Le groupe Binladin s’apprête à annoncer le lancement d’un mégachantier immobilier de 250 hectares, dans la zone de Bouskoura, à Casablanca. C’est le premier projet du conglomérat saoudien au Maroc.
Le coup de fil de François Hollande à Mohammed VI et la mise au point de Laurent Fabius n’ont pas réussi à calmer le Maroc. Rabat a décidé mercredi de suspendre tous les accords de coopération judiciaire avec Paris.
Le torchon continue de brûler entre Paris et Rabat. Mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a regretté la querelle diplomatique franco-marocaine, tandis que son ministère démentait les propos prêtés à son ambassadeur à l’ONU.
Les sociétés Thales et Airbus ont fourni en 2013 deux satellites espions. De quoi surveiller les mouvements des jihadistes ou des trafiquants dans le grand Sud…
Le marocain Banque centrale populaire (BCP) va injecter 145 milliards de F CFA (218 millions d’euros) dans l’économie ouest-africaine. Cette annonce a été faite pendant le premier forum économique franco-ivoirien tenu les 25 et 26 février à Abidjan. Au total, 26 conventions de coopération et de partenariat ont été signées entre le Maroc et la Côte d’Ivoire au cours de ces rencontres.
L’actuelle brouille entre la France et le Maroc dépasse désormais les canaux diplomatiques. Des milliers de personnes ont manifesté mardi devant l’ambassade française à Rabat.
Des enquêtes visant exclusivement des ressortissants du continent, une politique du deux poids deux mesures : les accusations fusent contre la CPI, qui voit sa légitimité mise en doute. Remplit-elle correctement sa mission ? Deux juristes répondent.
Arrivés en masse à Casablanca dans les années 2000, les cabinets juridiques internationaux doivent se rendre à l’évidence : le marché marocain n’est pas assez étendu pour satisfaire tout le monde.
Rien ne va plus entre le Maroc et la France depuis le dépôt de plaintes à Paris contre un haut responsable marocain, en fin de semaine dernière. À tel point que le président Hollande a contacté Mohammed VI lundi soir pour tenter d’apaiser les choses…
Le Maroc a fermement condamné dimanche des propos prêtés à un ambassadeur de France, qualifiés de « scandaleux et inadmissibles ». La crise diplomatique entre Paris et Rabat, allumée par des plaintes déposées en France contre un haut responsable marocain, s’envenime.
Parallèlement à la visite d’État de Mohammed VI au Mali, en Côte d’Ivoire et en Guinée (puis au Gabon), la diplomatie marocaine s’active pour placer le royaume au centre de l’échiquier sahélien. Par souci de prestige, mais aussi au nom d’impératifs sécuritaires.
Descente de police chez l’ambassadeur marocain à Paris, convocation de son homologue français à Rabat… Les relations franco-marocaines, d’ordinaire bien cadrées, ont subi cette semaine un sérieux coup de froid.
Cimaf va construire une cimenterie au Mali. Le projet, d’un montant de 30 millions d’euros, a fait l’objet d’un accord entre l’entreprise marocaine marocain et l’État malien le 20 février.
A l’occasion d’une visite au Mali, Mohammed VI a annoncé la création d’une usine de production d’engrais entièrement dédiée à l’Afrique. Elle sera développée pour 600 millions de dollars par l’OCP, le géant marocain des phosphates.
Grands bénéficiaires du Printemps arabe, les islamistes ont cru aux lendemains qui chantent. Las, partout où ils ont conquis le pouvoir, l’expérience a tourné au fiasco. Incapable de convaincre de sa capacité à gouverner, la confrérie rejoint donc son élément naturel : l’opposition. Quitte à entrer, comme en Égypte, dans la clandestinité.
Au départ, seul le Burkina devait superviser les négociations avec les groupes armés du Nord. Puis Bamako a appelé Alger à la rescousse. Et voilà que Mohammed VI s’en mêle aussi ! Bref, on ne s’entend plus palabrer.
Le Maroc, qui organisera la CAN 2015 et attend l’élection du président de la fédération pour qu’un sélectionneur soit (enfin) nommé, s’est beaucoup agité la semaine dernière autour de la rumeur de la signature imminente d’Hervé Renard. Les choses sont pourtant loin d’être aussi simples.
Sami Chabenne, polytechnicien de formation, vient d’être nommé directeur général délégué chargé de la stratégie du holding marocain groupe Saham. Il était jusque là associé-gérant au sein de Boston Consulting Group, dont il codirigeait le bureau de Casablanca.
Le vent des années 60 a transporté un nuage radioactif, après un essai nucléaire français en Algérie. Mais qui sème le vent ne récolte pas toujours la tempête. Après de récentes révélations, la prévisible tornade médiatique semble bénigne.
À 40 ans, le Marocain Imad Benmoussa vient d’être nommé président de Coca-Cola France. Diplômé en management de l’École supérieure de gestion de Casablanca, il a passé la plus grande partie de sa carrière au sein du groupe agroalimentaire américain.
Le roi du Maroc a entamé mardi une visite officielle de cinq jours au Mali. Comme son grand rival algérien, le royaume chérifien entend lui aussi peser sur le processus malien de réconciliation nationale.
KfW, la première banque allemande de développement, a octroyé le 17 février 2014 une ligne de refinancement de 200 millions d’euros à Finéa, filiale de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) marocaine. Ces fonds sont destinés au soutien des PME locales.
Menés par Wilmar, des actionnaires récemment entrés au capital de Cosumar lancent une offre publique d’achat. Mais pas de quoi perturber la stratégie du sucrier.
Malgré un rendement élevé et des fondamentaux solides, Maroc Télécom reste peu attractif pour les investisseurs boursiers, mais la situation devrait certainement changer avec l’entrée d’Etisalat dans son capital. Décryptage avec Taha Jaidi, responsable desk actions chez Attijari Intermédiation.