Le Français, jusqu’ici directeur financier d’Orange Egypt, a été nommé membre du directoire de l’opérateur marocain. Il y remplace Oussama El Rifai, directeur général administratif et financier.
Selon des sources internes, les deux hommes forts du Parti de la justice et du développement (PJD) ont conclu un accord pour tenter d’apaiser les tensions qui déchirent la formation islamiste.
Si le discounter turc, BIM, n’enregistre toujours pas de bénéfices dans le royaume, il continue coûte que coûte son expansion, poussant déjà ses concurrents à revoir leur stratégie.
Les magazines et documentaires sur l’Histoire rencontrent un véritable succès, qui traduit l’envie des Marocains de revisiter leur passé, lointain ou contemporain. Sans tabous.
Les législatives du 7 octobre 2016 et le long processus de formation du gouvernement qui s’est ensuivi ont chamboulé la ligne de démarcation entre majorité et opposition au Parlement.
Depuis sa nomination, en mars, le chef du gouvernement s’inscrit dans les pas de son prédécesseur, Abdelilah Benkirane, et n’a pas encore apporté sa touche personnelle à la gestion des affaires publiques. Certains y voient de la logique et du bon sens. D’autres, de l’attentisme.
Les Marocains ont attendu six mois pour avoir un gouvernement. Et il a suffi de quelques maladresses pour que la crédibilité de ce cabinet né dans la douleur soit entamée.
La société espagnole Abengoa, spécialisée dans l’énergie, a annoncé dans un communiqué avoir signé un nouveau contrat de 309 millions d’euros avec le Maroc, plus important que le précédent signé en 2014, pour construire une usine de dessalement fournissant de l’eau potable pour la consommation et l’irrigation, dans la région d’Agadir.
La thèse de l’exceptionnalisme marocain – le Maroc, un havre de paix dans une zone de fortes turbulences – a été brutalement remise en question par le mouvement social du Rif.
C’est un homme bien plus discret que le désormais ex-secrétaire général Ilyas El Omari, qui a été choisi pour assurer l’intérim à la tête d’un des partis les plus puissants du Maroc.
Un manifestant du « Hirak », le mouvement à l’origine de la contestation qui secoue la région du Rif, a succombé ce mardi à ses blessures. Depuis que la contestation a éclaté en octobre dernier, c’est la première fois qu’un manifestant perd la vie suite à des heurts avec les forces de l’ordre.
Pour la fête du Trône, Mohammed VI a prononcé le discours le plus offensif de son règne. Dans sa ligne de mire, les politiques et les fonctionnaires. Ambiance…
Pour la première fois, des Marocains ont été kidnappés par les pirates sévissant au large du Golfe de Guinée. Une prise d’otages qui rappelle toutefois un triste précédent : l’enlèvement de deux employés de l’ambassade marocaine en Irak en 2005.
Le chef du gouvernement marocain a annoncé jeudi 3 août la mise en place de six projets de réformes pour « corriger les irrégularités en matière de gestion de la chose publique », soulevées quelques jours plus tôt par le roi Mohammed VI dans son discours du Trône.
Jusqu’à présent secrétaire générale du ministère de l’Industrie et du Commerce, cette proche de Moulay Hafid Elalamy devient secrétaire générale de la CDG.
Le président soudanais, sous mandat d’arrêt international, est venu rencontrer le roi Salmane d’Arabie saoudite jeudi à Tanger, où celui-ci a pris ses quartiers d’été. Une visite vivement contestée par les défenseurs des droits de l’homme au Maroc.
L’officier tunisien Khaled Karoui a reçu un certificat de reconnaissance de l’ONU pour avoir sauvé trois de ses confrères et un prisonnier dans une attaque perpétrée par des anti-balka.
Ses partisans veulent que Benkirane rempile pour un troisième mandat à la tête du Parti de la justice et du développement, et qu’il aplanisse ses relations avec l’État.
Le royaume chérifien parie sur un soft power moderne, en partie dévolu à la société civile, pour consolider sa diplomatie vis-à-vis de l’Afrique subsaharienne. La culture y joue un rôle important.
Le Rifain Hakim Benchamach est le président de la Chambre des conseillers et le président du conseil national du Parti authenticité et modernité (PAM). Il a répondu à nos questions sur l’opposition.
Grâce à une nouvelle approche fondée sur des « écosystèmes », le plan engagé en 2014 a permis de donner un vrai coup d’accélérateur au secteur secondaire. Bilan à mi-parcours.
Moulay Hafid Elalamy, le ministre marocain de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Économie numérique, s’est entretenu avec Jeune Afrique au sujet du plan d’accélération industrielle (PAI), lancé en 2014.
Ancien ministre et acteur associatif culturel, Driss Alaoui Mdaghri nous parle culture. « Elle est là, vivante, vivifiante, multiple et diverse et se renouvelle sans cesse malgré les dérives ».
Pour Abdelaziz Enasri, la transition vers un système de change flexible du dirham n’est pas une mesure isolée mais plutôt la dernière pierre des réformes financières et bancaires menées par l’actuel gouverneur de la banque centrale. Il appelle également les banques à se responsabiliser, pour ne pas vendre des produits de couverture contre le risque de change tout en alimentant ce risque en spéculant.
L’avocat du chef de la contestation, Nasser Zefzafi, estime que cette grâce est un bon début pour la résolution d’une crise qui n’a que trop duré. Et qui a démontré la défaillance de la classe politique.
Pour tourner le clip de « Ce soir ne sors pas », Maître Gims et Lacrim ont choisi la ville de Marrakech. Il s’agit de la seconde collaboration entre les deux rappeurs.
Le 26 juillet, seuls 168 députés (sur 395), soit une petite moitié des représentants de six des sept groupes parlementaires, ont participé à la séance plénière de la Chambre des représentants consacrée à l’examen du rapport de la Cour des comptes .
Samedi, le roi du Maroc a prononcé un des discours les plus durs de son règne, revenant, entre autres, sur les contestations d’Al Hoceima. Selon lui, ces évènements ont révélé l’irresponsabilité des dirigeants politiques du pays.