PDG, hommes d’affaires, Marc Nassif, Tajeddine Bennis et Moulay Hafid Elalamy sont des protagonistes incontournables du secteur automobile marocain. Jeune Afrique a dépeint leur portrait.
En Algérie, une des priorités des autorités reste de favoriser la production locale en ce qui concerne le secteur automobile. Bilan sur les avancées du pays en la matière.
Pour renforcer son rang, le royaume, deuxième exportateur de voitures derrière l’Afrique du Sud, met le turbo afin d’élargir son écosystème de sous-traitants.
Quelques centaines de personnes ont de nouveau manifesté dans la nuit de lundi à mardi, sans incident, dans la ville d’El Hoceima, au nord du Maroc et épicentre depuis sept mois d’un mouvement de contestation.
Deux nouveaux meneurs de la contestation populaire qui agite depuis sept mois la région d’Al-Hoceïma dans le nord du Maroc ont été arrêtés lundi, ont indiqué un avocat et un militant.
La Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao, 15 pays) a donné son accord de principe à la demande d’adhésion du Maroc, lors d’un sommet dimanche à Monrovia, selon le communiqué final.
Soufiane Ababri est un jeune artiste marocain basé en France, qui analyse avec réalisme et créativité des questions hautement politiques. La question de l’homosexualité au Maghreb, ou le racisme à la française, par exemple.
Le militant amazigh prévient que la situation est appelée à se détériorer si aucune médiation n’est mise en place. Pour lui, à la fois l’État et les jeunes du Hirak ont fait des erreurs.
L’organisation devait se prononcer sur la demande d’adhésion du Maroc à l’occasion de son 51e sommet, qui a lieu à Monrovia. Mais plusieurs pays participants ont été étonnés de l’invitation adressée à Benyamin Netanyahou. Jeudi, le roi du Maroc a annulé sa participation, ne souhaitant pas que sa première présence à ce sommet intervienne dans « un contexte de tension ».
Près de 2 000 personnes ont de nouveau manifesté mercredi soir à El Hoceima, ville du nord du Maroc, pour exiger la libération de Nasser Zefzafi, leader de la contestation populaire qui secoue la région depuis sept mois.
Les événements qui secouent actuellement la province d’El Hoceima sont le résultat d’un malaise social qui n’a cessé de s’amplifier en raison de la mauvaise approche des autorités dans la gestion de cette région.
Transféré à Casablanca avec d’autres têtes dures du Hirak, le leader de la fronde qui secoue El Hoceima depuis près d’une semaine est actuellement en garde à vue. Il risque plusieurs années de prison ferme. Et les autres ?
Plusieurs milliers de personnes sont à nouveau descendues dans les rues d’El Hoceima mardi soir, dans la foulée de la rupture du jeûne du ramadan, pour demander la libération de Nasser Zefzafi. L’homme, présenté comme le leader de la contestation populaire dans la région du Rif, a été arrêté lundi par la police.
Après un long silence, le président de la région la plus agitée du Maroc a répondu aux questions de Jeune Afrique au sujet des protestations qui secouent sa ville.
Fraîchement élu au comité exécutif de la CAF, le très dynamique président de la fédération marocaine œuvre activement à la candidature de son pays à l’organisation du Mondial 2026.
Promesse de longue date, la suppression des subventions à la farine, qui bénéficient surtout aux petits acteurs, tarde à se concrétiser. Les industriels s’inquiètent pour la rentabilité de leurs investissements.
Trois jours après avoir échappé à une arrestation, celui qu’on présente comme le chef de la fronde dans le Rif a finalement été interpellé ce lundi, indique l’AFP.
La colère ne s’apaise pas dans cette ville du Nord du Maroc, qui proteste depuis vendredi. Vingt deux personnes ont été arrêtées ce week-end alors que l’homme présenté comme le chef de la fronde, Nasser Zefzafi, est toujours recherché.
Le leader de la contestation populaire qui secoue depuis six mois le nord du Maroc était officiellement recherché samedi, après avoir interrompu le prêche d’un imam dans une mosquée.
Le mouvement sahraoui tente de sauver ses alliances historiques, visées par une vaste offensive chérifienne qui cherche à multiplier les ralliements. Dernière en date : Cuba, allié de longue date du Polisario.
Un navire transportant des ressources provenant du Sahara Occidental, qui avait dû jeter l’ancre au large des Baléares après que le gouvernement de l’île avait demandé aux autorités espagnoles d’interdire le déchargement de la marchandise, a finalement été autorisé à accoster.
Installé à Kénitra, au Maroc, Brahim Belghiti veut partir à la conquête des routes africaines avec son triporteur robuste, capable de porter de lourdes charges.
Porté par ses bons résultats financiers et par son expertise sur la centrale à charbon de Jorf Lasfar au Maroc, l’émirati Taqa veut diversifier sa production. Et regarde vers le sud du Sahara.
Depuis 1999, Mohammed VI a initié un vaste programme de développement à El Hoceima, réputée ville « rebelle ». Mais cet effort de rattrapage n’a pas encore effacé les blessures du passé. Jeune Afrique dresse le tableau des principaux maux de cette région.
Pour sa première session du baccalauréat en tant que ministre de l’Éducation nationale, Mohamed Hassad redoute plus que tout une nouvelle fuite des épreuves.
Des dirigeants qui lavent leur linge sale sur les réseaux sociaux, des manœuvres pour préparer le prochain congrès, des instances qui tournent au ralenti… Le Parti de la justice et du développement semble plus divisé que jamais. Risque-t-il pour autant d’imploser ?