott, le président turc Recep Tayyip Erdogan devrait arriver ce mercredi soir à Dakar, dans le cadre de sa tournée africaine, prévue du 26 février au 2 mars. Fermeture des écoles Gülen, diplomatie économique… Focus sur les enjeux de cette tournée africaine.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta était de passage à Paris du 18 au 21 février. Il a rapidement et discrètement rencontré son homologue français à l’Élysée le 19. Les deux hommes ont évoqué les questions sécuritaires.