De fil en aiguille, les scandales entourant le « Malien » et ses complices ont mis au jour de nombreux cas de corruption au sein de la classe politique marocaine, avec des conséquences probablement très lourdes, notamment pour le Parti Authenticité et Modernité.
L’anthropologue et historien était présent à la Semaine de la science, qu’organisait l’UM6P de Benguérir (Maroc). Depuis des années, il travaille sur les jeux vidéo, sur le phénomène d’addiction qu’ils provoquent, ainsi que sur les nouvelles formes de sociabilité dans les mondes virtuels.
Élue en 2021, l’ancienne journaliste était critiquée pour sa gestion par des élus et des conseillers municipaux, y compris de son propre parti, le Rassemblement national des indépendants.
Après une baisse de régime en 2023, le groupe minier poursuit ses projets d’envergure au Maroc et au Sud du Sahara pour concrétiser son ambition : devenir un champion régional diversifié.
Dans un film intime et inclassable, « La Mère de tous les mensonges », la réalisatrice évoque les « émeutes du pain » de Casablanca, en 1981. Rencontre.
Invité pour parler de ses travaux à l’Université Mohammed-VI-Polytechnique de Benguerir, le scientifique français Luc Hardy y a fait le point sur l’évolution mondiale du clonage, qui touche un nombre croissant d’espèces animales, y compris dans certains pays du Moyen-Orient.
Alors qu’il pâtit déjà d’un contexte difficile, le leader marocain du couscous et de la pâte alimentaire risque de faire les frais d’une nouvelle polémique.
Très attendu sur la question du Sahara, le ministre français des Affaires étrangères s’est contenté, lors de sa venue à Rabat, de réitérer la position traditionnelle de Paris. En attendant – enfin ! – une visite du président Macron dans le royaume ?
Sècheresse, pollution… Chimiste de l’atmosphère, climatologue, météorologue, Guy Brasseur était invité à l’UM6P de Benguerir pour évoquer la phase climatique que nous vivons et les risques de pollution atmosphérique au Maroc et sur le continent. Il répond aux questions de Jeune Afrique.
En visite à Rabat, le ministre français des Affaires étrangères est chargé d’ouvrir un nouveau partenariat entre la France et le Maroc. Et de préparer une future visite officielle du président Macron, au cours de laquelle la question du Sahara pourrait à nouveau être abordée.
Mi-février, le campus universitaire de l’Université Mohammed-VI-Polytechnique (UM6P) Benguerir accueillait la 4e édition de la Semaine de la science. Pour Jeune Afrique, son président Hicham El Habti fait le bilan de cette manifestation qui réunit, au Maroc, des chercheurs du monde entier.
Publié le 6 février dernier par l’organisation islamiste, « Le Document politique » semble être l’ébauche d’un programme électoral. Est-ce le signe d’une rupture avec la position classique de ce puissant acteur de la société marocaine ? Réponse d’Omar Iharchane, membre du Cercle politique de la Jamaâ.
Fondée par cheikh Abdessalam Yassine, la très populaire association islamiste est à la croisée des chemins. Son nouveau « Document politique », présenté le 6 février dernier, va dans le sens d’une prochaine institutionnalisation, voire d’une participation au jeu électoral.
Le youtubeur Mohamed Reda Taoujni a été reconnu coupable d’« outrage à un fonctionnaire public » et de « diffamation ». On lui reprochait de s’être interrogé, dans ses vidéos, sur les éventuels liens entre un ministre et le scandale du « Pablo Escobar du Sahara ».
Au lendemain du voyage du chef du gouvernement espagnol à Rabat, les réactions parfois agacées se multiplient. Alors qu’en Espagne, les députés du Parti populaire espagnol demandent des comptes, la réaffirmation du soutien au plan d’autonomie marocain sur le Sahara a rallumé les tensions avec Alger.
Propriété du magnat et chef du gouvernement marocain, le magazine français a connu de fortes pertes. Et l’arrivée de Mohamed Lioeddine à la direction ne semble pas avoir permis de redresser la barre.
Entre Rabat et Alger, les tensions persistent. Pour créer un climat de confiance et poser les bases d’une entente durable, historiens, chercheurs et intellectuels des deux pays doivent s’impliquer.
Rien ne va plus entre la maire de Rabat et les conseillers communaux – y compris ceux de son propre parti, le RNI –, qui appellent désormais à sa démission. Le 20 février, le dépôt d’une demande de convocation d’une session extraordinaire du Conseil de la ville a donné lieu à une nouvelle échauffourée devant le bureau de la première édile.
Issu d’un quartier populaire de la région de Bruxelles, un temps SDF dans les rues de Pattaya, celui qui a battu tous les records de boxe thaï s’est fait tout seul. Il entame aujourd’hui une carrière en MMA et est courtisé par les plus grandes organisations.
De l’entretien avec son homologue, Aziz Akhannouch, à l’audience royale accordée par Mohammed VI, les détails de la visite officielle du président du gouvernement espagnol à Rabat en compagnie de son ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares.
Le géant marocain des télécommunications renoue avec la croissance, aussi bien au Maroc qu’en Afrique subsaharienne. 2024 prend le même chemin en dépit de l’affaire qui l’oppose à l’opérateur royal Wana.
Le bureau politique du parti vient d’annoncer la création d’une commission pour l’instauration d’un code déontologique. Une initiative qui va dans le sens du message royal du 17 janvier appelant à « moraliser la vie parlementaire », et qui intervient alors que plusieurs anciens membres du parti sont accusés de corruption à grande échelle.
En recevant les sœurs du roi Mohammed VI à l’Élysée, Brigitte Macron a symboliquement marqué la fin de la brouille entre les deux pays. Rabat attend maintenant une évolution de la position française sur la question du Sahara, qui pourrait venir rapidement.
Situation des PME, représentativité de la CGEM, nouveau modèle de développement, politique des grands chantiers… L’économiste et homme d’affaires marocain répond sans langue de bois aux questions de Jeune Afrique.
En embuscade alors que les relations entre les juntes militaires et Paris, mais aussi Alger, ne cessent de se détériorer, Rabat multiplie les initiatives afin de rafler la mise.
Après le chef du gouvernement marocain Aziz Akhannouch, certaines sources indiquent que le Nigérien pourrait être reçu par le roi. Un signe clair du désir de dialogue entre Rabat et Niamey, et plus largement avec les juntes au pouvoir Sahel.
Au Maroc, le parti d’Abdelilah Benkirane profite du scandale pour régler de vieux comptes avec son rival centriste et se poser en grand défenseur de la lutte contre la corruption. Le groupe parlementaire islamiste vient de déposer une proposition de loi plus sévère sur le sujet.
Le groupe, concurrent de Veolia et de Suez, pourrait traverser une période difficile. Son fondateur, Aziz El Badraoui, est en effet emprisonné dans le cadre d’une affaire de détournement de fonds.
Selon la presse israélienne, certains dealers marocains de résine de cannabis seraient décidés à boycotter le marché de l’État hébreu, en solidarité avec la population de Gaza.
Le président français a confié à son ministre des Affaires étrangères la délicate mission d’améliorer les relations diplomatiques entre Paris et Rabat. La suite d’une série d’initiatives semblant témoigner d’une volonté de rapprochement.