Le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran le 1er mai, arguant du soutien militaire de Téhéran au Polisario. Les pièces du dossier d’accusation que Nasser Bourita a présenté à Javad Zarif et que JA a pu consulter sont troublantes.
Des centaines de femmes se pressent devant la faculté des lettres de Rabat pour un concours inédit : pour la première fois au Maroc, le métier de notaire de droit musulman s’ouvre aux femmes, une initiative rare qui a suscité une vague de réactions dans le royaume.
Le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran, arguant du soutien militaire de Téhéran au Polisario. Mais le spectre du conflit entre l’Arabie saoudite et le Qatar n’est pas étranger à cette levée d’hostilités, selon Hasni Abidi, directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen.
Très développée à l’international, l’entreprise marocaine HPS spécialisée dans les services informatiques bancaires se heurte à la sous-bancarisation sur le continent.
À moins de trois semaines des élections pour la présidence de la CGEM, les deux binômes ont entamé leur campagne électorale. Une nouveauté dans le royaume : jusque-là, les patrons ont toujours avalisé une candidature unique.
Rabat accuse Téhéran de soutenir militairement le Polisario. Une rupture de plus dans le feuilleton des relations diplomatiques avec le régime des mollahs.
Plébiscité président du Conseil national du troisième parti politique au Maroc, ce discret sahraoui explique les circonstances de son élection et le rôle de réconciliateur qu’il entend jouer au sein d’une formation qui a connu bien des déchirements.
Le roi du Maroc a participé dimanche à Brazzaville à un sommet pour la préservation et le développement du fleuve Congo et la forêt équatoriale en présence de dix chefs d’État africains qui ont sollicité une aide financière pour le « Fonds bleu ».
Le procès de Nasser Zefzafi, leader du mouvement de protestation qui a agité l’an dernier la région marocaine du Rif (nord), s’est poursuivi vendredi à Casablanca, portant essentiellement sur des conversations téléphoniques de l’accusé.
Au Maroc, le duel de l’année se fera devant le tribunal de commerce de Rabat. Inwi, le troisième opérateur téléphonique du pays, a déposé une plainte contre son rival le géant Maroc Telecom (IAM) pour concurrence déloyale.
Après avoir confié le prêt de la Banque mondiale à une société de développement local, la Commune de Casablanca s’apprête à en créer une nouvelle, chargée cette fois de recouvrer les impôts impayés.
Après de multiples retouches, une nouvelle résolution concernant le conflit du Sahara devrait être soumise au vote du Conseil de sécurité d’ici lundi 30 avril, au plus tard. Le texte remanié prévoit un prolongement du mandat de la mission onusienne de six mois seulement et appelle à une reprise de négociation d’ici la fin de l’année.
Le lait de Centrale Danone, l’eau minérale Sidi Ali et le carburant des stations Afriquia… Depuis quelques jours, ces trois marques sont victimes d’un boycott lancé sur les réseaux sociaux. Ce mouvement qui surfe sur des thématiques de défense des consommateurs fait réagir les cercles politiques et économiques.
PSA est en route pour ses premières voitures « Made in Morocco ». Pour sa part, Renault Maroc devrait battre un nouveau record de production cette année. Le gouvernement vise désormais pour ce secteur plus de 17 milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’export d’ici à 2025.
La start-up sociale AWIS (Africa Water Innovative Solutions) modernise une technique ancestrale pour potabiliser l’eau : le filtre en céramique. Déjà présente au Maroc, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et en Mauritanie, sa fondatrice Kaoutar Abbahaddou ambitionne de se développer en Afrique anglophone.
Les États-Unis ont décidé de reporter un vote du Conseil de sécurité de l’ONU, prévu initialement mercredi 25 avril et destiné à renouveler pour un an la mission de la force de paix Minurso au Sahara occidental.
Le Chef de gouvernement Saadeddine El Othmani a tenu à rassurer les militants pour le droit à l’IVG. Pour Chafik Chraïbi, l’un des plus connus d’entre eux, le contexte n’a jamais été aussi favorable pour l’adoption d’une loi la plus souple possible.
La secrétaire d’État au tourisme, Lamia Boutaleb, a défendu la cause de son secteur devant les adhérents de l’Association africaine de capital-investissement (Avca), plaidant notamment pour que les investisseurs misent sur la rénovation des hôtels du pays.
Même avec une superficie cultivée réduite, la récolte de céréales dans les champs marocains devrait frôler les 100 millions de quintaux cette année, soit bien plus que les prévisions du projet de budget. Conséquence : le taux de croissance devrait être supérieur aux 3,2 % attendus.
Le Conseil de sécurité des nations unies doit se pencher, mercredi 25 avril, sur un projet de résolution sur le Sahara occidental porté par l’Espagne, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis. Rabat est à l’offensive diplomatique.
D’autres experts de la Fifa sont attendus « la semaine prochaine » au Maroc, candidat à l’organisation du Mondial-2026 face au trio USA-Canada-Mexique, pour examiner la capacité hôtelière et les infrastructures sportives du pays.
Neuf mois après avoir triomphé d’une guerre fratricide pour la direction du groupe, son président a livré en mars un nouveau plan stratégique. Au programme : expansion africaine et investissements industriels. Un dernier round avant de passer la main ?
Nominations à de hautes fonctions, adoptions de projets de loi, présentation de la vision sur la réforme des Centres régionaux d’investissement… Mohammed VI a réuni ses ministres jeudi, quelques jours seulement après son retour au pays, suite à sa période de convalescence en France.
Les cinq sélections africaines qualifiées pour le Mondial 2018 (14 juin-15 juillet) ont toutes disputé au moins un match de préparation. Suite vendredi soir avec Tunisie-Turquie et Égypte-Colombie.
À l’ouest, Tanger, la perle du détroit, et sa petite sœur, Tétouan, riches et adulées. À l’est, Al Hoceima, pauvre et marginalisée. Si toutes trois forment désormais une seule région, elles n’ont clairement pas connu le même destin. Comment les unifier ?
Ilyas El Omari, le président de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima et le patron de la première formation de l’opposition, revient avec force sur les défaillances de la régionalisation avancée ou sur les erreurs de gestion du gouvernement.