Au Maroc, le Printemps arabe prend la forme d’une course de fond menée par le roi Mohammed VI. En inaugurant une haute instance chargée d’émettre ses recommandations sur la mise en oeuvre de la réforme de la justice, en gestation dans la nouvelle Constitution de 2011, le souverain répond à une forte demande des Marocains.
Dans un contexte très concurrentiel et de bagarre sur les prix, Mohamed Lamrani, le patron de Marjane, première chaîne d’hypermarchés du Maroc, met les bouchées doubles. Il prévoit d’ouvrir 40 nouveaux points de vente d’ici à 2015.
Parce que le nouveau statut de la justice marocaine consacré par la Constitution de 2011 tarde à entrer en application, 1 800 juges ont signé une pétition réclamant plus d’indépendance des procureurs par rapport à l’exécutif. Un défi de plus pour le gouvernement du Premier ministre Abdelilah Benkirane (PJD).
Le commerce des armes est florissant en Afrique du Nord. En 2011, l’Algérie est même devenue le pays le plus dépensier d’Afrique en terme d’armement, avec la bagatelle de 6,5 milliards d’euros de budget militaire. Une somme qui ferait presque passer les 2,4 milliards marocains pour des broutilles.
De passage à Jeune Afrique, la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du candidat socialiste, nous l’a confié : elle refuse le rôle d’icône de la diversité.
C’est un gage de mobilité et de meilleure lisibilité des diplômes à l’international. Le système licence-master-doctorat a fini par s’imposer dans les universités marocaines, tunisiennes et algériennes.
Boualem Kadi, Français d’origine algérienne, a été choisi par Michael Page Africa pour diriger son bureau de Casablanca au Maroc. Un poste qu’il occupe depuis juillet dernier.
L’un, en partie payant, se veut « global » et compte 2 millions d’inscrits en Afrique. L’autre, totalement gratuit, revendique une spécificité continentale et a conquis 250 000 membres. Double-clic sur Viadeo et LinkedAfrica.
Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Le Maroc abrite deux établissements très prisés par les meilleurs étudiants : l’École Hassania des travaux publics, à Casablanca, et l’École Mohammadia d’ingénieurs, à Rabat.
Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Dans son documentaire « Tinghir-Jérusalem : les échos du Mellah », le réalisateur franco-marocain Kamal Hachkar navigue entre sa ville natale, Tinghir, et l’État hébreu, traçant une diagonale de la nostalgie judéo-berbère.
Le Français de l’équipe Europcar Anthony Charteau a remporté la Tropicale Amissa Bongo pour la troisième fois consécutive devant un public clairsemé, dimanche 29 avril à Libreville. Deux coureurs du continent complètent le podium : l’Érythréen Meron Russom et le Marocain Adil Jelloul.
Maisons Art nouveau, édifices coloniaux et immeubles Art déco, le patrimoine architectural du vieux Casablanca, la capitale économique du Maroc, en fait un musée à l’air libre, mais il est menacé par la négligence et la spéculation immobilière.
Lâcher de 17 colombes, distribution de roses, appel à un monde de paix, message du roi Mohammed VI: un an après l’attentat terroriste dans le centre de Marrakech, hommage a été rendu aux 17 victimes marocaines et occidentales samedi sur les lieux de la tuerie.
Avant l’étape finale de Libreville, dimanche 29 avril, le Français Yohan Gène a enregistré sa deuxième victoire d’étape sur la Tropicale Amissa Bongo à Franceville samedi. Son co-équipier Anthony Charteau conserve le maillot jaune de leader.
Malgré le joli coup du Marocain Tarik Chaoufi, vainqueur de la quatrième étape de la Tropicale Amissa Bongo, le Français Anthony Charteau, double vainqueur de l’épreuve, s’est emparé du maillot jaune vendredi 27 avril.
Pour la première fois, Jeune Afrique publie un classement des athlètes les mieux payés de chaque pays africain. Au Maroc, il s’agit du footballeur Marouane Chamakh.
Il jure n’avoir rien changé, mais le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, a pris ses marques, épaulé par des collaborateurs dévoués et une administration bienveillante.
Pour la première fois dans l’histoire du tour cycliste gabonais, la Tropicale Amissa Bongo, un Africain, l’Érythréen Meron Russom, a endossé le maillot jaune de leader, à l’issue de la deuxième étape.
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Plus de trois mois après la nomination de son cabinet, le chef du gouvernement islamiste, Abdelilah Benkirane, est à l’épreuve du pouvoir, qu’il partage en bonne intelligence avec le roi Mohammed VI, en évitant soigneusement d’engager le moindre bras de fer.
Libéré de son devoir de réserve, l’ancien ambassadeur de France en Tunisie, Yves Aubin de La Messuzière, porte un regard critique sur la politique étrangère de Nicolas Sarkozy.