Le royaume enregistre depuis début janvier une pluviométrie en baisse de 44% par rapport à début 2023, avec en parallèle une hausse moyenne des températures.
Le 1er février 2024, le Maroc a pris la présidence du Conseil de paix et de sécurité de l’UA. L’occasion de revenir sur l’histoire, parfois tumultueuse, des relations entre le royaume et l’organisation panafricaine.
Au Maroc, ce baron du trafic de drogue en Afrique, qui a décidé de dénoncer ses complices d’hier pour leur faire payer leur trahison, a déjà entraîné dans sa chute Saïd Naciri, patron du Wydad, et Abdenbi Bioui, président de l’Oriental. Qui seront les suivants ?
Amine Raghib, le spécialiste en informatique qui a dévoilé l’affaire de « revenge porn », a répondu aux questions de Jeune Afrique. Il révèle l’ouverture d’une enquête judiciaire et répond à ses détracteurs.
Affaire du « Pablo Escobar du Sahara », succession ou maintien d’Abdellatif Ouahbi à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM), représentativité régionale au sein de la formation… Le membre du conseil national du PAM et proche de Fatima-Zahra Mansouri répond aux questions de « Jeune Afrique » à la veille du 5e congrès du Tracteur.
Depuis quelques jours, des centaines de gigaoctets d’images intimes circulent parmi les internautes. Dans le lot, des « nudes » fuités, mais aussi des images qui seraient issues de comptes, voire de caméras de surveillance, piratés. Sauf que la crédibilité de l’influenceur qui a rendu l’affaire publique est sujette à caution.
Écroué en décembre pour trafic de drogue, le député PAM Abdenbi Bioui est aussi un homme d’affaires prospère qui brasse des centaines de millions de dirhams grâce à des marchés publics.
Trente sept ans après sa parution controversée, cet essai majeur ayant inspiré le courant féministe islamique se voit à nouveau censuré dans le monde arabe. L’éditeur marocain de la seule traduction arabophone autorisée pointe un recul de la liberté d’expression dans la région.
Le Maroc perd l’une de ses dernières grandes figures de la résistance au colonialisme et de l’opposition au règne de Hassan II. Député jusqu’en 2007, Mohamed Bensaïd Aït Idder est resté un homme engagé jusqu’à son dernier souffle.
L’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara a-t-il bien fait d’aller s’entretenir avec les responsables sud-africains, dont la proximité avec Alger n’est pas un mystère ? L’épisode ne semble en tout cas pas fait pour apaiser les débats.
Du 29 janvier au 2 février, les états-majors marocain et américain se sont réunis pour organiser la 20e édition de l’exercice African Lion, qui se déroulera au mois de mai dans le royaume et regroupera des troupes de dix pays. L’occasion de rappeler que pour Rabat et Washington, la coopération militaire est loin d’être récente.
À la veille de la reprise du Championnat du Maroc de football, les autorités ont annoncé un nouveau décret contre la violence des groupes d’ultras. Pour Abderrahim Bourkia, sociologue spécialiste du hooliganisme, la priorité serait surtout de combiner arsenal sécuritaire et mesures sociales.
Succès de l’IPO à la Bourse de Casablanca, objectifs de croissance à moyen terme… La directrice générale de la première banque d’affaires au Maroc revient pour Jeune Afrique sur la stratégie de CFG.
Journalistes, attachés de presse, professionnels des cosmétiques ou chercheurs… Eux aussi ont su trouver leur voie et s’épanouir à Dubaï ou à Abou Dhabi.
Si les Émirats attirent tant de talents venus du monde entier – et souvent de pays arabes –, c’est pour partie parce qu’ils offrent de sérieuses opportunités aux entrepreneurs habités par un projet professionnel. Et ce dans de nombreux secteurs.
Place financière de premier plan, les Émirats attirent banquiers, consultants et autres spécialistes des grosses opérations capitalistiques. Des domaines dans lesquels beaucoup de Marocains occupent des postes importants.
Banquiers, stars de la finance, avocats d’affaires, chercheurs, startupeurs, PDG d’entreprises cotées en Bourse, journalistes… Les Marocains installés aux Émirats arabes unis se distinguent par la qualité et la diversité de leur profil. Et s’y sentent comme chez eux. JA est allé à leur rencontre à Dubaï et à Abou Dhabi.
Après des périodes de froid, la coopération entre Rabat et La Haye bat de nouveau son plein sur fond de gestion commune des questions migratoires. Une éclaircie entre les deux pays qui repose sur des questions de politique intérieure néerlandaise, mais également de géopolitique.
Désireuse de renforcer la coopération entre le Maroc et l’Hexagone en matière de recherche et d’entrepreneuriat, l’UM6P vient d’inaugurer une antenne française à Paris.
Avec la reconnaissance par le Panama de la souveraineté marocaine sur le Sahara, le Polisario et son parrain algérien perdent un de leurs soutiens traditionnels en Amérique latine.
Premier parti d’opposition – avec seulement 34 sièges sur 395 –, l’Union socialiste des forces populaires table sur une improbable démission forcée du gouvernement. Mais de quels leviers disposent les socialistes face à l’écrasante majorité d’Aziz Akhannouch ?
Depuis le 13 janvier 2024, nombreux sont les membres de la diaspora marocaine en France qui suivent passionnément le parcours des Lions de l’Atlas dans la CAN qui se joue en Côte d’Ivoire. Et souvent, l’événement va pour eux bien au-delà du football.
Depuis plus de quinze ans, le clan Bouyakhrichan, originaire de Nador, dirige l’une des branches les plus prospères de la Mocro Maffia. Son leader actuel, Karim, vient de tomber en Espagne pour blanchiment d’argent, entre autres.
L’Algérie et la Tunisie éliminées au premier tour, l’Égypte sortie en 8e de finale… Le Maroc, qui affronte l’Afrique du Sud ce 30 janvier à San Pedro, reste la seule sélection nord-africaine toujours en lice à la CAN.
Quelques mois après avoir payé une astreinte de 230 millions d’euros, l’opérateur historique marocain a été condamné à payer près de 600 millions d’euros à son concurrent.
Garants du maintien de l’ordre et maillon central du système de renseignement, les représentants régionaux du roi sont incontournables. Voici les hommes de confiance du Palais sans qui rien ne se fait localement.
À Casablanca, des victimes d’expropriation font des connexions entre leur histoire et l’affaire du « Malien ». Beaucoup estiment que toutes ses ramifications n’ont pas encore été révélées.
Après le rappel à l’ordre lancé par Mohammed VI face à la multiplication des affaires de corruption impliquant des parlementaires, la Chambre des représentants planche sur l’élaboration d’un code de déontologie qui devrait être rapidement adopté.