Dans une interview à LCI vendredi dernier, Catherine Colonna a assuré qu’une visite d’Emmanuel Macron au Maroc était toujours d’actualité, sans en préciser l’échéance. Des déclarations auxquelles Rabat a aussitôt opposé un démenti catégorique.
Une semaine après le terrible tremblement de terre d’Al-Haouz, les Marocains se perdent en conjectures sur les raisons de cette catastrophe. Fouad Laroui, lui, privilégie les causes purement scientifiques.
Pour venir en aide aux victimes du tremblement de terre au Maroc, les artistes se mobilisent. La foire 1-54 et l’initiative Artists for Morocco récoltent des fonds pour les associations qui œuvrent sur le terrain.
Banques, administrations et spécialistes du transfert d’argent rivalisent d’annonces destinées à booster la solidarité à travers le Royaume et les envois de fonds de la diaspora.
Si les médias internationaux ont pointé les dommages causés à la médina de Marrakech et à la mosquée de Tinmel, les dégâts subis par le patrimoine du pays concernent en réalité de très nombreux sites, en cours de recensement.
Le constructeur de datacenters, fondé par Amine Kandil, vient d’annoncer la création d’une coentreprise avec Africa Infrastructure Investment Managers (AIIM) afin d’accélérer son développement, principalement au sud du Sahara.
En première ligne sur le terrain dès les premières heures qui ont suivi la catastrophe, l’armée marocaine assure toutes les missions de sauvetage, de distribution des aides et de prise en charge des blessés. Reportage à l’hôpital de campagne d’Asni.
Quelles sont les causes du tremblement de terre qui a frappé Al-Haouz ? Comment se préparer au mieux aux phénomènes sismiques qui touchent régulièrement la région ? Le point avec Nacer Jabour, directeur de l’Institut national de géophysique (ING) marocain.
Comme durant la pandémie, les entreprises sont déjà en ordre de bataille pour organiser l’après-séisme. Une mobilisation générale qui se matérialise d’abord par des dons au profit d’un fonds spécial créé à cet effet.
Arrivé le 12 septembre à Marrakech, Mohammed VI est allé à la rencontre des victimes du séisme. Sur le terrain, les équipes de secours s’organisent mais on craint un refroidissement des températures et l’arrivée de la pluie.
Analyse de la situation sismique du royaume, alors que les recherches se poursuivent pour tenter de sauver d’éventuels survivants ensevelis sous les décombres, en cartes et en infographies.
Tous les bonus reçus par les membres de l’équipe nationale de football jusqu’à la prochaine CAN iront aux sinistrés du tremblement de terre d’Al Haouz, apprend-on par un communiqué officiel.
Au menu de la visite tant attendue du souverain marocain : une visite du CHU de la ville. Mais aussi, vraisemblablement, une rencontre avec quelques-unes des victimes les plus touchées par la catastrophe.
Marrakech a été choisi pour accueillir les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI du 9 au 15 octobre. Un rendez-vous qui n’avait pas eu lieu sur le sol africain depuis 50 ans. Mais après le séisme qui a frappé la région le 8 septembre, des doutes naissent quant à la possibilité de maintenir l’événement.
Le gouvernement marocain a fait savoir qu’il rejetait la proposition d’aide de l’Algérie, qui s’apprêtait à envoyer trois avions, avec à leur bord des secouristes et du matériel destiné aux sinistrés.
Si le Maroc a accepté l’offre d’assistance de plusieurs pays après le séisme d’Al Haouz, la France n’a toujours pas reçu de feu vert pour intervenir. Certains s’en étonnent et font le lien avec les relations tendues entre Paris et Rabat. Qui disent regretter une polémique stérile.
Volontaires et secouristes restent mobilisés pour tenter de trouver d’éventuels survivants, même si 72 heures après le séisme qui a fait près de 2 900 morts, les chances sont de plus en plus minces.
Alors que le dernier bilan officiel fait état de 2 862 morts, une nouvelle équipe espagnole de 31 hommes et 15 chiens a été envoyée au Maroc. L’Espagne fait partie des quatre pays dont l’offre d’aide a été acceptée par Rabat.
Dominé par quelques grands acteurs mais fragilisé par une situation de surcapacité, le monde de la minoterie marocaine doit poursuivre sa modernisation, estime Moulay Abdelkader Alaoui, le président de la fédération des meuniers.
Très sensibles au sort de leurs compatriotes et de leurs proches vivant au pays, les Marocains résidant à l’étranger se mobilisent depuis samedi matin pour apporter toute l’aide possible.
Les autorités algériennes ont annoncé un plan d’aide d’urgence pour leur voisin marocain, proposant de dépêcher une équipe de 80 secouristes spécialisés, ainsi que des aides matérielles. Au Maroc, le bilan officiel approche désormais la barre des 2 500 morts.
Souvent mobilisées lors d’événements dépassant en apparence leurs prérogatives, les forces armées sont à nouveau sur le terrain pour secourir les victimes du tremblement de terre qui a frappé le Maroc dans la nuit de vendredi à samedi.
Alors que le royaume bénéficie d’un grand élan de solidarité international depuis le tremblement de terre, associations et gouvernements étrangers attendent encore le feu vert des autorités marocaines pour se rendre sur place. Ce matin, Rabat a répondu favorablement aux propositions de Doha et Madrid.
Le tremblement de terre de ce 8 septembre, le plus puissant de l’histoire contemporaine du Maroc, a déjà causé plus de 2 000 décès selon les derniers bilans officiels. Les blessés convergent maintenant vers les hôpitaux, en particulier à Marrakech.
Alors que le bilan s’est encore alourdi pendant la nuit, dépassant les 2 000 morts, et que des répliques se font sentir, les organisations d’aide commencent à évaluer les besoins et estiment que les régions touchées devront être soutenues pendant des années.
Alors qu’il était en séjour privé à Paris, le roi Mohammed VI est rentré à Rabat, d’où il a présidé une réunion de crise à la suite du séisme qui a frappé le royaume. Un deuil national de trois jours a été décrété.
Le tremblement de terre qui a touché la province marocaine d’Al Haouz vient le rappeler de façon dramatique : la Méditerranée, et notamment sa rive sud, est une zone de forte activité sismique.
Alors que le bilan du tremblement de terre dépasse maintenant les 1 000 morts, l’Algérie a, à son tour, proposé assistance à son voisin, annonçant notamment sa décision de rouvrir son espace aérien aux avions transportant de l’aide humanitaire ou des blessés.
Le tremblement de terre au Maroc, qui a fait plus de 1 000 morts, a suscité un élan de solidarité dans le monde, plusieurs pays proposant leur aide à Rabat.