Invaincue en sept rencontres, la Côte d’Ivoire passe en tête du classement des sélections nationales de Jeune Afrique. En 2011, les Éléphants ont devancé le Sénégal, le Ghana et le Maroc. L’Égypte, lauréate en 2010, plonge quant à elle à la dix-septième place. Une analyse qui reflète l’état des forces en présence à la veille de la CAN 2012.
Jeune Afrique vous propose de retrouver en un clin d’oeil les scores des matchs que vous avez suivis – ou manqués – en 2011. Pour voir les performances des sélections africaines et évaluer leur perspectives de succès pour 2012.
Le sucrier marocain poursuit son plan de modernisation et voit ses résultats progresser. Pourtant, son cours a chuté de 7,5 % en 2011, alors que son principal actionnaire, SNI, veut diminuer sa participation.
Le sucrier marocain poursuit son plan de modernisation et voit ses résultats progresser. Pourtant, son cours a chuté de 7,5 % en 2011, alors que son principal actionnaire, SNI, veut diminuer sa participation.
Le gouvernement marocain dirigé par l’islamiste Abdelilah Benkirane, nommé mardi dernier par le roi Mohammed VI, doit « faire face » aux ministres proches du palais qui constituent un « gouvernement de l’ombre », selon des journaux parus samedi.
Depuis la chute de Ben Ali, les lecteurs tunisiens ont retrouvé dans leurs kiosques à journaux des titres longtemps censurés. Une liberté d’expression que certains estiment pourtant menacée après la non-distribution énigmatique, fin décembre, de deux hebdomadaires français : « Le Point » et « L’Express ».
L’hebdomadaire français Le Nouvel Observateur est interdit de diffusion au Maroc. En cause, un dossier sur « Les Arabes » qui comporterait une représentation du visage de Mohammed.
Les révolutions qui ont secoué la Tunisie et l’Égypte ont attiré tous les regards occidentaux sur le monde arabe. Un intérêt bien compris et vite suivi sur le plan culturel puisque films, livres, expositions et autres dossiers consacrés aux révolutions dans les journaux n’ont cessé en 2011 de célébrer le réveil de la jeunesse arabe, parfois même avec une certaine dose d’opportunisme.
Le Premier ministre Abdelilah Benkirane a réussi à former son gouvernement, qui a été nommé le 2 janvier par le roi du Maroc Mohammed VI. Le PJD, l’Istiqlal, le MP et le PPS y occupent des postes clés, mais le dispositif reste verrouillé par des techniciens et plusieurs ministres non partisans sont reconduits. Analyse.
La nouvelle équipe gouvernementale a été désignée mardi par le roi du Maroc Mohammed VI. Comme prévu, elle sera dirigée par le chef du parti islamiste Justice et développement (PJD), Abdelilah Benkirane, dont le parti remporte douze protefeuilles sur trente.
Le leader marocain de l’offshoring Intelcia boucle l’acquisition de The Marketingroup, spécialiste français des centres d’appels coté à la Bourse de Paris.
De plus en plus agacé par les exactions des membres du Polisario sur son territoire, Bamako n’apporte plus aucun soutien au groupe indépendantiste sahraoui. Et multiplie les gestes de défiance.
Plusieurs miliers de personnes ont manifesté dimanche 25 novembre dans les rues de Rabat et de Casablanca. Répondant à l’appel du Mouvement du 20 février, ces Marocains sont descendus dans la rue pour réclamer des réformes politiques plus profondes et une plus grande justice sociale.
Le Parti de la justice et du développement est le grand gagnant des législatives. Infrastructures, investissements, fiscalité… Le numéro trois de la formation islamiste modérée présente son programme économique.
Peu connu du grand public, le nouveau ministre tunisien des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem, est décidé à rompre avec certaines pratiques passées.
Opposition extraparlementaire au Maroc, opérations d’intimidation en Tunisie, percée électorale en Égypte… Quiétistes ou violents, les différents courants de l’islamisme radical, notamment le salafisme, se sentent pousser des ailes.
Entre fin novembre et fin décembre, la place marocaine aura connu trois introductions. Une fin d’année honorable, qui ne masque pas la forte baisse des volumes échangés.
Exclu du jeu politique marocain, mais fer de lance du Mouvement du 20 février, avant de s’en dégager le 18 décembre, Al Adl Wal Ihsane voulait incarner l’opposition de la rue face au futur gouvernement dirigé par les islamistes légalistes.
Les députés européens ont refusé de prolonger l’accord de pêche liant le Maroc et l’Union européenne. Les autorités de Rabat ont immédiatement appliqué des mesures de rétorsion à l’encontre des chalutiers de l’UE.
Le rejet par le Parlement européen, le 14 décembre, d’un accord de pêche autorisant 120 bateaux à pêcher dans les eaux marocaines, tend les relations entre le Maroc et l’UE et divise l’Europe en deux.
On attendait Karim Ghellab au gouvernement marocain, mais c’est à la présidence de l’Assemblée que l’ancien ministre istiqlalien des Transports et de l’Équipement prendra ses nouvelles fonctions. Explications.
Les enjeux de gouvernance liés aux bouleversements en Afrique du Nord ont été les principaux thèmes de la 4e édition de la World Policy Conference, qui s’est tenue à Vienne (Autriche) du 9 au 11 décembre. Entretien avec son initiateur Thierry de Montbrial, directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri).
Depuis la réforme de la Constitution, le roi du Maroc Mohammed VI étoffe son équipe de conseillers. Fouad Ali El Himma apparaît comme la pièce centrale de ce dispositif.