Le savoir-faire reconnu des groupes marocains dans la construction de logements sociaux crée de nouvelles opportunités pour les deux leaders chérifiens en Afrique subsaharienne où les besoins sont énormes.
De la sculpture d’Ali Bongo Ondimba à 52 695 dollars au tapis traditionnel à 900 dollars de Béji Caïd Essebsi, retour sur les cadeaux qu’a reçus le président Obama en 2011 de la part de ses homologues africains.
Acwa Power Ouarzazate, la filiale marocaine du saoudien Acwa, a adjugé la construction de la plus grande centrale solaire CSP au monde à un consortium espagnol composé d’Acciona, de Sener et de TSK.
L’Afrique a beau regrouper plus de millionnaires que la Russie, les marques de luxe hésitent encore à s’aventurer sur le continent. Le potentiel est pourtant gigantesque.
Le pèlerinage de la Ghriba vient de s’achever à Djerba, dimanche 28 avril. Un rare moment de rassemblement pour les Juifs maghrébins, dont le nombre n’a cessé de décroître au cours de la seconde moitié du XXe siècle.
De plus en plus de pays veulent se doter d’une institution qui mobilise l’épargne nationale et voit à long terme. Mais pour être efficace, son indépendance doit être réelle.
Adil Zanfari a su s’imposer sur le marché des génériques de pointe. Depuis 2001, le chiffre d’affaires de Genpharma, son laboratoire marocain, progresse en moyenne de 15 % par an.
Le ministère de l’Agriculture et la Fédération interprofessionnelle des oléagineux ont signé un programme de développement de la filière locale qui prévoit de porter les surfaces de tournesol et de colza au Maroc de 44 000 à 127 000 hectares d’ici à 2020.
La Société financière internationale (SFI/IFC) vient d’annoncer un investissement de 7 millions de dollars dans la grande école marocaine HEM (Hautes études de management), afin de l’accompagner dans son développement à travers le royaume chérifien.
Dans un bref communiqué de presse publié le 24 avril, Vivendi a annoncé avoir reçu « deux offres de reprise engageantes » pour racheter les 53 % qu’il détient dans l’opérateur Maroc Télécom.
Plus de 150 personnes sont poursuivies par la justice marocaine à la suite de violences urbaines en marge du match de football Raja-FAR, le 11 avril à Casablanca. Elles ont pris place mardi 23 avril sur le banc des accusés pour un procès hors norme très suivi au Maroc.
L’ambassadrice américaine Susan Rice avait demandé que le mandat de la force onusienne (Minurso) soit étendu à la surveillance des droits de l’homme. Pris de court, le royaume a réagi vertement. Et a finalement obtenu un compromis dans le nouveau texte qui devrait être voté jeudi 25 avril.
Déçu par les performances de sa filiale, le français Orange veut reprendre la main sur l’opérateur. Premier signal de cette nouvelle stratégie, le limogeage du directeur général Mohamed Elmandjra.
Alors que la date limite de soumission des candidatures approche, un site spécialisé affirme que trois sources distinctes font état d’une candidature de dernière minute de la part de MTN, le géant des télécoms sud-africain.
Sanofi, premier partenaire pharmaceutique du continent, vient d’inaugurer une nouvelle plateforme logistique à Casablanca, la capitale économique du royaume.
La crise internationale et le manque de réformes structurelles ont affaibli les fondamentaux macroéconomiques du royaume chérifien. Le 17 avril, Le Haut commissaire au plan, Ahmed Lahlimi Alami a livré sa contribution au débat qui agite actuellement le pays. Morceaux choisis.
Le volontarisme des autorités pour faire du royaume un acteur d’envergure régionale et une destination privilégiée pour les investisseurs est manifeste. Pourtant, des déséquilibres demeurent.
Plusieurs policiers, accusés d’avoir perçu des sommes d’argent d’un trafiquant de drogue en échange de leur protection, ont été condamnés dans la nuit du lundi 15 au mardi 16 avril à des peines de prison ferme par un tribunal de Rabat.
SNI va céder 27,5% du producteur de sucre marocain Cosumar au géant asiatique Wilmar. Le géant agro-industriel asiatique cherche à se développer dans le sucre et entend utiliser Cosumar comme plateforme pour son développement africain.
Après avoir annoncé son intérêt pour l’acquisition de Maroc télécom, le groupe coréen se retire finalement de l’appel d’offre, laissant Etisalat et Ooredoo face à face.
Un an après l’implantation industrielle du constructeur français à Tanger, c’est au tour du groupe indien de faire part de son intérêt pour le royaume.
Le gouvernement marocain, dominé par le parti islamiste PJD, traverse actuellement une passe difficile. En cause ? Sa gestion des comptes publics, vilipendée par l’opposition et critiquée au sein même de sa coalition.