Engagés dans des partenariats stratégiques, Rabat, Alger et Tunis se ruent vers l’hydrogène vert. Si les intentions sont diverses, le déploiement des projets de production demeure une priorité.
Quinze pays africains préparent, développent ou déploient des e-monnaies. Sous le regard vigilant des banques, des opérateurs télécoms et de la fintech.
Malgré la proximité intellectuelle entre Hassan II et le socialiste François Mitterrand, les relations franco-marocaines se détériorent dans les années 1990. Le discours de La Baule a été mal perçu, avant que le livre de Gilles Perrault, « Notre ami le roi », ne mette le feu aux poudres.
Élu président en 1969 après la démission de De Gaulle, Georges Pompidou parvient à rétablir les liens d’amitié avec le Maroc, durement entamés par l’affaire Ben Barka. Mais une nouvelle crise couvait.
Relations avec les entreprises chinoises et russes, tensions entre la France et le Maroc, inflation, financement des start-up… Le fondateur de la plateforme d’e-commerce marocaine invite les entrepreneurs du continent à envisager toutes les opportunités pour leur développement.
Depuis l’indépendance du Maroc, en 1956, les relations entre la France et Rabat sont au beau fixe. Mais en 1965, « l’affaire Mehdi Ben Barka » provoque la rupture entre Charles de Gaulle et Hassan II.
De l’affaire Ben Barka au récent coup de froid diplomatique, l’histoire des relations entre Rabat et Paris est émaillée de brouilles, évoluant parfois au gré des liens qu’entretenaient les monarques marocains et les présidents français.
Le binôme Chakib Alj-Mehdi Tazi est, une nouvelle fois, le seul à se présenter à sa propre succession à la tête de la CGEM. Pourquoi ce poste, autrefois si convoité, ne séduit plus ?
Devenu une star au Maroc et bien au-delà, le coach de l’équipe nationale de football est une personnalité à laquelle beaucoup d’entreprises aimeraient lier leur image. C’est l’assureur d’origine sud-africaine Sanlam qui a réussi à le convaincre.
Vingt et dix ans de prison ferme : ce sont les peines prononcées par la cour d’appel de Rabat dans le procès de trois hommes accusés de « détournement de mineure » et « attentat à la pudeur sur mineure avec violence ».
Les récentes déclarations du président de la deuxième Chambre marocaine, présentant les enclaves espagnoles comme des territoires « colonisés » n’ont pas manqué de faire réagir des deux côtés de la Méditerranée.
Le leader mondial des phosphates vient de décrocher un important prêt de la Société financière internationale (IFC) pour la construction de quatre centrales solaires.
La cour d’appel de Paris confirme la décision du tribunal judiciaire concernant les actions en diffamation intentées par le royaume contre des ONG et des médias français. Selon ses avocats, Rabat ira en cassation.
Si elle a réalisé de nombreuses avancées, notamment sur la question du Sahara, la politique étrangère du royaume déconcerte quantité d’observateurs, qui la qualifient d’offensive voire d’agressive. Qu’en est-il vraiment ?
Si Rabat a toujours rechigné, contrairement à Alger, à invoquer les crimes coloniaux, c’est pour ne pas donner au Protectorat français et à l’Espagne plus de place qu’il ne veut leur accorder dans l’histoire du royaume.
En relevant le taux directeur, le gouverneur de la Banque centrale entend juguler l’inflation. Mais, ce faisant, il risque de freiner la croissance et le programme du chef du gouvernement, lequel a dû demander un arbitrage de Mohammed VI. Un duel au sommet entre les deux hommes à la méthode et au style diamétralement opposés.
Des manifestants se sont regroupés dans plusieurs villes du royaume afin de protester contre la politique du gouvernement d’Aziz Akhannouch, qui peine à lutter contre l’inflation, notamment alimentaire, en plein mois du Ramadan.
Depuis plusieurs jours, l’affaire du viol d’une fillette de onze ans bouleverse la société marocaine, en raison des très faibles peines infligées aux trois suspects. Le procès en appel, qui devait se tenir jeudi, a été reporté au 13 avril.
Encouragé par ses succès sur les plans diplomatique et économique, voire sportif, le royaume a retrouvé une fierté qui l’amène aujourd’hui à s’affirmer plus fortement sur la scène internationale. Quitte à froisser quelques vieux amis.
À la lisière entre communication, entrepreneuriat et politique, l’ex-bras droit de Driss Jettou est devenue l’une des pièces essentielles du développement de la cité balnéaire du Sahara.
Le fondateur du Comptoir des mines à Marrakech, vingt ans d’expérience à son actif, dresse un état des lieux du marché de l’art local. Rencontre à Guéliz.
Les dossiers qui empoisonnent les relations entre Paris et Alger ou Rabat sont nombreux. Derrière les soubresauts politiques qu’ils provoquent se cache en réalité la perte d’influence économique de l’Hexagone.
Après avoir longtemps dirigé le journal parisien du chef du gouvernement marocain, Khalid Bazid a cédé son fauteuil de gérant et de directeur de la publication à un autre proche de l’homme d’affaires. Coulisses.
Ayant connu une accélération avec la pandémie et à la faveur d’une expérience client « réussie », le commerce électronique est en progression de plus de 35 % dans le royaume, où 28 millions de transactions ont été effectuées en 2022.
En trois ans, le royaume, sous l’impulsion de Mohammed VI, a lancé plusieurs projets ambitieux pour se positionner comme un hub incontournable dans la région. Tour d’horizon des plus emblématiques.
Accusé d’avoir mis en place un système de prédation sexuelle en France et au Maroc, Jacques Bouthier, en détention provisoire depuis bientôt un an, a été remis en liberté par la justice française et placé sous contrôle judiciaire. Ce qui suscite de vives réactions.
Porté par une performance opérationnelle sans précédent, le groupe piloté par Mostafa Terrab a surfé sur l’envolée des prix de ses produits pour enregistrer des résultats financiers « exceptionnels ».
Sans négliger ses relations avec ses partenaires économiques traditionnels, le Maroc a amplifié depuis quelques années ses échanges commerciaux avec d’autres pays. Parmi eux, Israël, l’Inde, la Chine.