Frédéric Gallois, ancien du GIGN et cofondateur de la société de sécurité privée Gallice, veut prendre ses distances avec l’homme d’affaires corse Michel Tomi, avec qui il a été mis en examen en France en juin 2014.
Les groupes armés de la CMA et de la Plate-forme ont accepté de se retirer vendredi des check-points qu’ils occupaient depuis le 5 mars à Tombouctou. Mais leurs revendications n’ont pas été satisfaites et les tensions subsistent dans la « Ville aux 333 saints ».
Selon l’agence mauritanienne ANI, l’attaque ayant coûté la vie à 11 militaires maliens dimanche dernier à Boulikessi a été revendiquée par la nouvelle organisation d’Iyad Ag Ghali, Jamaât Nasr Al islam wa Al mouminin. Elle est Issue de la fusion récente de plusieurs groupes terroristes actifs dans le Sahel.
Le limogeage mercredi de dirigeants de la Fédération malienne de football (Femafoot), décidé par le ministère des Sports, a provoqué la protestation de la Fifa. Celle-ci a dénoncé jeudi l’ingérence des autorités maliennes dans les affaires sportives.
Après une série d’attaques jihadistes dans le nord du pays, le Burkina Faso a interdit la circulation nocturne de tout véhicule sur la bande frontalière avec le Mali, a annoncé le gouverneur de la zone, le colonel Hyacinthe Yoda.
À Tombouctou, plusieurs groupes armés empêchent l’installation des autorités intérimaires prévues ce 6 mars. Ils exigent d’y être mieux représentés. La tension monte sur place.
Le ministère malien de la Défense a annoncé ce dimanche la mort de onze militaires maliens, suite à une attaque contre la base militaire de Boulikessi, dans le centre du Mali. Elle est attribuée au groupe Ansarul Islam, mené par Ibrahim Malam Dicko.
Des représentants d’associations peules du Mali, du Niger, et du Burkina Faso se sont réunis la semaine dernière à Dori, dans le nord du Burkina. Objectif de cette rencontre : mettre sur pied un réseau civil transfrontalier pour lutter contre l’insécurité grandissante dans leur région.
Ansar Eddine, Al Mourabitoune et la katiba Macina se regroupent sous la bannière d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), selon un communiqué diffusé ce 2 mars par les organisations jihadistes. Leur chef désigné ? Un certain Iyad Ag Ghali…
Les sommes investies par plusieurs États africains pour ériger bien haut leurs couleurs tous les ans au Salon international de l’agriculture donnent lieu à divers contrats et partenariats. Plutôt une bonne affaire, ont plaidé – chiffres à l’appui – plusieurs représentants du continent en marge de la 54e édition de l’événement.
Les premières patrouilles mixtes entre soldats maliens, groupes armés pro-gouvernementaux et ex-rebelles relancent timidement les espoirs de paix dans le nord du Mali, où les défis sécuritaires restent immenses après une série d’attentats sanglants.
Des dizaines de jeunes dénonçant la vente d’alcool ont saccagé samedi des bars et débits de boissons à Tombouctou, haut lieu de l’islam dans le nord du Mali, ont indiqué témoins, meneurs et sources policières.
Le lancement des patrouilles mixtes à Gao, jeudi, suscite déjà de fortes critiques. Alors qu’ils dépendent du ministère de la Défense, les soldats déployés sur le terrain manquent cruellement de moyens. Ils sont pourtant censés être déployés en première ligne contre le terrorisme.
Deux Maliens ont été arrêtés jeudi à Dakar. La police sénégalaise assure dans un communiqué que les suspects sont liés à l’attaque terroriste de Grand-Bassam, en mars 2016.
Les premières patrouilles mixtes formées de soldats maliens, de combattants de groupes pro-gouvernementaux et de l’ex-rébellion, ont été lancées jeudi à Gao, la plus grande ville du nord du pays. Elles doivent préfigurer la refonte d’une armée unitaire.
À Kidal, dans le nord du Mali, les patrouilles mixtes prévues par l’Accord de paix tardent à se mettre en place. En attendant, les groupes armés essaient de se présenter comme de parfaits garants de l’ordre et de la sécurité.
L’installation des autorités intérimaires dans le Nord du Mali, prévue par l’accord de paix de 2015 et qui devait débuter samedi à Kidal, bastion de l’ex-rébellion, a été reportée après une contestation de nominations du gouvernement, a t-on appris samedi auprès des autorités maliennes.
Les présidents des autorités intérimaires du nord du Mali, prévues par l’accord de paix de 2015, ont été désignés. Leur installation débutera ce samedi à Kidal, selon le ministère malien de l’Administration territoriale.
Informée par la population d’une attaque terroriste en préparation à Kidal, une trentaine de militaires rattachés à la force Barkhane sont intervenus mardi 14 février pour contrecarrer un projet d’attentat à l’engin explosif improvisé.
Abraham a 29 ans. Il est directeur d’une PME et journaliste au Mali. Son salaire s’élève à 240 000 francs CFA par mois, soit 365 euros. Pour ce nouvel épisode de la série l’argent des Africains, il nous ouvre son portefeuille et décortique ses dépenses.
Déclenchés le week-end dernier par l’assassinat d’un commerçant bambara, des affrontements intercommunautaires entre Peuls et Bambaras auraient fait au moins une vingtaine de morts dans la région du Macina.
Une dizaine de personnes ont été tuées au cours du week-end et des habitations incendiées dans le centre du Mali lors de violences entre éleveurs peuls et agriculteurs bambaras.
Une personne a été tuée et une vingtaine de suspects ont été arrêtés à Dialloubé dans le centre du Mali lors d’une opération contre des jihadistes. Selon des sources militaires, les suspects appartiennent essentiellement à la communauté peule.
Les recherches pour tenter de retrouver la religieuse colombienne, Gloria Cecilia Narvaez Argoti, enlevée dans la nuit de mardi à mercredi par des hommes armés présumés jihadistes, dans le sud du Mali, ont conduit à l’arrestation de deux suspects maliens.
« En première ligne contre le terrorisme », les pays du G5 Sahel ont annoncé lundi vouloir réaliser leur projet de force commune destinée à combattre les groupes jihadistes, qui utilisent notamment le Mali comme « base de repli ».
Le séjour diplomatique et médical du président malien en France a alimenté les soupçons sur son état de santé, alors que ses proches évoquent « un contrôle de routine ».