Nouvel épisode dans la guerre des clans qui ronge le plus vieux parti du pays. Hamid Chabat, secrétaire général décrié, a résisté jusqu’au bout avant d’être chassé du siège de la centrale syndicale du parti.
Le dessin du street artiste allemand Hendrick Beikrich sur le mur de la rue El Ikhaa à Marrakech a été masqué samedi dans la matinée par une affiche publicitaire de la banque Umna Bank. Une action marketing qui a indigné les internautes marocains.
Sujet à de lourdes accusations, il risque des dizaines d’années de prison, selon son avocat. Parallèlement, à Al Hoceima, cœur de la contestation qui secoue le rif depuis plusieurs mois, les autorités tentent l’apaisement.
À 36 ans, le président du groupe Le Maroc Digital, qui comprend Avito, premier site de petites annonces du pays, devient le DG local du site africain de vente en ligne. Il remplace Bastien Moreau.
Discussion animée avec un ami, industriel marocain. Les reproches fusent. En cause, un éditorial de « Jeune Afrique » intitulé « Dior n’est pas marocain », publié en avril dernier. Une opinion, revendiquée comme telle.
Il fait partie des tout premiers professionnels étrangers à rejoindre l’Académie des Oscars. Une belle récompense pour ce passionné, encore marqué par la controverse autour de son film « Much Loved ».
Député, élu régional, président du Wydad Athletic Club, WAC, et de la ligue de football, investisseur dans les médias et le bâtiment… Cet enfant du Sud cumule les casquettes. Avec discrétion. Portrait.
Le président de la Cour des comptes, Driss Jettou, a présenté mardi 4 juillet le rapport annuel de son institution devant le Parlement. Il a notamment pointé du doigt l’aggravation de la dette publique et invité le gouvernement à revoir sa méthode de calcul du déficit budgétaire.
Le Maroc vient de connaître le feu de forêt le plus ravageur de son histoire. L’incendie a réduit en cendres les deux tiers du domaine forestier de Tanger.
Les forces de l’ordre ont commencé en début de semaine à se retirer progressivement des centres d’al-Hoceima et Imzouren, deux villes du nord du Maroc secouées par un mouvement de contestation depuis huit mois.
385 : c’est le nombre de blessés dans les rangs des forces de l’ordre depuis le début du mouvement de contestation dans la province rifaine d’Al Hoceima, dans le nord du Maroc.
Ce lundi, lors du 29e sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, le roi du Maroc s’est exprimé par la voix de son représentant. Il a plaidé en faveur d’un « agenda africain » sur la migration, pour stopper le départ des jeunes Africains vers l’Europe dans des conditions précaires.
Décidée à la hâte, l’interview accordée par le chef du gouvernement marocain aux télévisions publiques ce samedi 1er juillet n’a visiblement pas convaincu le grand public.
Suite à la médiation nigériane, les clauses que le Maroc avait jugées attentatoires à sa souveraineté sur le Sahara, dans un rapport prévu pour être signé lors du sommet, ont été changées.
Le Maroc a rejeté samedi le rapport de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, ce dernier contenant deux clauses sur l’instauration d’une mission de surveillance des droits de l’homme dans le Sahara.
Elle est championne du monde de kickboxing et doctorante en droit. Mais cette Marseillaise d’origine comorienne et marocaine peine à s’imposer sur le ring politique.
Malgré la pression des attentats et des contraintes budgétaires, la manifestation marocaine qui fête sa 20e édition du 29 juin au 1er juillet a su conserver toute sa fraîcheur.
L’ancien député marocain Saïd Chaou, au centre d’une crise diplomatique entre le Maroc et les Pays-Bas, a été arrêté jeudi 29 juin par les autorités néerlandaises. Il doit être présenté devant un juge qui statuera sur son extradition.
Le chef du gouvernement marocain Saadeddine El Othmani a exprimé « son regret et sa tristesse » après les violences qui ont éclaté lundi 26 et mardi 27 juin à Al Hoceïma et Imzouren dans le nord du Maroc.
Des heurts à Al Hoceïma et Imzouren au Maroc, lundi 26 et mardi 27 juin auraient fait près de 80 blessés dans les rangs des forces de l’ordre d’après l’exécutif, tandis que le bilan reste inconnu du côté des manifestants.
Un livre très attendu et des attentes somme toute satisfaites. Mieux qu’un long compte rendu des travaux de l’Instance Équité et Réconciliation (IER), « Kadhalek Kan… » (« ainsi fut-il… ») est une expérience d’écriture qui combine plusieurs approches menée d’une seule traite, la main sur le cœur, par deux anciens « ennemis du régime » marocain.
Le soir du 20 juin, plusieurs membres du comité exécutif de l’Istiqlal s’étaient donné rendez-vous chez Hamdi Ould Rachid. Nizar Baraka, candidat au poste de secrétaire général, était présent.
Parmi les 26 nouveaux walis et gouverneurs, nommés par Mohammed VI en Conseil des ministres le 25 juin, quatre cadres héritent de directions stratégiques au sein de l’administration centrale. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs missions ?
Des heurts ont à nouveau opposé lundi les forces de l’ordre aux manifestants du Hirak dans la province d’Al Hoceïma. Le mouvement de contestation rifain avait appelé à un grand rassemblement pour marquer l’Aïd el-Fitr, au lendemain des déclarations du roi Mohammed VI qui a critiqué son gouvernement pour les lenteurs de la mise en œuvre des chantiers de développement dans cette région.
Le roi du Maroc a fait part dimanche de sa « déception » à ses ministres pour le retard pris dans la mise en place du programme de développement lancé en 2015 dans la région du Rif. Huit mois après le début de la contestation dans cette région marginalisée, Mohammed VI a exigé d’accélérer les investissements prévus par le programme « Manarat Al Moutawassit ».
Son père est mort alors qu’il était en prison pour apologie du terrorisme. Il a été mis en liberté provisoire par la justice marocaine, dans l’attente de sa comparution devant le juge d’instruction le 10 juillet. Un signe encourageant, selon son avocat.