Créée en 2017, cette université adossée au groupe OCP s’est rapidement distinguée par l’excellence de son corpus académique ainsi que par une recherche en lien avec les grandes problématiques du continent. Immersion dans le quotidien des étudiants de cette institution au modèle novateur.
Depuis le 5 octobre, l’enseignement public marocain est en crise et les jours de grève se succèdent sur fond de désaccord, en cause : le statut des enseignants. Face à l’intransigeance du gouvernement, les syndicats font preuve de jusqu’au-boutisme.
La reconstruction des lieux frappés par le séisme de septembre place les autorités face à un dilemme. Faut-il rebâtir au plus vite au risque de bétonner, ou bien prendre le temps de la réflexion et respecter le patrimoine ?
Gérant un portefeuille de 22 hôtels, la nouvelle start-up royale ambitionne de s’étendre au Maroc et en Afrique subsaharienne, où elle entend concurrencer des géants comme Accor.
La venue du roi du Maroc dans le Golfe interroge, au moment où un accord vient d’être trouvé entre Israël et le Hamas pour arrêter les combats pendant quatre jours et libérer des otages.
Deux ans et demi après sa nomination à la tête du Conseil de la concurrence, Ahmed Rahhou est parvenu au règlement du dossier très sensible de l’entente sur les prix des carburants. Une transaction assortie de plusieurs garde-fous, destinés à contrôler le comportement des entreprises du secteur.
Moins de dix ans après sa descente aux enfers, le groupe d’Alami Lazraq retrouve la croissance et l’appétit pour de nouveaux marchés, au Maroc comme au sud du Sahara. Retour sur une opération de sauvetage emblématique.
Au Maroc, le tourisme est l’un des principaux secteurs d’activité et emploie 15% de la population active. Alors que les autorités s’affairent pour attirer les visiteurs malgré les dégâts causés par le séisme du 8 septembre, retour sur la façon dont le royaume s’est mué en destination de vacances, à partir du XIXe siècle.
Visiblement désireux de se faire pardonner par sa base électorale sa participation au processus de normalisation avec Israël, le parti islamiste multiplie les polémiques. Dernières en date : les propos ouvertement antisémites de son secrétaire général et la tribune offerte à l’ex-leader du Hamas, Khaled Mechaal.
Depuis quelques semaines, de grands groupes occidentaux soupçonnés de soutenir, directement ou indirectement, l’effort de guerre israélien font l’objet de critiques et d’appels au boycott, notamment dans le royaume chérifien.
Le développement économique du continent passera-t-il par ses revenus pétro-gaziers ou par ses énergies renouvelables ? JA croise les points de vue contraires du conseiller énergie de Macky Sall avec celui du président de la commission transition énergétique du patronat marocain.
Le Maroc, demi-finaliste de la Coupe du monde fin 2022, compte quatre joueurs dans la liste annoncée vendredi par la Confédération africaine de football (CAF) pour le titre de « joueur africain de l’année », qui sera décerné le 11 décembre.
Englué dans l’affaire Lydec, le groupe français dispose d’un délai de deux mois pour céder l’ancienne filiale de Suez. Le régulateur va également lui infliger une amende.
Quand certains établissements et entreprises publics marocains enchaînent les années bénéficiaires, d’autres font grise mine, voire traînent l’image de « canards boiteux ».
La clémence des peines infligées en première instance, intervenant dans le contexte du procès des violeurs de la petite Sanaa, avait scandalisé l’opinion publique.
Bien décidé à tourner la page du séisme, dont il ne reste quasiment plus de trace dans l’hypercentre de Marrakech, l’ONMT met les petits plats dans les grands pour faire redécouvrir le potentiel touristique de la ville et de ses environs.
Invité de la radio 2M, Christophe Lecourtier a livré une interview vérité. Il a définitivement tiré un trait sur la politique de restriction des visas et réaffirmé le soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara.
Les véhicules tractés par des animaux en zone urbaine sont dans le viseur des autorités municipales de plusieurs villes depuis de longues années. Mais la mise en application des arrêtés règlementaires se heurte souvent à des difficultés très concrètes.
Au Maroc, deux mois après le tremblement de terre, une grande partie des habitants des 60 000 bâtiments endommagés ou détruits vivent encore sous des tentes. Et redoutent les températures hivernales.
Avec « Better », le jeune réalisateur documente à ras de bitume la trajectoire du premier skateur pro africain et peint le portrait d’une communauté soudée, de Rabat à Barcelone en passant par Perpignan. Tout en heelflips, half-cabs, kickflips et nollie backsides.
Dans la nuit du 8 au 9 septembre, le Maroc était secoué par le séisme le plus puissant de son histoire récente. Bilan : près de 3 000 morts et plus de 5 000 blessés. Deux mois plus tard, dans la région d’Al Haouz, l’heure est à la reconstruction. Et à une certaine frustration.
Après des résultats en forte hausse à la fin du mois de septembre, le leader marocain de la santé privée prévoit de doubler son chiffre d’affaires en 2023. Avec en ligne de mire la couverture de vingt villes en 2025.
Après un premier ultimatum, le régulateur marocain accorde un nouveau délai de « deux à trois mois » pour céder l’ancienne filiale de Suez, Lydec. Une affaire très délicate qui s’annonce « coûteuse et douloureuse » pour le géant français de l’eau.
Le gazoduc Nigeria-Maroc va-t-il, enfin, connaître un coup d’accélérateur ? C’est en tout cas l’objectif affiché par le souverain marocain, qui a assuré faire de ce projet une priorité, réponse de Rabat au projet porté par Alger.
À l’occasion du 48e anniversaire de la Marche verte, le souverain marocain a réaffirmé sa volonté de faire du sud du royaume un hub économique consacré à l’Afrique.
Thème phare du discours prononcé par le roi à l’occasion de l’anniversaire de la Marche verte de 1975, le développement du « versant atlantique » marocain est plus que jamais une priorité à la fois économique et géopolitique. Retour sur les principaux projets en cours à Dakhla et dans les provinces du Sud.
Pendant que le général Franco agonise à Madrid, le roi du Maroc incite son peuple à occuper le Sahara occidental. Objectif : contraindre l’Espagne à négocier la cession de ce territoire, et contrer le Polisario et l’Algérie. Voici le récit qu’en faisait à l’époque Mireille Duteil, dans JA.
Si le français fait toujours partie de l’ADN du royaume, l’anglais s’impose de plus en plus, et avec lui un éloignement progressif du modèle français. Quand la langue se mêle à la politique, les basculements semblent inévitables.
De multiples démarches auprès de l’ambassadeur algérien à Paris, du ministère de l’Intérieur et du président Abdelmadjid Tebboune lui-même sont demeurées sans effet. Et si le dossier, placé sous tutelle militaire, pâtissait de l’omerta imposée par l’armée algérienne ?