La chaîne Medi 1 TV devait être orientée tout-info. Face à l’échec de cette formule initiale, elle a opté pour une approche plus généraliste. Avec succès.
Le roi Mohammed VI a nommé le chef du PJD Abdelilah Benkirane chef du gouvernement ce mardi 29 novembre. Le nouveau chef de gouvernement a prêté serment devant son souverain lors d’une audience à Midelt.
Abdelilah Benkirane, le leader du parti islamiste, rencontre le roi Mohammed VI ce mardi 29 novembre à Midelt. Le roi du Maroc pourrait le nommer Premier ministre.
On ne la reconnaît plus. Sous l’effet des crises libyenne et, surtout, syrienne, l’organisation de la Ligue arabe sort de plusieurs décennies de léthargie. Et prend des décisions !
En remportant plus du quart des sièges de députés lors des législatives anticipées du 25 novembre, les islamistes marocains du PJD accèdent pour la première fois au pouvoir. Mais pour gouverner, leur secrétaire général Abdelilah Benkirane doit obligatoirement trouver un compromis avec d’autres partis, notamment l’Istiqlal et l’USFP. Est-il l’homme de la situation ?
Les Marocains attendaient dimanche les résultats définitifs des élections législatives devant confirmer la large victoire des islamistes modérés qui, pour la première fois dans l’histoire moderne du pays, devraient accéder au gouvernement et le diriger.
Les islamistes modérés étaient en voie samedi de remporter les législatives au Maroc pour la première fois de l’histoire du royaume chérifien et se sont dits prêts à former un gouvernement de coalition.
Les islamistes du Parti justice et développement (PJD) sont en tête des législatives de vendredi avec 80 sièges, selon des résultats partiels annoncés samedi par le ministre marocain de l’Intérieur Taib Cherkaoui.
Les islamistes du Parti justice et développement (PJD) revendiquent plus de cent sièges sur 395 aux législatives de vendredi au Maroc et parlent d’un « tournant historique », ont déclaré samedi à l’AFP des responsables de ce parti.
Vendredi 25 novembre au Maroc, quelque 13 millions d’électeurs ont été invités à élire leurs 395 députés. Principal enjeu de ces premières législatives depuis la nouvelle Constitution : le taux de participation. Reportage de notre envoyé spécial.
On les disait peu mobilisés, indifférents… Les jeunes marocains ont prouvé leur engagement en descendant dans la rue. Reste à savoir s’ils seront entendus et représentés au sein du futur hémicycle. Leur participation est un enjeu majeur des élections législatives du 25 novembre.
Quelque 13 millions de Marocains sont appelés aux urnes ce vendredi 25 novembre 2011 pour élire leurs représentants. Parmi les principaux enjeux de ces législatives anticipées, le score des différents partis en lice, bien-sûr, et notamment celui du Parti Justice et développement (PJD), mais aussi le taux de participation qui apportera ou non de la légitimité à la récente réforme constitutionnelle.
Quels sont les scénarios possibles pendant et après les élections législatives du 25 novembre au Maroc ? Le système et la classe politique changent-ils ou peuvent-ils faire semblant ? Le politologue marocain Mohamed Tozy nous livre son analyse.
Fini le nomadisme, bonjour les pouvoirs… Avec la neuvième législature, parlementaires et partis politiques marocains vont étrenner un statut et des prérogatives revus et corrigés.
Optimiste à l’approche des législatives du 25 novembre, l’actuel ministre marocain des Finances, Salaheddine Mezouar, pourrait hériter du poste de chef du gouvernement.
Bientôt, le roi Mohammed VI ne gouvernera plus seul au Maroc. Après les élections législatives anticipées du 25 novembre, il lui faudra désigner un successeur à Abbas El Fassi.
Les élections anticipées du 25 novembre au Maroc représentent le premier test depuis l’adoption de la nouvelle Constitution. Au-delà des calculs des politiciens et de l’identité des futurs vainqueurs, la participation dira si les réformes engagées paraissent crédibles.
Signe de la montée en puissance du continent, le magazine américain Forbes a dévoilé le 16 novembre son premier classement des 40 fortunes africaines. Palmarès.
Le président algérien abdelaziz Bouteflika souhaite une reprise du dialogue politique avec l’Algérie. C’est le sens du voyage d’Abdelkader Messahel, le ministre délégué aux Affaires africaines et maghrébines, à la mi-novembre à Rabat avec Mourad Medelci, le chef de la diplomatie algérienne.
Coté depuis 2000, le groupe minier marocain prépare la première augmentation de capital de son histoire. Celle-ci doit contribuer à financer des projets d’investissements, notamment au sud du Sahara.
Nommé directeur général de la filiale du groupe américain de mobilier de bureau (2,4 milliards de dollars de CA en 2011 – 1,8 milliard d’euros), il quitte M2M Group, spécialiste des transactions électroniques.
Les actionnaires de H Partners l’ont choisi comme nouveau président. Il était jusque-là directeur de la rationalisation des structures d’Attijariwafa Bank.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a affirmé sa volonté d’oeuvrer au « raffermissement » des relations avec Rabat « au mieux » des intérêts des deux pays, dans un message adressé au roi Mohammed VI pour le 56e anniversaire de l’indépendance du Maroc.
Une participation massive aux élections est souvent expliquée par le facteur tribal au Sahara. Après la récente poussée de violences interethniques, elle sera l’un des enjeux des législatives marocaines anticipées du 25 novembre.
Ils ont étudié à l’étranger et enseignent aujourd’hui en Afrique. Zoom sur trois personnalités qui s’investissent pour le rayonnement universitaire du continent.